|
[f.e.e.] |
 |
|
J’avais
l’habitude
de
nager
dans
l’océan
en
rentant
du
lycée.
À
cette
époque
je
devais
avoir
16
ans…
Je
prenais
mon
canoë
et
me
dirigeais
vers
les
profondeurs
turquoise.
Cet
après-midi-là,
j’avais
retiré
mon
maillot
de
bain
et
je
nageais
complètement
nue
dans
l’eau
cristalline.
Je
n’avais
pour
seul
vêtement
que
ma
ceinture
de
plomb,
armé
de
mon
couteau
de
chasse,
d’une
paire
de
palmes
et
des
lunettes
de
plongée.
L’eau
était
chaude,
elle
glissait
sur
ma
peau
au
fur
et
à
mesure
que
je
nageais
dans
ces
hauts-fonds.
J’étais
à
la
recherche
d’un
certain
mollusque
dont
je
raffolais
et
de
coquillage
pour
compléter
ma
collection.
Mes
jambes,
l'une
après
l'autre,
s’entrecroisaient
propulsant
mon
corps
dans
l’eau,
je
pouvais
sentir
une
légère
caresse
provoquer
par
le
courant
chatouillé
mes
côtes
et
mes
hanches.
Ce
courant
doux
parcourait
mon
corps
au
grand
complet.
Parfois,
je
passais
dans
un
flux
d'eau
plus
froide,
ce
qui
parsemait
mon
corps
de
milliers
de
petits
frissons.
De
ressentir
tous
ces
stimuli
sur
mon
corps
complètement
nu
était
très
aphrodisiaque,
une
totale
liberté,
une
caresse
délectable,
j’adorais
ce
moment
de
proximité
avec
mère
Nature.
Cela
devait
faire
une
vingtaine
de
minutes
que
je
m’affairais
à
l’exploration
de
ces
fonds
marins
lorsqu’un
petit
frottement
de
mon
entrecuisse
vint
chatouiller
mon
clitoris.
Je
n’y
prêtais
pas
plus
d’attention
la
1re
fois,
mais
je
me
rendis
compte
que
plus
je
battais
des
pieds
pour
avancer
plus
le
courant
qui
passait
entre
mes
jambes
agaçait
mon
sexe.
Des
idées
de
caresses
sur
ma
peau
nue
surgirent.
Je
remontais
à
la
surface
prendre
de
l’air
et
aussitôt
replongea
dans
les
eaux
tièdes.
Maintenant,
je
ne
m’amusais
plus
à
chercher
mon
coquillage,
mais
plutôt
à
faire
monter
ce
petit
frisson
qui
palpitait
sur
les
lèvres
de
ma
chatte
et
de
mon
clitoris.
Plus
mes
battements
de
jambes
s’accéléraient,
plus
les
palpitations
sur
mon
sexe
augmentaient.
Que
cette
sensation
était
agréable!
"Quoi???
Pourrais-je
arriver
à
jouir
comme
ça?"
Me
demandais-je.
Mes
doigts
se
mirent
à
frôler
mon
corps
tout
en
avançant
sous
l’eau
et
en
accélérant
les
battements
de
mes
cuisses
qui
frottaient
mon
sexe.
Je
faisais
osciller
mon
bassin
de
gauche
à
droite
augmentant
la
pression
sur
mon
clitoris
qui
petit
à
petit
commençait
à
se
gonfler
d’excitation.
J’allais
manquer
de
souffle
alors
je
remontais
à
la
surface.
Aahhhhhh,
de
l’air…
Aussitôt,
je
replongeais
ne
voulant
pas
perdre
les
chatouillements
agréables.
|
|
|
|
|
|
Tout
en m'immergeant,
j’écartais
légèrement
les cuisses
pour me
donner une
poussée
plus rapide
sous l'eau,
ce qui fit
passer un
petit courant
frais sur
mon sexe
qui réagit
à
cette caresse.
Hummm!!!
Je nageais
et nageais,
de plus
en plus
vite, mon
corps voguait
entre les
courants,
tout droit
toujours
tout droit,
je donnais
de grands
coups de
palmes dans
l’eau.
Mon corps
ondulait,
les bras
tendus en
avant je
fendais
les eaux
claires
et le courant
plus rapide
dû
à
mes mouvements
frôlait
sans cesse
mon entre-jambes.
AHHHH!!!
Que c’était
bon! La
tête
me tourne,
je suis
restée
trop longtemps
sous l’eau,
je dois
remonter…
Mais une
pression
de mes cuisses
vient pincer
mon clitoris…
Ahhh! Une
douce sensation
explosa
sur le bout
de celui-ci.
Je serre
à
nouveau
mes cuisses…
Hummm!!
Encore une
autre explosion,
je continue
pour augmenter
le frottement,
malheureusement
la pression
me cogne
dans la
tête,
je sens
l’oxygène
se tarir
dans mes
poumons.
Je
regarde
la surface,
serre les
cuisses
et accélère
pour remonter.
Il faut
que je fasse
vite et
même
très
vite. Les
mouvements
accélérer
de mes cuisses
frottent
continuellement
sur mon
clitoris,
de petits
engourdissements
se font
sentir et
augmentent.
Aahhhhh!!!!
Je dois
remonter
vite, je
n’ai
plus d’air,
je vois
flou, j'entends
mon cœur
battre dans
mes tympans.
Les engourdissements
n'arrêtent
pas, ils
remplissent
mon clitoris
qui sous
la pression
exercée
par mes
cuisses
bien refermées
sur lui
explose
en une fraction
de seconde.
Je jouis,
JE JOUIS!!!
Oui, je
suis bel
et bien
en train
de jouir,
je ferme
les yeux
instinctivement,
mes jambes
battent
l’eau
pour me
remonter
à
la surface.
Ma tête
sort enfin
de l’eau,
mon cou
se cambre
vers l’arrière,
la bouche
grande ouverte
je remplis
mes poumons
d’oxygène.
AAAAHHHHHHH!
L’air
qui rentre
dans mes
poumons
étouffe
l’orgasme
qui vient
d’exploser
dans mon
ventre.
J’ai
la tête
qui tourne,
je suis
un peu désorientée,
mon cœur
bat la chamade,
petit à
petit je
reprends
mes esprits.
Je n’en
reviens
pas encore
de ce qui
vient d’arriver.
J’ai
joui en
nageant
sans même
me toucher.
Wow! À
l’horizon
le soleil
se couche,
je cherche
du regard
mon canoë,
il est très
loin. Je
me rends
compte de
la distance
que je viens
de parcourir.
Je dois
rentrer,
encore un
peu essouffler,
je me dirige
vers mon
embarcation
sereine.
J’ai
refait cette
expérience
une vingtaine
de fois
par la suite,
ce ne fut
pas tout
le temps
concluant,
mais les
fois où
cela a fonctionné
j’en
restais
satisfaite
du cadeau
que mon
corps relié
à
cet élément
de la nature
pouvait
me procurer.

|
 |
|