Scène
érotique : Elle m’attachait
à mon lit
Nous
étions dans ma chambre et
on entreprenait une soirée
qu’on savait, allait être
agréable. Elle portait un
ensemble de porte-jarretelles rouges
que mes yeux contemplaient longuement.
Nous étions debout à
côté du lit et nous
embrassions intensément.
Elle s’arrêta et me
dit doucement à l’oreille;
"Allonge toi, je vais m’occuper
de toi." Sur ce, j’obéis
sagement à la dame. Sa phrase
avait retenti à mon oreille,
pour une fois qu’on voulait
s’occuper de moi, croyez-moi
je n’allais pas refuser. Je
m’étais allongé
au centre de mon lit. Là,
elle sortit une corde, me prit doucement
le poignet droit et l’amarra.
Par la suite, elle se pencha et
fixait la corde soigneusement à
la patte du lit, puis elle fit de
même pour l’autre côté.
Tout cela, fait avec tendresse et
délicatesse, je me laissais
faire. Je remarquais que les nœuds
étaient vraiment bien faits
et je lui dis. D’un petit
sourire au bord des lèvres,
elle rétorqua qu’elle
avait appris cela aux scouts.
Elle
sortit alors un cache yeux qu’elle
me plaça sur le visage. Elle
débuta de longs préliminaires
sur mon corps, je sentais sa bouche,
sa langue qui n’épargnait
aucune parcelle de mon anatomie. Après
de longues minutes à me caresser,
elle se décida à passer
aux choses sérieuses. Délicatement,
je sentis sa bouche, sa langue qui
venait se poser sur ma verge qui était
couchée sur mon bas ventre.
De grands coups de lèches accompagnées
de salive fluctuaient de haut en bas
de ma verge, mes couilles aussi y
goûtaient. Elle prit enfin ma
verge d’une main et l’enfonça
dans sa bouche puis me donna une fellation
toute lente et sensuelle. Elle dégustait
ma queue comme jamais. J’avais
l’impression que de m’avoir
à sa merci lui faisait encore
plus apprécier cette grosse
queue qu’elle engloutissait
dans sa bouche. |
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Moi,
les yeux fermés, je ne pouvais
qu’imaginer la scène.
Elle s’arrêta et je
sentis son corps se déplacer
vers moi. Je l’imaginais qui
me grimpait et comme de fait, je
sentis sa chatte chaude et humide
qui venait de choir sur ma queue
qui était à nouveau
couchée sur mon bas-ventre.
Elle mit ses deux mains en appui
sur mon torse et je sentis sa chatte
qui glissait le long de ma verge.
Elle s’excitait à m’avoir
là, sagement attaché
pour son bon plaisir. Elle se releva
et prit ma bite dans une main et
plaça mon gland entre ses
lèvres humides et chaudes.
Elle
s’amusait à pénétrer
lentement le bout de ma verge dans
l’embouchure de sa chatte.
J’adorais le gros plan qui
se dessinait dans ma tête
à ce moment précis.
Et là, tout doucement, elle
descendit sur ma verge, au même
moment j’entendis un long
râlement de soulagement et
d’appréciation sortir
de sa bouche. Elle montait et descendait
sa chatte toute mouillée
sur ma verge. Mon imagination venait,
d’un coup, de passer à
une autre étape. Je voyais
en grand plan ma queue fendre sa
chatte d’une manière
tout à fait "fuckée".
Je voyais ma queue fendre l’antre
de son vagin, mon gros plan était
axé sur cette pénétration.
J’imaginais tout l’intérieur
de sa vulve comme si la peau de
son ventre était invisible
et me permettait de voir toute la
pénétration. Cela
m’excitait à un point
tel qu’il fallût me
concentrer pour ne pas perdre contrôle.
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