Scène
érotique : Sa bitch
Un
soir, je me laissais ramener chez
cette petite dame que j’avais
tant convoitée. Elle ne restait
pas loin de la boîte où
nous nous étions rencontrés.
Arrivé chez elle, elle m’installa,
me donna un verre et se dirigea
sous la douche. J'étais installé
dans sa chambre, attendant impatiemment
qu’elle daigne se montrer.
Comme de fait, je la vis apparaître
dans le cadre de porte, flambant
nue, pour que je puisse admirer
ses courbes de déesse qui
se présentent devant moi.
Elle était sublime et détenait
un de ces corps sculpté qui
restera gravé à jamais
dans ma mémoire. Elle s’approcha
lentement vers moi, me prit la main
et m’attira dans son lit.
Je n’ai pas besoin de vous
raconter l’histoire au complet...
Donc
après les préliminaires
et quelques positions, nous passâmes
aux choses sérieuses. J’étais
derrière elle en levrette
et comme d’habitude, j’essayais
de tenir la cadence tout en restant
concentré et croyez-moi,
pas chose facile à faire
avec la vue qui s’offrait
à moi. Je me démêlais
tant bien que mal à résister
à cette envie d’éjaculer
en elle tout en tentant de faire
plaisir à la dame. Quand
tout à coup elle tourna la
tête et me lança ce
regard et lâcha ; "Let’s
go bitch!" Cette petite phrase
percuta mon oreille tel un fouet.
Traduction de ce qu’elle disait,
c’était ; "Alors
qu’est-ce que tu fais, qu’est-ce
que tu attends?" Au même
moment, ce qu’elle m’avait
dit eut l’effet escompté.
Cela avait "tilté"
dans ma tête et je me disais;
"Oh la chienne!"
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Dès
ce moment, la cadence de mes va-et-vient
s’était accélérée,
la concentration avait disparu et
tout ce que j’avais en tête
c’était de la faire
venir avant moi. Alors j’y
allais à cœur joie,
à gros coups de reins et
à nouveau, elle tourna la
tête et me lança ce
regard encore puis me dit cette
fois ci "Je vais te manquer!"
Sachant qu’après notre
soirée, elle partait en voyage
pour un mois. Là, elle venait
de me défier, elle me narguait,
elle me cherchait complètement.
Mon
envie de venir venait de disparaître
et mes reins accentuaient la cadence
tout en gardant le rythme. Intensité
se mit de la partie, moi tout ce
que je voulais, je le répète,
c’est la faire jouir. Je la
pilonnai alors sans arrêt
et enfin, au bout de quelques minutes,
je l’entendis qui gémissait
et je sentais enfin le plaisir monter
en elle. Je continuais mon travail,
elle lâchait des cris, je
savais à ce moment qu’elle
ne pourrait plus tenir l’orgasme
qui était monté en
elle. Comme de fait, je l’entendis
crier, je l’entendis jouir
dans un long râlement. Je
venais de la libérer, de
la soulager et ça, ça
pouvait se sentir. Moi, avec mon
esprit de compétition, je
me penchai à son oreille
et lui lâcha; "Je crois
que c’est plutôt moi
qui vais te manquer!" Je me
redressai et poursuivis mon travail,
elle se retourna à nouveau
et me relâcha son regard de
cochonne une dernière fois.
Je savais qu’à ce moment,
je venais de dompter cette petite
dame et je devinai qu’il était
rare de la faire jouir.

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