Sous l'emprise de sa ceinture
[f.e.e.]
 
 
Titre : Sous l'emprise de sa ceinture

Ce jour-là, nous nous adonnions à une soirée sexe comme on fait à l'habitude. Une soirée "hot", longue et pleine de sensations. J'avais déjà eu quelques orgasmes durant la soirée et dans ma tête, nous étions vers la fin. J'étais installée là, sur le bord du lit à quatre pattes et je me faisais prendre par mon mec, quand tout à coup il arrêta net son va-et-vient. Une idée lui avait traversé l'esprit.

Il se déplaça dans la chambre et je le vis prendre son pantalon. Je me demandais où il voulait en venir et là, je le vis retirer la ceinture en cuir qui y était enfilée. Je me suis dit; "Il ne va tout de même pas me battre avec ça." Je restai là, comme il me l’avait ordonné, toujours à quatre pattes, ne disant rien et attendant sagement pour voir où tout cela allait mener. Il revint s’installer derrière moi et délicatement plaça la ceinture autour de ma taille, comme si c’était moi qui la portais. Il tenait les deux extrémités, la boucle dans sa main gauche et la queue dans sa main droite. Je le sentis qui plaça sa queue juste à l’entrée de ma chatte et me l’enfila lentement. Au même moment que sa queue me traversait, mon corps frissonnait de partout. Il reprit exactement où il avait laissé. L’excitation reprit de plus belle, je sentais que présentement il me tenait comme il faut, impossible de fuir sa queue si cela me venait à l’esprit. Là, il me baisait comme il le désirait, me ramenant constamment sur sa queue.

Je l’avais bien profond, je gémissais, je criais tellement chaque coup de ses reins entrait profondément en moi. L’imaginer là, derrière moi avec sa ceinture qui me claquait de temps en temps les fesses me faisait terriblement grimper aux rideaux. Les fesses bien relevées, il me pistonnait sans relâche. La tête complètement enfouie dans les draps, je bavais littéralement sur le matelas, car chacun de ses coups de reins m’obligeait à crier. Je criais constamment, il me "pinait" grave. Coup de ceinture après coup de ceinture, je perdis la "map", ma jouissance était là, elle frappait à la porte.

Coup de queue après coup de queue, j’encaissais royalement sa médecine. Il était profond, dur et loin de vouloir éjaculer en moi. Ce qu’il désirait c’était de m’entendre jouir à nouveau. Il se nourrissait de mes jouissances, de mes orgasmes. De coup de queue à coup de queue, je la sentis venir et je hurlais à la lune tellement c’était intense et bon. Je criais dans les draps qui étaient tous trempes de toute la bave qui s’était échappée de ma bouche ouverte. Lui, derrière moi, était encore plus excité de ma jouissance et n’avait pas lâché son rythme infernal. Il me "pinait" toujours, je n’étais plus là, j’encaissais sa queue, j’étais complètement essoufflée. Était-ce encore bon?

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