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[f.e.e.] |
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Je
me
rends
compte
grâce
aux
réactions
et
commentaires
des
petites
dames
que
j’ai
fréquentés
qu’il
y
avait
autre
chose
que
la
queue
entre
leurs
deux
jambes.
Ayant
eu
des
commentaires
du
genre;
"T’es
là
meilleure
chose
que
j’ai
eue
jusqu’à
présent
et
de
loin"
"
Tu
sais
après
toi,
c’est
le
retour
à
la
normale"
"Ce
sera
quoi
après
si
toi
&
moi
ça
s’arrête"
"On
ne
s’est
jamais
attardé
autant
sur
mon
clitoris"
"Tu
es
le
premier
à
avoir
réussi"
"Je
ne
savais
pas
que
mon
corps
pouvait
réagir
autant
sous
des
caresses"
"Je
ne
savais
pas
que
j’avais
autant
de
zones
érogènes"
"Je
ne
savais
pas
qu’en
moi
je
pouvais
avoir
tant
de
sensations",
etc.
Et
bien
comme
on
sait
tous,
elles
aiment
exagérer,
donc
il
ne
faut
pas
tout
prendre
pour
du
bonbon,
de
toute
manière
un
jour
viendra
un
autre
homme
qui
effacera
toutes
vos
traces.

Après
avoir
reçu
autant
de
commentaires,
souvent
sans
avoir
vraiment
commencé
le
vrai
travail,
c'est
à
dire
avec
la
pénétration,
on
s’interroge
vraiment
sur
ce
dont
les
femmes
ont
réellement
besoin.
On
réalise
aussi
pourquoi
beaucoup
d’entre
elles
tournent
aux
femmes.
En
tous
les
cas,
moi
je
les
comprends.
Imaginez
une
femme
en
caresser
une
autre,
toute
la
sensualité
qui
s’y
dégage,
attouchements,
caresses,
embrassades,
corps
à
corps,
il
n’y
a
rien
de
plus
beau
et
tout
cela
mène
à
des
sensations
incroyables.
Comment
voulez-vous
rivaliser
messieurs,
contre
une
femme
qui
offre
une
multitude
de
sensations
à
une
autre?
Cette
femme
qui
essaie
pour
la
première
fois
une
personne
du
même
sexe
reçoit
enfin
tout
ce
qu’elle
a
fantasmé
ou
désiré
de
recevoir
un
jour
d’un
homme.
Recevoir
tout
cela
d’une
femme?
Croyait-moi
messieurs
il
faut
se
réveiller,
sinon
nous
sommes
foutu.
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Une
chance
qu’il
y
a
encore
des
femmes
qui
ressentent
le
besoin
d’avoir
notre
engin
en
elle
messieurs.
J’ai
fréquenté
cette
fille
à
quatre
reprises,
nos
échanges
étaient
chauds,
sensuelles
et
durait
longtemps.
Je
savais
que
la
durée
était
quelque
chose
qu’elle
recherchait.
Un
ans
plus
tard
elle
m’annonce
que
je
fus
la
meilleure
baise
de
sa
vie…
moi
tout
étonné
de
cet
aveu,
car
je
me
suis
trouvé
très
ordinaire,
ce
fut
une
période
dans
ma
vie
où
je
dormais
à
peine,
travaillait
de
nuit
et
avait
une
grosse
baisse
d’énergie.
Mais
je
donnais
quand
même
mon
maximum.
Donc
m’étant
trouvé
ordinaire,
je
me
demandais
ce
qui
lui
avait
fait
tant
aimer
l’expérience.
Selon
moi,
ce
n’était
pas
mon
pénis,
car
je
trouvais
qu’il
n’avait
pas
bien
performé
avec
elle,
l’énergie
n’était
pas
à
son
maximum.
Alors
comme
on
dit
dans
le
monde
du
sport,
lorsque
vous
êtes
un
bon
attaquant
et
que
cela
ne
fonctionne
pas
aujourd’hui,
rien
n’empêche
de
se
défoncer
en
défensive.
Donc
d’une
façon
naturelle
j’ai
joué
mes
cartes
sûres,
de
longs
préliminaires,
de
longues
caresses
sur
un
fond
de
musique
choisie
par
la
petite
dame
et
par
la
suite
joujou
avec
mon
jouet.

Je
me
suis
alors
rendu
compte
que
finalement
la
femme
n’est
pas
forcément
à
la
recherche
du
pénis
comme
Freud
le
disait,
mais
plutôt
à
la
recherche
de
tendresse,
de
partage
des
caresses,
s’occuper
de
mon
corps,
que
ce
soit
hyper
sensuel,
qu’elle
sente
que
l’on
prend
plaisir
à
s’occuper
de
son
corps
au
grand
complet,
qu’il
y
ait
orgasme
ou
pas.
...»
Suite
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