Trichomonas
vaginalis est un protozoaire flagellé
du genre Trichomonas, dont la présence
sur les muqueuses génito-urinaires
détermine la trichomonose uro-génitale.
C'est un parasite de l'être
humain. Sa transmission est surtout
vénérienne car il est
très sensible à la dessiccation
[il a donc besoin de milieux humides]. [wikipédia]
Transmission [wikipédia]
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Chez la femme, après
la puberté et lorsque
l'acidité vaginale est
diminuée, on le retrouve
de manière fréquente
comme parasite de la cavité
vaginale et de l'urètre
; mais aussi de la vessie ou
encore des glandes de Skene
et de Bartholin. |
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Chez
l'homme, on le trouve au niveau
de l'urètre, du sillon
balano-préputial, de
la prostate et des vésicules
séminales. |
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La
transmission se fait habituellement
par contact vénérien,
avec un taux de transmission
très élevé
[environ 4 fois sur 5, surtout
de l'homme à la femme].
La transmission est aussi théoriquement
possible par échange
de linge de toilette humide. |
Épidémiologie [wikipédia]
Malgré
des porteurs sains nombreux [jusqu’à
50 % des cas sont asymptomatiques],
surtout chez les hommes, le Trichomonas
vaginalis a un rôle pathogène
net dans les 2 sexes : [wikipédia]
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Trichomonas vaginalis est responsable
de 30% des urétrites
non gonococciques. |
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La
vaginite à trichomonas
vaginalis représente
50% des vaginites avec leucorrhées. |
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Rappelons
que les porteurs sains sont nombreux
[jusqu'à 50 % des cas sont
asymptomatiques]. [wikipédia]
Chez
la femme [wikipédia]
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C'est la plus prurigineuse des
vaginites |
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L'écoulement
vaginal ou leucorrhée
est abondant, souvent blanc-verdâtre
et spumeux |
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Il
existe un érythème
du vagin, et de l’exocol |
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La patiente se
plaint de dyspareunie au niveau
de l’orifice vaginal. |
Chez
la femme [wikipédia]
Il
est très souvent asymptomatique
[90 % de cas], d'où son dépistage
difficile et sa dissémination
facile. En cas d'urétrite avérée,
il existe une dysurie. Des signes
plus discrets comme une goutte matinale
ou une méatite peuvent être
présents. [wikipédia]

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