Sa bitch
 
[f.e.e.]
 
 
Scène érotique : Sa bitch

Un soir, je me laissais ramener chez cette petite dame que j’avais tant convoitée. Elle ne restait pas loin de la boîte où nous nous étions rencontrés. Arrivé chez elle, elle m’installa, me donna un verre et se dirigea sous la douche. J'étais installé dans sa chambre, attendant impatiemment qu’elle daigne se montrer. Comme de fait, je la vis apparaître dans le cadre de porte, flambant nue, pour que je puisse admirer ses courbes de déesse qui se présentent devant moi. Elle était sublime et détenait un de ces corps sculpté qui restera gravé à jamais dans ma mémoire. Elle s’approcha lentement vers moi, me prit la main et m’attira dans son lit. Je n’ai pas besoin de vous raconter l’histoire au complet...

Donc après les préliminaires et quelques positions, nous passâmes aux choses sérieuses. J’étais derrière elle en levrette et comme d’habitude, j’essayais de tenir la cadence tout en restant concentré et croyez-moi, pas chose facile à faire avec la vue qui s’offrait à moi. Je me démêlais tant bien que mal à résister à cette envie d’éjaculer en elle tout en tentant de faire plaisir à la dame. Quand tout à coup elle tourna la tête et me lança ce regard et lâcha ; "Let’s go bitch!" Cette petite phrase percuta mon oreille tel un fouet. Traduction de ce qu’elle disait, c’était ; "Alors qu’est-ce que tu fais, qu’est-ce que tu attends?" Au même moment, ce qu’elle m’avait dit eut l’effet escompté. Cela avait "tilté" dans ma tête et je me disais; "Oh la chienne!"

Visitez notre page Facebook Visitez notre page Tweeter

Dès ce moment, la cadence de mes va-et-vient s’était accélérée, la concentration avait disparu et tout ce que j’avais en tête c’était de la faire venir avant moi. Alors j’y allais à cœur joie, à gros coups de reins et à nouveau, elle tourna la tête et me lança ce regard encore puis me dit cette fois ci "Je vais te manquer!" Sachant qu’après notre soirée, elle partait en voyage pour un mois. Là, elle venait de me défier, elle me narguait, elle me cherchait complètement.

Mon envie de venir venait de disparaître et mes reins accentuaient la cadence tout en gardant le rythme. Intensité se mit de la partie, moi tout ce que je voulais, je le répète, c’est la faire jouir. Je la pilonnai alors sans arrêt et enfin, au bout de quelques minutes, je l’entendis qui gémissait et je sentais enfin le plaisir monter en elle. Je continuais mon travail, elle lâchait des cris, je savais à ce moment qu’elle ne pourrait plus tenir l’orgasme qui était monté en elle. Comme de fait, je l’entendis crier, je l’entendis jouir dans un long râlement. Je venais de la libérer, de la soulager et ça, ça pouvait se sentir. Moi, avec mon esprit de compétition, je me penchai à son oreille et lui lâcha; "Je crois que c’est plutôt moi qui vais te manquer!" Je me redressai et poursuivis mon travail, elle se retourna à nouveau et me relâcha son regard de cochonne une dernière fois. Je savais qu’à ce moment, je venais de dompter cette petite dame et je devinai qu’il était rare de la faire jouir.

all rights reserved © Kiose