Elle fuyait ma queue
[f.e.e.]
 
 
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Scène érotique : Elle fuyait ma queue

J’étais dans cette position qu’elle adorait tant. J’étais placé derrière elle et lui offrait un "doggy style" dont le rythme était soutenu et d’une vitesse modérée. Au début, nous étions face à la tête du lit, mais plus la cadence s’accentuait, plus je remarquais que ma copine se déplaçait dans le lit, comme pour changer les angles de la pénétration qu'elle n'arrivait plus à encaisser. Nous n’étions plus face à la tête du lit, nous étions placés sur le côté de la tête maintenant, tellement elle bougeait. Moi, cherchant à retenir ses hanches pour continuer mon va-et-vient, je sentais que je devais la maintenir fermement entre mes mains pour garder le rythme, la cadence, et la profondeur qu’elle adorait tant.

Je sentais que chaque coup de bassin que je lui offrais l’amenait vers l’orgasme. Cherchant la profondeur, je l’attirais constamment vers moi, parfois une main sur la hanche et l’autre sur le haut de la fesse, ce qui me permettais de me soulever et de rentrer plus profond en elle. Chaque coup de reins que je lui prodiguais la faisait râler. Je savais qu’avec cette cadence, elle finirait par jouir. Donc je continuai de la pilonner de ma verge bien bandée, quand tout à coup, elle me glissa d’entre les mains, comme si soudainement elle voulait fuir ma queue qui lui en donnait trop. On aurait dit la fuite d’un animal qui cherchait à échapper à un plus gros prédateur. Je me suis dit; "Où est-ce que tu vas?"

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Jétirai les bras et je repris ses hanches de mes mains fermes puis la ramena vers moi pour lui "réenfiler" ma queue bien profonde dans sa cavité. Parfois elle râlait, parfois elle gémissait et d'autres fois, cela ressemblait à des plaintes, des lamentations de plaisir. Je savais que son orgasme n’allait pas tarder. Comme de fait, quelques coups plus tard, je l’entendis éclater de jouissance. Comme si le fait de l'avoir ramené sur ma queue avait décuplé son envie de venir. Moi, tout excité, je continuais de la pilonner sans relâche.

Je remarquai qu’elle n’était plus là, elle était lourde, son corps ne répondait plus. Je la lâchai et elle s’écrasa morte, face première dans les draps. Encore une fois, elle venait de tomber "KO". Donc comme à l’habitude, je lui montai dessus, écarta ses jambes de mes jambes et enfila ma verge dans sa chatte, même si elle était encore inanimée. Je continuai de la pilonner profondément pour que même dans les vapes, elle puisse à nouveau sentir la sensation de ma verge tout au fond d’elle.

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