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[f.e.e.] |
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J’ai
ma
copine
qui
se
vante
souvent
du
succès
qu’elle
avait
auprès
des
hommes
lorsqu’elle
était
jeune.
Comment
elle
se
sentait
irrésistible,
comment
elle
ressentait
le
pouvoir
qu’elle
avait
auprès
des
hommes,
qu’elle
les
attirait
tous
et
qu’elle
jouait
comme
bon
lui
semble
à
les
manipuler
cela
depuis
toute
jeune.
Maintenant,
elle
sent
toujours
ce
pouvoir
en
elle
surtout
depuis
qu’elle
a
perdu
son
excès
de
poids.
Moi
j’écoute
et
je
laisse
parler,
si
cela
peut
lui
donner
confiance
pourquoi
pas.
Mais
à
force
de
l’entendre,
un
jour
je
décidais
de
péter
sa
balloune.
Alors
je
lui
fais
part
de
ma
théorie.
Je
lui
dis;
prends
une
femme
moyennement
belle
et
sexy,
met
là
dans
un
club
et
fait
là
draguer
tous
les
hommes
de
la
place,
alors
dans
cet
échantillon
elle
arriverait
à
en
attirer
combien
dans
son
lit.
On
réfléchit
et
on
sort
avec
un
chiffre
avoisinant
plus
de
80%.
Alors
maintenant,
on
prend
un
homme
qui
a
de
l’allure,
disons
un
8,0
sur
10.
Il
fait
la
même
chose,
il
drague
tout
sur
son
passage,
alors
il
arriverait
à
coucher
avec
combien
de
femmes
du
club.
On
arrive
avec
un
pourcentage
d’à
peu
près
50%
et
moins.
Je
lui
dis;
les
femmes
n’ont
pas
trop
de
mérite,
elles
n’ont
qu’à
ouvrir
pour
baiser…
là,
elle
me
dit;
et
bien,
tu
viens
de
me
péter
ma
balloune!

Il
m’est
arrivé
de
passer
devant
ce
club
de
Black
avec
mes
potes
pour
nous
rendre
à
destination
de
notre
soirée.
Devant
ce
club
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s’alignent
plusieurs
dames
d’un
certain
âge
et
surtout
d’un
surplus
de
poids.
Elle
nous
regarde
passer
et
nous
pouvons
déceler
la
bave
qui
pend
au
bord
de
leurs
lèvres.
Pas
besoin
de
vous
dire
comment
à
ce
moment
précis
je
me
sens
comme
un
morceau
de
viande.
Tout
à
coup,
j’entends
un
de
mes
potes
dire;
est-ce
que
vous
voyez
comment
les
frères
nous
font
nous
sentir,
à
force
de
baiser
n’importent
quoi.
Ouain!
Car
dans
la
tête
de
ces
dames
comme
dans
la
tête
de
bien
des
gens
les
noirs
adorent
les
gros
popotins.
Et
comme
je
dis,
cette
clientèle
est
bien
servie,
elles
n’ont
qu’à
ouvrir.
L’important
pour
elle
c'est
de
savoir
exactement
où
sortir
pour
avoir
ce
qu’elles
veulent.

Une
fois,
une
petite
dame
un
peu
rondelette
commence
à
me
jaser
dans
un
club
[je
n’ai
aucun
problème
avec
ça!]
Alors
elle
me
raconte
qu’à
plusieurs
reprises
les
mercredis
soir
elle
rencontre
un
certain
joueur
de
Hockey
de
la
NHL
qui
est
black
et
que
par
la
suite
ça
se
termine
dans
une
chambre
d’hôtel.
Fine
for
you!
Je
me
disais.
Et
la
question
tant
attendue
se
fit
entendre.
Qu’est-ce
que
tu
dirais
si
on
prend
une
chambre
ensemble
ce
soir?
Alors
avec
arrogance,
je
lui
balance;
est-ce
que
je
m’appelle...
[le
nom
du
joueur]
...»
Suite
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