Scène
érotique : Il me dit comment
m’habiller
J’avais
une affaire avec cet homme dont
j’avais l'impression qu’il
était mon coach sexuel. Ce
jour-là, je devais lui rendre
visite et je cherchais quoi mettre
pour lui plaire. Je pris le téléphone
et l’appelai pour lui dire
que j’arrivais après
m’être décidée
sur ma tenue. Il se mit à
faire des demandes spéciales.
Il voulait me voir dans une robe
d’été légère
et le plus important, aucune culotte
dessous. Cette dernière demande
me laissa froide. Mais l’homme
insista et cette fois-ci il ne demanda
pas, il ordonna d’une voix
autoritaire. Je me pliais une fois
de plus à ses caprices. Je
me sentais toute bizarre, c’était
une première pour moi. Vêtue
de cette robe et de talons hauts,
je sortis et me dirigeai vers ma
voiture.
Et
là, une brise passa entre
mes jambes, la fraîcheur alla
caresser ma chatte. J’ai eu
un sourire et me disais que cet
homme savait exactement ce qu’il
faisait. Je sentais tout de même
un malaise, une gêne et me
demandait si les gens que je croisais
remarquaient que je ne portais rien
sous ma robe. Je pris ma voiture
et me dirigeai chez l’homme.
Assise derrière le volant,
fraîcheur entre les jambes,
je me suis mise à rêvasser,
à penser à ce qu’il
me ferait. Je roulais en sa direction
et une excitation incontrôlable
venait de s’emparer de ma
chatte. J’étais arrêtée
à un feu de circulation.
Ma vulve se mit à réagir
violemment, mon clitoris se mit
à avoir des secousses. Je
sentais déjà mon fluide
qui
|
 |
|
|
|
se
déversait entre mes jambes
jusqu’à atteindre mon
entre fesses. Je posais ma main
droite sur ma chatte humide et chaude
d’excitation et je la flattai
légèrement. Tout le
restant du trajet ma main est restée
collée à ma vulve
dont je prodiguai de petites caresses
tout en évitant de succomber
à l’excès, car
pour moi ce serait chose facile.
J’arrivai, je descendis de
l’auto et me dirigeai vers
sa porte. Je sentis une larme de
mon excitation qui coulait le long
d’une de mes cuisses.
Le
vent se leva comme pour faire exprès
et vint rafraîchir mon entrejambe.
Il ouvrit la porte, je montai les
escaliers et il m'accueillit en
haut des marches avec un malin sourire
aux lèvres. Il me demanda;
"Et puis, comment c’est
sans ta petite culotte?" Je
savais que me connaissant, il avait
fait exprès. Il s’approcha,
m’embrassa, souleva la robe,
posa une main sur ma vulve et glissa
non pas un doigt, mais deux doigts
avec facilité à l’intérieur
de mon vagin. Il vérifia
si sa demande spéciale avait
fait l’effet escompté.

|
 |
 |
|