Le jacuzzi

J'ai découvert les plaisirs de la masturbation avec le jet de la douche vers les environs de 13 ans. J’avais l'habitude de tourner la paume de douche et de diriger les jets chauds sur le dessus de mon sexe. J'ai très vite découvert l’agréable sensation que cela procurait à mon clitoris et surtout celle de l'orgasme qui en suivait. C’était doux, moins agressif que lorsque je me frottais sur des surfaces rugueuses ou lorsque mes doigts stimulaient mon sexe.

Je faisais bouger les petits jets d'eau directement sur mon clitoris, la sensation était agréable comme des milliers de petites langues qui chatouillent mon sexe en tiers. Je procédais de différentes façons, d’abord c’était la pomme de douche à l’envers, les jets formaient une petite fontaine inversée qui stimulait ma vulve au complet, j’écartais les cuisses pour bien ressentir les petites langues d’eau caresser mes lèvres et mon clitoris que j'avais au préalable légèrement fait ressortir. Le plaisir montait graduellement, doucement, tranquillement puis mon clitoris devenait plus réceptif aux stimuli. Les chatouillements s'amplifiaient de plus en plus, ils remplissaient la base de mon clito et venaient engourdir de plaisir celui-ci. La jouissance était parfois progressive, mais longue dans la durée. Je pouvais rester quelques secondes, immobile, le souffle coupé et la pomme de douche sur ma chatte. D’autre fois, tout dépendamment de la force du jet, l’orgasme reçu était fulgurant, brutal et vif, il durait une fraction de seconde et cela me rendait insatisfaite. J’ai souvent essayé de recommencer après le 1er orgasme, je réussissais à me faire jouir 2 à 3 fois de la sorte. Je me rappelle d’une fois très spéciale…

À 17 ans, je me rappelle cette soirée où mes parents et moi étions chez des amis de la famille. Nous y étions pour des vacances à l'étranger, ma mère m'avait envoyé me doucher avant le souper. Son amie avait une salle de bain digne d'un hôtel cinq étoiles. Un grand bain-tourbillon prônait au centre de la pièce. Il était de forme triangulaire, un grand trois places. Je jubilais comme une

petite fille d'avoir reçu l'autorisation de l'utiliser. L'amie de ma mère m'apporta une serviette, de la mousse de bain et de l’huile parfumée. Je me sentais comme une princesse.

Elle fit couler mon bain, me souhaita un bon moment. Une fois la porte fermée, je me déshabillais rapidement. Je fis couler du savon dans l’eau, ainsi qu’un peu d’huile, la pièce s’emplit d’une douce odeur de jasmin. Je voyais la mousse onctueuse monter en même temps que le bain se remplissait. J’attendais impatiente sur le rebord de celui-ci, assise les fesses nues sur la porcelaine froide.

Une fois rempli, je plongeais doucement un pied puis l'autre, lentement mon corps s’enfonça dans l'eau chaude. Mon corps d'adolescente de 17 ans réagit à la chaleur de l'eau. Je baignais au travers de la mousse blanche qui recouvrait mon corps totalement. Des petites bulles d'huile parfumée parsemaient ma peau bronzée, lui donnant de la brillance.

Je regardais mon reflet dans le miroir, 17 ans, de jolis petits seins pointus aux auréoles brunes, une belle taille finement dessinée, aux hanches bien arrondies et un petit ventre plat. Je me trouvais jolie. Je me lève du bain afin de m’observer un peu plus, une jolie chaîne en or dessine ma taille et vient frotter le haut de mes fesses. Je me retourne pour admirer ma croupe qu'un tatouage tribal enjolive.

Mes longs cheveux blonds bouclés tombent jusqu'au milieu de mon dos, ils sont complètement mouillés. À me regarder comme ça dans le miroir, j'imagine des mains qui me caresse, je laisse alors aller mon imagination. Je me mets à toucher mon ventre, caresser mes hanches, mes côtes et remonter le long de mon corps pour que mes mains viennent emprisonner mes deux petits seins. Je lès serres entre mes mains, j’imagine qu'un amant secret viens me prendre et me fait tous ses préliminaires.

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