Jouissance inédite

À cette période de ma vie, ma famille et moi restions dans un pays de l’hémisphère sud. À 16 ans, tous les matins, je me rendais à l’école en autobus. Un vieil autobus qui tremblait de partout, pas trop rassurant. Les bancs faits de bois n’étaient vraiment pas confortables et je trouvais la route longue, très longue jusqu'à l’école. Une heure de trajet lorsqu’il n’y avait pas trop de circulation, sinon on pouvait compter le double. Nous quittions la maison très tôt le matin pour être certain de ne pas arriver en retard à nos cours.

Je portais une longue robe d'été qui se terminait sous les genoux et j'accompagnais le tout d'une veste de jean. Me voilà donc assise sagement sur le banc de bois, j’essaye de me donner une position confortable, mais en vain, je croise et décroise mes jambes tournant les pages de mon roman. J’avais souvent un bouquin avec moi, cela me permettait de passer le temps. La route cahoteuse faisait sursauter le long véhicule qui grinçait de partout, pauvre autobus, j’avais des fois l’impression qu’il allait se briser en deux tellement les amortisseurs le faisaient trembler. Nos bancs de bois amortissaient tant bien que mal les secousses, mes fesses frappaient la surface dure à chaque fois que nous prenions des nids de poules ou des grosses bosses. Cette route, je la connais par cœur, même à moitie endormi, je pouvais savoir où j’étais rendue au nombre de virages et de bosses ressenties sur la route. Je lisais tranquillement mon roman, j’étais complètement absorbée par l’histoire, je ressentais tous les chocs du véhicule dans mon corps. Ouf, j’avais l’impression d’être secouée de tout bord tout coté. Le banc frappait sur mes fesses, ce jour-là chaque petite claque commençait à me procurer des frissons dans tout mon entrecuisse. Je lisais, mais mon esprit était partagé entre les sensations que me procuraient le cahot de la route et l’histoire que je dévorais. Boom! Encore une grosse secousse et… Boom, boom! Mon Dieu que cette route est mauvaise. Des frissons parcoururent mon entrecuisse. Cela commençait à être super agréable. Je restais à l’affût des autres bosses ou trous sur la route.

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Boooom! Booom! Ahhh! Hum! Je serre les cuisses l’une contre l’autre pressant mon clitoris dans ma petite culotte. Je frotte mon entre-jambes, je presse mes cuisses fortement, cela pince mon clitoris. Hummm! Des frissons surgissent plus je serre et frotte mes cuisses entre elles. Mon clitoris est très réceptif à mes stimulations. Booommm! Boooom! Booom! Aaahhh! Huuum! Je sens mon sexe frétiller, les frissons deviennent de plus en plus présents, j’ai envie de passer ma main entre mes cuisses pour aller jouer avec mon clito, mais je ne peux pas, il y a beaucoup de monde autour de moi, mais… Aaaahhh! Une autre bosse vient déclencher un tas de petits fourmillements dans ma culotte. J’ai hâte à la prochaine bosse, ce petit jeu excite mon sexe, j’ai lâché mon livre. « Ahh! » Je viens de lâcher un petit cri malgré moi, une petite onde de plaisir vient d’exploser à la base de mon clitoris. Nous sommes passés sur une série de dos d’âne, nous approchons de l’école. Je frotte encore plus mes cuisses l’une contre l’autre, si quelqu’un me regarde il va se dire que j’ai une grosse envie d’aller à la toilette. Je sens monter le plaisir, les fourmillements prennent possession de mon clitoris. Je le serre, le frotte, il est complètement coincé dans ma culotte.

Mais la sensation est trop bonne et je veux que cette jouissance qui a débuté tellement bizarrement explose en moi. « Ahh! Ahhhh! Huum! Huumm! » Une dernière série de dos d’âne, nous arrivons, je frotte mon clito, je serre, je contracte mon ventre, alléééé… Aaahhh aaahhh! Les fourmillements ont gonflé mon clitoris qui est complètement engourdi par les sensations qui montent et montent… Aahhhh, oui!!! Ils explosent enfin… Je jouis silencieusement étouffant mes gémissements avec ma main sur ma bouche. Des soubresauts prennent possession de mon ventre et de mon clitoris. Mes jambes toujours collées une à l’autre ne cesse de trembler. Nous sommes arrivés à l’école, les étudiants descendent les uns après les autres, j’attends assise au fond de l’autobus que mon sexe humide et chaud se calme, car il frétille encore dans ma culotte comme si l’orgasme n’était pas totalement sorti. Oufffff! Quelle expérience, ce fut! Cela commençait bien ma journée d’école.

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