J'ai demandé la fessée
[f.e.e.]
 
 
Scène érotique : J'ai demandé la fessée

Nous étions sur le grand divan de son salon, c'était l'après-midi, nous venions de regarder un film et tout collé serré en cuillère mon copain et moi commençâmes à nous embrasser. Les baisers devenaient de plus en plus ardents et le désir de la chair se fit prenant. Je me suis placée debout au-dessus de lui comme pour lui faire une danse tout en soulevant mon T-shirt. J’ai commencé langoureusement à retirer celui-ci. Lui, était couché sous moi et regardait ma prestation avec un petit sourire au coin de la bouche, l'œil pétillant. Toujours debout au-dessus de lui, juste vêtu de ma petite culotte, je descendais vers son bassin imitant un "strip-tease". Je roulais des hanches à chaque mouvement, écartant parfois les cuisses juste devant son visage pour qu'il admire mon entrejambe à la perfection. Je simulais une masturbation, spectacle qu'il adorait et qui l'allumait. Il me dit; "Assis toi sur ma queue, je veux te sentir. "Obéissante, je fis descendre mon mini-slip turquoise sur mes cuisses tout doucement et lui demanda de le retirer une fois arrivé à mes chevilles, ce qu'il fit. Une fois flambant nue, je m'installais, chatte sur son visage. Sa bouche n'hésita pas une seconde à dévorer mon sexe.

Rares étaient les fois où je me laissais aller à faire cela, mais j'en avais envie. Je me tenais au rebord du bras de son divan les jambes bien écartées au-dessus de son visage. Je restais là, quelques minutes et le voyant retirer son boxeur je vis sa queue bien bandée se dresser vers moi. Je me défis de la caresse de sa langue et dirigea ma chatte directement sur ce gland lisse et dur qui m'attendait. Je n'ai pas eu besoin de le diriger de mes mains, il trouva l'entrée de mon vagin très facilement et s'y glissa doucement jusqu'à la garde. Assise les jambes bien écartées devant lui, je continuais le massage de mon clitoris. Sa verge bougeait dans le fond de mon vagin, je roulais des hanches telle une danseuse orientale sur ce dard cherchant à me procurer du plaisir. Mes cuisses commencèrent à me faire mal d'être trop longtemps dans cette position. Donc, je pris place toujours assise sur lui, mais cette fois-là bien confortablement posée sur mes fesses.

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Ma vulve pouvait frotter allègrement sur son ventre et stimuler mon clitoris de la même façon que j'adorais. Je commençais à glisser sur lui plus rapidement, pressant mon corps entièrement sur le sien tout en long. Nous nous embrassions à pleine bouche, lui ses mains emprisonnaient mes fesses et lès faisaient bouger au rythme de mes mouvements. Soudain, je lui dis à l'oreille "donne-moi la fessée" il me claqua une fesse doucement "plus fort" lui dis-je. Il recommença un peu plus fort "encore!" une autre claque retentit "encore plus fort! " criais-je. Il continua plus fort, encore de plus en plus fort, ses doigts rentraient dans ma peau comme un fouet. Il voulut arrêter pensant me faire mal, mais je lui ordonnais de continuer. "Continue et frappe fort ne te retiens pas!" lui ordonnais-je. Il me dit "tu es certaine?" Il comprit à mon regard que je ne rigolais pas. Alors une magistrale claque vint s'écraser sur ma fesse gauche. Surprise par la force de celle-ci et de la douleur qu'elle me donna, je mordis ma lèvre, une deuxième tomba aussitôt et une autre et encore une autre. Il alternait les fesses, une fois à gauche, une fois à droite.

Je continuais de me frotter à lui, stimulant mon clitoris de plus en plus fort, ressentant un mélange de douleur et de plaisir et le fait de me prendre comme ça, m'excitait vraiment beaucoup. Mon copain agrémentait le tout de grands coups de verges, ce qui augmentait les vibrations ressenties jusque sur mon clitoris. Je sentais monter la jouissance et ce ne fut pas long que claque après Claques je finis par jouir complètement sur son corps repu. Lorsque nous eûmes terminé, une fois devant le miroir de sa chambre, je me rendis compte de l'ampleur des marques que ses mains avaient laissées sur mes fesses. De belles traces de mains étaient imprégnées sur celle-ci. Que dis-je, étaient tatoués sur ma peau, elles étaient bien rouges, bien visible, on pouvait distinguer tous les doigts comme il faut. Il passa à côté de moi et me voyant regarder mes fesses il dit "c'est toi qui m'a dit, lâche-toi." J'ai gardé les marques de ses mains pendant presque deux semaines passant du rouge au beau bleu noir. Cela m'apprendra à demander la fessée.

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