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[f.e.e.] |
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J'avais
17
ans,
mon
petit
copain
et
moi
étions
en
vacance
en
République
Dominicaine.
Nous
avions
loué
chacun
un
Sea-Doo
et
prime
le
large
dans
les
eaux
turquoise.
Cela
faisait
quelques
minutes
que
nous
nous
baladions
quand
je
décidais
de
m'allonger
sur
le
siège
de
mon
véhicule
pour
me
dorer
au
soleil.
Mon
petit
copain
s’amusait
à
faire
de
grand
cercle
autour
de
moi
avec
sa
motomarine,
il
me
narguait
essayant
de
me
faire
chavirer.
Les
vagues
que
son
engin
provoquait
venaient
faire
basculer
le
mien
de
gauche
à
droite.
Il
n’arrêtait
pas
de
m’embêter
cet
idiot,
je
finis
par
me
lever,
les
bras
sur
les
hanches
je
le
fixais
du
regard.
Il
riait
la
bouche
grande
ouverte.
Que
cela
ne
tienne,
il
veut
la
guerre,
il
va
l’avoir.
J’enfourchais
mon
engin,
fis
gronder
le
moteur
et
sans
aucun
avertissement,
je
fonçais
dans
le
remous
qu’il
avait
créé.
Mon
Sea-Doo
frappa
la
surface,
je
filais
à
vive
allure
droit
devant
moi,
mon
petit
copain
comprit
ce
que
je
lui
proposais
de
faire
et
il
fit
demi-tour
pour
me
rattraper.
La
course
venait
de
commencer
entre
nous.
Les
mains
bien
agrippées
sur
le
guidon,
j’accélérais,
le
vent
dans
les
cheveux
au
travers
des
vaguelettes
salées
éclaboussant
mon
visage.
Mes
cuisses
étaient
bien
serrées
sur
le
siège
du
seadoo,
je
pouvais
sentir
sur
ma
peau
la
chaleur
du
moteur
qui
vrombissait.
Un
regard
derrière
moi,
je
voyais
mon
rival
s’approcher
dangereusement.
Non,
il
n’en
était
pas
question,
un
coup
de
poigné
sur
l’accélérateur
et
mon
engin
décolla
presque
de
la
surface
de
l’eau
se
propulsant
encore
plus
vite
vers
l’horizon.
Vroom!
Vrooom!
Je
sentais
les
vibrations
dans
toutes
mes
jambes,
mes
cuisses
et
même
mon
sexe
qui
était
collé
sur
le
siège
en
cuir.
J’avoue
que
mon
petit
maillot
ne
couvrait
pas
beaucoup
mon
sexe.
Mes
fesses
collaient
sur
la
surface
chaude,
elles
vibraient
à
chaque
fois
que
j’accélérais.
Nous
étions
presque
l’un
à
côté
de
l’autre,
ni
lui
ni
moi
ne
voulions
perdre
cette
course.
Mes
cuisses
serraient
très
fort
le
siège,
je
ne
voulais
pas
tomber
de
mon
véhicule.
Nous
étions
à
quelques
minutes
de
la
grosse
bouée
de
signalisation,
j’étais
pratiquement
à
la
vitesse
maximale
et
je
commençais
à
avoir
peur
de
ne
plus
contrôler
mon
seadoo.
Lui
riait,
totalement
en
confiance
de
ses
actes.
L’adrénaline
était
à
son
maximum,
le
vent
frappait
sur
nos
visages,
j’avais
de
l’eau
qui
éclaboussait
tout
mon
corps,
mon
engin
claquait
sur
la
surface
de
l’eau
à
chaque
vague
que
je
chevauchais.
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Les
chocs venaient
titiller
mon sexe,
les chatouillements
sur mon
clitoris
avaient
déjà
commencé
depuis un
certain
moment,
mais j’étais
trop concentrée
sur ma course
pour les
laisser
monter.
Malgré
moi, chaque
coup de
la motomarine
contre les
vagues augmentait
les "stimulis"
et en plus
les vibrations
du moteur
amplifiaient
les sensations
qui accaparaient
mon sexe.
Sans
scrupule
je collais
mon sexe
bien à
plat sur
le siège.
Poussant
mon bassin
vers le
bas, mes
fesses s’écartèrent
un peu,
juste assez
pour que
je sente
les vibrations
autans sur
mon clitoris
qu’a
l’intérieur
de mon vagin.
Wow!!!!!
La vibration
rentrait
et se propageait
partout
dans mon
intérieur.
Mon clitoris
était
sous l'emprise
de pulsions
le faisant
sursauter
sans arrêt.
Mon esprit
se concentra
sur la bouée
qui n'était
qu'à
deux accélérations
de nous,
mon petit
copain était
à
ma hauteur,
impossible
de prendre
le virage
ensemble,
nous étions
trop proche.
J’accélérais
pour le
dépasser,
la bouée
arrivait
à
une vitesse
folle devant
moi, un
coup de
guidon bien
sec vers
la gauche
fit tourner
mon seadoo
presque
à
la perpendiculaire.
Je contournais
de justesse
la grande
barre de
fer qui
passa à
quelques
centimètres
de ma motomarine.
Oufff, il
s'en était
fallu de
peu pour
que je la
touche.
Je
serrais
tellement
fort les
cuisses
sur mon
siège
pour ne
pas tomber
que mes
fesses et
mon sexe
se contractèrent
en même
temps pendant
ces quelques
secondes.
Je ne sais
pas ce qui
s’est
passé
au moment
où
j’ai
pris ce
virage,
j’ai
joui d’un
orgasme
rapide et
violent.
Je n’ai
jamais senti
l'orgasme
venir, il
a tout simplement
explosé
sur mon
clitoris.
Ce fut si
soudain
qu’en
voyant mon
copain prendre
le virage
et chavirer
en même
temps, je
m’exclamais
d’un
grand, "Yeahhh!"
Aaaah merde,
j'ai joui!!!
Mes mains
desserrèrent
le guidon,
l’engin
ralenti
reprit son
équilibre.
Je restais
encore surprise
de cette
jouissance,
mon cœur
battait
dans ma
poitrine,
mon sexe
tout comme
mes cuisses
étaient
chauds.
Je me relevais
droite sur
mon appareil,
regardais
vers mon
copain,
qui remontait
sur son
Sea-Doo
et me fit
signe de
repartir
vers le
rivage.
Nous repartîmes
doucement,
cette fois-ci
tout le
long du
retour,
j’étais
attentive
aux ressentis
de ma chatte
collée
sur le siège
qui frétillait
encore à
cause des
vibrations
du moteur.
Lorsque
je suis
rentrée
dans ma
chambre,
je me suis
accordé
une petite
séance
de masturbation
tellement
je restais
excitée
de l’orgasme
obtenu lors
de la course.

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