Scène
érotique : Moment
de faiblesse
L'eau
chaude de la douche coulait le long
de mon corps une odeur de lilas
emplissait la pièce, je prenais
bien soin de nettoyer avec le savon
que mon amant m'avait offert tous
les recoins de ma peau. La mousse
fondait littéralement sous
la chaleur de l'eau. Douce caresse
que mes mains prodiguaient à
mon corps repu de la veille. Nuit
de plaisirs tendre et sauvage à
la fois. Ma tête se noyait
encore des mille et une images du
corps à corps érotique
que mon amant m'avait si soigneusement
prodigué. Dieu qu'il pouvait
être tendre et attentionné
parcourant patiemment toutes les
zones sensibles de mon corps à
la recherche de l'endroit où
hors de tout contrôle je me
laisserai dompter sans effort.
Ah!
Que ces souvenirs venaient m'exciter,
je pouvais sentir ma chatte pulsée
sous mes doigts qui avaient rejoint
mes lèvres gonflées
de désirs. L'envie de me masturber
me prit et lentement je massais mon
clitoris, je fis des mouvements circulaire
avec mon index et mon majeur. Une
légère pression, puis
plus fort, plus vite. Mon rythme cardiaque
s’était accéléré,
les yeux fermés je caressais
de l'autre main mes seins bien tendus,
leurs pointes étaient en érection.
Je n'en pouvais plus j'avais besoin
de me sentir pénétrer.
Tout en continuant de jouer avec mon
clitoris, je fis glisser mon autre
main vers mes fesses et doucement
je fis pénétrer mon
index dans l'auréole délicate.
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Pénétrer
de la sorte, mouiller de sève
qui coulait entre mes cuisses, la
mouille transparente se mêlant
au savon, je plaquais mon torse
et mon visage sur les carreaux de
la douche les fesses bien arquées
les cuisses bien écartées.
L'eau continuait de glisser le long
de mon dos formant une cascade jusqu'à
mes fesses. Hummm! Que la vue devait
être agréable, dommage
que mon amant ne puisse pas admirer
ce spectacle. À l'idée
d'être surprise dans cet état,
un fulgurant orgasme déchira
mon ventre de plaisir, comme une
décharge électrique
des milliers de sursauts remplis
mon corps, mon vagin se contractait
de n'avoir rien à remplir.
Mon
anus "succionnait" mon
index encore là pénétrant
mes chairs. Mon cœur battait
jusque dans mes tempes. Les jambes
molles, les bras ballants, la joue
toujours collé aux carreaux,
je laissais mon corps se calmer.
Doucement, je revenais à
moi, je pris le temps de me redresser,
laissa couler l'eau encore un peu
sur mon visage. Éteins les
robinets de la douche et lorsque
je me retournais vers la porte d'entrée
de la salle de bain, je t’aperçus
bien positionner dans l'encadrement
de la porte le sourire aux lèvres
une main sur ton membre durci par
le spectacle que tu venais de contempler.
Tu tendis une main vers moi et me
dit; "Viens avec moi, on n'a
pas encore fini de jouer"
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