Scène
érotique : Elle fuyait ma queue
J’étais
dans cette position qu’elle
adorait tant. J’étais
placé derrière elle
et lui offrait un "doggy style"
dont le rythme était soutenu
et d’une vitesse modérée.
Au début, nous étions
face à la tête du lit,
mais plus la cadence s’accentuait,
plus je remarquais que ma copine
se déplaçait dans
le lit, comme pour changer les angles
de la pénétration
qu'elle n'arrivait plus à
encaisser. Nous n’étions
plus face à la tête
du lit, nous étions placés
sur le côté de la tête
maintenant, tellement elle bougeait.
Moi, cherchant à retenir
ses hanches pour continuer mon va-et-vient,
je sentais que je devais la maintenir
fermement entre mes mains pour garder
le rythme, la cadence, et la profondeur
qu’elle adorait tant.
Je
sentais que chaque coup de bassin
que je lui offrais l’amenait
vers l’orgasme. Cherchant
la profondeur, je l’attirais
constamment vers moi, parfois une
main sur la hanche et l’autre
sur le haut de la fesse, ce qui
me permettais de me soulever et
de rentrer plus profond en elle.
Chaque coup de reins que je lui
prodiguais la faisait râler.
Je savais qu’avec cette cadence,
elle finirait par jouir. Donc je
continuai de la pilonner de ma verge
bien bandée, quand tout à
coup, elle me glissa d’entre
les mains, comme si soudainement
elle voulait fuir ma queue qui lui
en donnait trop. On aurait dit la
fuite d’un animal qui cherchait
à échapper à
un plus gros prédateur. Je
me suis dit; "Où est-ce
que tu vas?"
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J’étirai
les bras et je repris ses hanches
de mes mains fermes puis la ramena
vers moi pour lui "réenfiler"
ma queue bien profonde dans sa cavité.
Parfois elle râlait, parfois
elle gémissait et d'autres
fois, cela ressemblait à
des plaintes, des lamentations de
plaisir. Je savais que son orgasme
n’allait pas tarder. Comme
de fait, quelques coups plus tard,
je l’entendis éclater
de jouissance. Comme si le fait
de l'avoir ramené sur ma
queue avait décuplé
son envie de venir. Moi, tout excité,
je continuais de la pilonner sans
relâche.
Je
remarquai qu’elle n’était
plus là, elle était
lourde, son corps ne répondait
plus. Je la lâchai et elle
s’écrasa morte, face
première dans les draps.
Encore une fois, elle venait de
tomber "KO". Donc comme
à l’habitude, je lui
montai dessus, écarta ses
jambes de mes jambes et enfila ma
verge dans sa chatte, même
si elle était encore inanimée.
Je continuai de la pilonner profondément
pour que même dans les vapes,
elle puisse à nouveau sentir
la sensation de ma verge tout au
fond d’elle.

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