Ce jour-là, je devais me rendre chez cet homme avec qui j’ai eu une aventure d’un soir. Je devais aller chercher un logiciel qu'il m’avait préparé sur CD. Je n’avais pas grand temps, mais je me mis tout de même sur mon 31 pour voir si cela allait l’aguicher. Je me présentai à sa porte, en tailleur blanc et des talons hauts. Il ouvrit la porte et ne dit rien. Ses yeux se sont baladés de haut en bas comme un scanner et je perçus son sourcil gauche se relever, ce qui voulait dire; "J’ai vu." J’avais le sourire accroché à mes lèvres, d’aguicheuse. Il me dit "Wow! C’est bien ce que tu portes". Il me fit entrer et je lui dis ne pas avoir grand temps. Il m’installa sur sa chaise d’ordinateur, le temps qu’il sorte le CD. J’avais, entre-temps, croisé mes longues jambes. Le CD dans la main, il s’approcha, le déposa sur le bureau et s’agenouilla lentement devant moi.

Il passa ses mains sur ma hanche et lès descendirent jusqu’à mes genoux, lès embrassant tendrement. Au même moment, avec toujours autant de souplesse, il me décroisa les jambes et les entrouvrit. Le spectacle était très excitant, je me laissais faire littéralement. Il remonta doucement ma jupe, j’écartai légèrement les cuisses. Constatant mon laisser-aller, il continua, embrassa mon entre cuisses tout en ayant les mains baladeuses qui se faufilaient sous ma jupe sur les côtés extérieurs de mes cuisses. Il prit le top de mon string, je soulevai les fesses et la petite culotte glissa le long de mes jambes. Je soulevai un pied après l’autre et hop, il l'envoya balader. Là, il écartait mes genoux qui lui ouvrirent le passage que sa tête prit dans mon entre cuisse jusqu’à atteindre ma chatte, je gémis sur le coup. Excitée de tout ça, je soulevai encore une fois les fesses pour avancer ma vulve vers sa bouche.

Il me lécha la chatte avec intensité, je ne cessais de râler et je sentis alors un doigt fendre mes lèvres de ma chatte complètement humide. Il

joua à l’embouchure de ma cavité vaginale, c’était agréable. C’était la première fois que je sentais de telles sensations. Mon excitation venait de passer à une autre étape. Sa langue accéléra, son doigt fit de même, je sentais mes fluides couler dans mon entre fesses. Ce doigt était à l’origine de tout cela. Nom de Dieu! Il va me faire éclater, pensais-je. Je pris sa tête à deux mains, la plantai plus fort sur ma chatte. Mes jambes venaient de s'installer sur son dos et le dossier de la chaise se cambra vers l’arrière.

J’appuyais de plus en plus fort sur sa tête, je voulais sa langue plus forte sur mon clitoris. Son doigt allait de plus en plus vite et d’un coup, je lâchai un grand cri qui n’en finissait plus. Je jouissais, mes jambes se crispèrent sur son dos et en même temps, de grands soubresauts retentissaient dans ma chatte. Je pleurais de jouissance, les mains toujours posées sur sa tête, l’enfonçant complètement dans ma chatte. Sa langue était toujours collée à mon clitoris, mais ne bougeait plus. Par contre, son doigt encore en moi, continuait ses mouvements avec douceur. Mon corps tremblait encore, ma bouche continuait de râler. Ayant repris mes sens, je me relevai, enfilai mon string et arrangea ma jupe. Je m’approchai de lui et lui offrit un long baiser juteux pour le remercier avant de quitter son appartement. Un baiser qui goûtait le sexe, mon sexe. Je me disais que ça avait valu la peine de me mettre sur mon 31.

P.-S. Ce soir-là, je l’appelai et lui demandai "Avec ton doigt, où jouais-tu?" Il rétorqua; "Je jouais avec ton point G. Quoi, tu ne savais pas que ton point G se trouve là?" Me sentant mal et gênée, je répondis maladroitement; "Oui oui, je sais tout ça!" Mais quelque chose me disait qu’il ne m’avait pas cru.