Cet après-midi-là nous nous retrouvâmes au lit après deux semaines d’attente, j’étais en manque total. Ha! Que j’avais hâte de sentir sa queue se faufiler en moi! J’étais en train de tailler une pipe à mon mec, je me suis installé parallèle à lui qui était allongé sur le dos. Sa main droite venait se poser sur ma vulve et la caressait tandis que moi je continuais mon travail sur sa queue bien bandée. Je l'aperçus du coin de l’œil qui appliquait de la salive sur ses doigts pour permettre la pénétration de ceux-ci dans ma vulve. Il me caressait le clitoris et de temps en temps pénétrait l’embouchure de mon vagin cherchant à atteindre mon point G. sans toutefois me faire le moindre effet, car je ne suis pas une fille facile. Son doigt était dans ma chatte et s’y déplaçait vivement, il avait atteint un point sensible, car présentement des vagues de plaisir parcouraient mes entrailles, j’avais de la difficulté à ne pas crier et à garder ma bouche sur son gland. Prenant un air dégagé de toute sensation, je lui dis ; que penses-tu faire la! Mais mon bluff n’a pas fonctionné. Il accentuait ses mouvements sur mon point G., ma vulve allait défaillir, je commençais à jouir, mon ventre, mes reins tremblaient sous les rythmes de son doigt. Non, me dis-je! Je ne peux pas venir ainsi, je ne peux pas lui donner encore une fois cette satisfaction. Oui, ce petit monsieur avait le don de me faire jouir, quand il voulait, comme il voulait et cela m’énervait grave, car je n’avais plus de contrôle sur mon corps depuis que je le fréquentais.

Moi, qui atteignait l’orgasme rarement avant, mais avec lui ce fut totalement le contraire. Lorsque je sentais que mon corps ne jouirait pas, il me faisait plaisir de lui dire, mais cela lui faisait encore plus plaisir de me démentir et cela à plusieurs reprises dans une seule soirée. Donc, je ne voulais pas lui donner la satisfaction de me faire jouir avec son petit doigt insignifiant et de devoir subir son petit sourire narquois de fendant qui me ferait à nouveau me sentir comme une petite fille dans ses mains expertes.

Une grosse vague de sensations parcourut l’intérieur de mon vagin et me fit perdre totalement le contrôle encore une fois. Ma bouche qui le suçait goulûment s’était décollée de sa verge pour laisser sortir un cri de plaisir non désiré. J’avais beau me contracter la chatte, me concentrer sur autre chose, mais l’excitation et l’acharnement de son doigt fut trop fort. Je lâchais un gros "NON" incontrôlé et me dégageait de l’emprise irrésistible de son doigt diabolique. J’étais libre, mon ventre, ma vulve, mes jambes étaient pris de secousses fulgurantes.

Il bondit d’un coup sur ses genoux et me fit comprendre que cela ne se passerait pas ainsi. Il m’attrape par la taille avec son bras gauche, me bascule sur le lit comme une vulgaire crêpe et me paralyse totalement. J'étais installée sur le côté droit, lui sur son côté gauche, son bras gauche avait enlacé mes reins fermement laissant ainsi ma chatte à portée de sa main droite. D’un coup, il introduisit son major dans ma vulve et contenu là où il avait été interrompu. Il stimulait mon point G. de plus belle. Je criais à nouveau, un gros "Ha!" de rage, de frustration retentit de ma bouche. Je contractais mon vagin pour ne rien sentir, mais son acharnement ne me laissait aucune chance. Mes hanches accompagnaient les mouvements de son doigt comme par enchantement. Je n’avais plus de contrôle sur mon corps. Putain, c’était mon corps à moi, ça m’énerve grave que lui et ce petit doigt me fassent perdre encore son contrôle. Je râlais fort, je criais fort, me débattre pour qu’il lâche sa prise fut inutile.

Il agressait mon vagin, mon point G., mes parois vaginales pétillaient de miles feux d’artifice. Je respirais fort et me dis, rien ne serre de me débattre tel un poisson hors de l’eau, car visiblement mon physique m’avait abandonné. Servons-nous de notre cerveau! Me disais-je. Je me calme, respire, me concentre, je reprends le contrôle petit à petit, je le sens. Ouf! Pendant une fraction de seconde, je pensais avoir gagné. Mais mon physique eut le dessus sur mon esprit. Le monsieur s’acharnait sur mon point G., il l'agressait sans relâche. Ma vulve était sous l’emprise de contraction déchaînée, mon clitoris pétillait comme sous l’effet d’une euphorie incontrôlée, mes hanches dansaient sous l’emprise de son maudit doigt. Des cries de jouissance entremêlée de cries de frustration sortie de ma bouche, forts et incontrôlés. Il ne lâchait pas prise. Je sentais mon corps défaillir sous l’arrivée du plaisir non désiré. Tout mon être se mit à trembler, à convulser. Je lâchais un grand cri quand je sentis l’orgasme qui grandissait en moi était prêt d’éclater. Un cri non voulu, accompagnant un orgasme fort et non désiré sorti de ma bouche à l’allure d’une longue plainte de frustration… "NOOOOOOOOOOON!!!!" Je jouissais intensément… Ha!

Son doigt continuait, mais très lentement en moi et faisait sortir de longs gémissements de jouissance. Il me lâchait enfin, je lui lançais de longs regards d’assassins lorsque son sourire de fendant m’indiquait qu’il venait encore de gagner et me prouver qu’il détenait le contrôle sur mon corps. Pas la peine de vous dire que cette séance n’était que le début d’un après-midi torride où je reçus plusieurs orgasmes violent, mais cette fois-ci, désiré, mais tout de même incontrôlé qui me fit crier comme jamais je n’ai crié auparavant.