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[f.e.e.] |
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Au
contact
de
mon
index,
mon
clitoris
se
rétracta
puis
doucement
sous
les
mouvements
de
rotation
il
se
dilata
complètement.
Au
bout
de
quelques
minutes
n'arrivant
pas
à
obtenir
le
plaisir
tant
désiré,
je
défie
les
petits
noeuds
qui
retenaient
mon
maillot,
toujours
aux
aguets
d'un
éventuel
témoin
de
la
scène.
Personne
encore,
alors
pourquoi
ne
pas
se
laisser
aller?
Le
soleil
était
chaud,
pénétrants,
dévorant
mes
chairs,
je
fis
glisser
le
tissu
sur
le
côté
de
mes
hanches,
ainsi
flambant
nue
offerte
aux
éléments,
les
jambes
légèrement
écartées.

Je
repris
donc
mon
petit
jeu
de
doigts
faisant
tournoyer
mon
petit
bouton
rose
entre
ceux-ci,
pénétrant
à
l'occasion
mon
majeur
dans
l'ouverture
humide
de
mon
vagin.
Une
main
encore
sur
mon
sein
gauche,
je
me
masturbais
de
plus
en
plus
fort.
Mes
cuisses
au
début
timide
et
légèrement
refermées
s'entrouvrirent
de
plus
belle
sous
l'effet
du
plaisir.
Je
frottais
vigoureusement
mes
doigts
sur
mon
clitoris
pour
faire
monter
la
jouissance,
je
pouvais
sentir
la
brise
toujours
présente
caresser
les
lèvres
fragiles
de
mon
sexe.
Cette
sensation
me
donna
des
frissons
jusqu'au
milieu
de
mon
ventre.

Mon
rythme
de
croisière
s'était
encore
plus
accéléré,
des
gémissements
et
des
halètements
sortaient
de
ma
bouche.
Ma
tête
était
tournée
vers
l'océan,
je
pouvais
distinguer
les
vagues
mourir
sur
la
barrière
de
corail.
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Non
loin de
là,
j'aperçus
des surfeurs
glisser
sur les
vagues,
ils étaient
beaucoup
trop loin
pour me
voir je
ne m'en
inquiétais
pas. Mes
doigts
déchaînés
continuaient
leurs
sévices
doucereux,
j'ouvris
complètement
mes cuisses,
offrant
ma chatte
grande
ouverte
au ciel.

Mes
jambes
tombèrent
alors
de chaque
côté
de la
planche
et plongèrent
dans l'eau
tiède
du lagon,
plaquant
mes cuisses
sur l'hypoxie
brûlant
de mon
Windsurf.
Cette
morsure
accrut
mon plaisir
et de
nombreux
cercles
de jouissance
se concentrèrent
dans mon
vagin.

Continuant
à
brutaliser
mon clitoris,
j'explosais
complètement
d'un long
et profond
orgasme,
deux doigts
encore
rentrer
au fond
de mon
vagin.
De nombreux
soubresauts
levèrent
mon bassin
sous l'effet
de cette
jouissance.
Après
quelques
secondes,
repue
toujours
dans la
même
position,
je retirais
mes doigts
de ma
chatte,
fit tomber
mon bras
droit
dans l'eau
et le
gauche
suivi.
Écartée
comme
une offrande
aux dieux,
je gisais
calme
et paisible.
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