Je
fréquentais cette fille qui
reste à 260 km de chez moi,
nous nous voyons une fin de semaine
sur deux. Elle me raconte souvent
comme sa chatte lui fait mal, lorsqu’elle
est en manque de sexe. À
son arrivée chez moi, je
la tire dans ma chambre, la projette
sur le lit face contre le matelas.
Je déboutonne son jean et
le retire tout en faisant de même
avec sa petite culotte. Ses fesses
bombées accompagnées
de son tatouage tribal juste au-dessus
sont magnifiques et très
excitantes. Elle est là,
allongée attendant soigneusement
que je daigne la pénétrer,
car elle adore cette première
intrusion qui la délivrera
de cette longue attente qu’à
durée ces deux semaines.

Je
retire à mon tour mon pantalon
et grimpe sur elle en position [push-up].
Je mouille le bout de mon gland
de ma salive et me faufile entre
ses cuisses pour trouver l’antre
de son vagin. J’y fais pénétrer
le bout de mon sexe qui n’y
trouve aucune résistance,
car la petite dame est belle et
bien chaude et très humide.
Un long râlement de bien-être
fendit l’air comme accompagnant
le trajet de mon pénis qui
se faufile lentement dans son gouffre
humide. Ses mains qui avaient agrippé
les draps se sont ouvertes et restent
en suspend dans les airs comme pour
être en harmonie avec ce long
râlement provenant de sa bouche
et cette longue pénétration.

Je
m’enfonce jusqu’au fond
et y reste quelques secondes, juste
assez pour qu’elle le sente
en appui contre son utérus.
Sa tête s’est relevée,
elle continue de râler. Je
soulève les fesses et du
même coup fait ressortir mon
pénis de sa chatte, le laisse
à l’entrée de
ses lèvres pour ainsi l’aguicher.
Je relève le bassin un peu
plus haut et laisse choir ma verge
humide de sa mouille dans son entre
fesses et entame de longs va-et-vient
contre son anus. Elle gémit
tout le long de ce petit jeu…
La
queue bien bandée, je la
déplace vers l’entrée
de son vagin et la pousse à
nouveau vers l’intérieur,
aussi lentement que la première
fois. Encore une fois, un long râlement
se fait entendre tout au long du
déplacement de mon membre
en elle. Arrivé à
la garde, je lui ordonne ; Allez!
Fais-toi jouir! Elle agrippe le
drap, enfonce ses poings dans le
matelas et plaque ses fesses contre
ma verge. De ses bras, elle pousse
son corps vers l’arrière
et relâche encore et encore.