|
[f.e.e.] |
 |
|
Les
hommes
ont
l’habitude
de
dissimuler
leurs
sentiments,
émotions,
ils
peuvent
même
les
nier
carrément.
À
l’inverse,
les
femmes
n'ont
aucune
pudeur
à
les
partager,
cela
deviens
même
un
besoin,
un
exutoire,
pour
certaine
une
vraie
thérapie
de
groupe
(soirée
de
filles).

Tandis
que
les
hommes
gardent
prudemment
leurs
distances,
les
femmes
sont
prêtes
à
apporter
leur
soutien
affectif
tout
aussi
aisément
qu’elles
sont
prêtes
à
en
recevoir…
Hommes
et
femmes
s’expriment
très
souvent
dans
un
langage
différent.
Tout
petit
déjà
on
apprend
au
garçonnet
à
se
protéger
émotionnellement,
à
développé
une
carapace
face
à
ce
qu’il
ressent
«
Ne
pleure
pas
ce
sont
les
filles
qui
pleurent,
ça
fait
pas
mal,
tu
es
un
garçon
et
les
garçons
n’ont
pas
mal,
etc.
»
Cette
carapace
devient
de
plus
en
plus
épaisse
au
fur
et
à
mesure
que
les
années
passent,
que
les
expériences
de
la
vie
le
fouettent
avec
sévérité,
son
orgueil
d’homme
confirme
que
sa
façon
de
fonctionner
(se
protéger)
est
la
meilleure,
il
évite
ainsi
la
douleur,
la
déception,
les
regrets.
Il
développe
une
maîtrise
de
soi
à
toute
épreuve,
mais
augmente
sans
vraiment
le
savoir
du
refoulement.
Tout
jeune,
on
lui
apprend
à
nier
|
|
 |
|
|
|
|
ses
émotions
ou à
les traduire
dans le
langage
de la virilité
«
Moi! Ça
ne me fait
rien, je
ne sens
rien, ça
ne me fait
pas mal,
j’ai
combattu
la douleur,
ou encore
les émotions
sont pour
les tapettes,
etc. ».
Avec de
telles réactions
: L’amour
qu’il
porte à
une femme
devient
un simple
rapport
de domination
sexuelle.
On oublie
l’échange
émotionnel
qui risquerait
de le faire
basculer
dans le
sentiment
amoureux
réel,
on reste
technique
et concis
dans les
approches.
Les échanges
à
deux délimitant
les frontières
du langage
non verbal
ou au pire
si ceux-ci
ne sont
pas bien
compris
par le partenaire,
une réévaluation
précise
de ladite
fréquentation
est nécessaire
pour que
plus aucune
confusion
ne se fasse
dans vos
esprits
mesdames.

Si
amour vous
voyez encore
dans ses
yeux par
la suite
mesdames,
il niera
d’emblée
et vous
traitera
de folle…
L’amitié
qu’il
ressent
pour les
autres hommes
se traduit
par une
simple poignée
de main
ou une tape
dans le
dos, rarement
j’ai
vu un homme
«
fermé
»
prendre
son ami
dans ses
bras pour
un gros
câlin,
ce geste
est beaucoup
trop intime
et féminin
pour lui.
Démontrer
trop d’affection
pour un
autre homme
pourrait
être
pris à
confusion.

|
|
 |
|