Trop de sensations en même temps
[f.e.e.]
 
 
Titre : Trop de sensations en même temps

Il reprit ses va-et-vient à grande vitesse, je posais le vibrateur sur mon clitoris. Shiiiiit! Que ce fut démantiel, fulgurant, les sensations de plaisir filaient à l’intérieur de ma chatte et cheminaient partout dans mon corps. Haaaaaaaaaaa!!!! Je râlais comme une déchaînée, j’ai envie de jouir constamment, envie d’éjaculer aussi et la stimulation anale était sensass. Je tenais le vibro de la main droite, mon plaisir était passé à un autre stade, j’avais l’impression de jouir, mais d’une jouissance continuelle, qui ne cessaient de finir. Tout le long de cette jouissance, ma main gauche s’était dressée dans les airs à 10 cm du matelas et restait là soutenue par tant de sensations de bonheur qui n’en finissait plus… Comme je disais, j’étais en transe continuel, paralysé par tout ces ressentis qui déferlaient en moi. J’étais figée là, la main en l’air, les fesses relevées, les jambes repliées, le torse dans les draps, les yeux fermés, la tête relevée, la bouche grande ouverte qui ne laissait sortir aucun son. Oui, j’étais totalement prise dans un autre univers. Pour moi, le temps s’était tout simplement arrêté.

Haaaa! Haaaaaaaa! Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! Mon corps est totalement en transe. Je jouissais depuis de longues minutes, mais sans vraiment atteindre l’orgasme qui m’agaçait et me torturait. Tout tremblait en moi, tout mon corps, tout mon intérieur. Des vagues de plaisir continuaient de déferler en moi. Je ne voulais pas que cela s'arrête. J’appuyais le vibro fort contre ma chatte, mon clitoris convulsait sans cesse sous la vibration, ma chatte était sous l’emprise de violente contraction qui n’en finissait plus, sans compter cette grosse envie d’éjaculer qui cherchait à gicler hors de moi. Je me laisse aller complètement, ma main n’a cessé d’accompagner toutes ces sensations en restant dans les airs, comme suspendu par magie attendant que tout ne s’apaise.

J’imaginais le spectacle que mon mec devait avoir derrière moi, [toujours les fesses pointées vers le haut et mes jambes s'étaient depuis peu relevées vers elles]. Je n’avais plus la sensation de respirer, je ne sais plus si je respirais, j’étais dans cette bulle de bien-être ou rien d’autre n’existait. Moi qui désirais tant que l’orgasme vienne me

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libérer… entre vous et moi, je ne la désirais plus, car j’étais bien comme ça, à jouiiiiiiiiiir infiniment, même si je savais que l’orgasme allait être quelque chose de divin.

J’aurais aimé pouvoir propulser mes hanches vers l’arrière pour ressentir un peu plus ce doigt qui me ravageait l’anus, j’aurais tant aimé qu’il soit plus gros, même son gros et long pénis mon anus l’aurait avalé sans difficulté. Son doigt dans ma chatte était parfait, il simulait à la bonne place, il offrait cette tension agaçante qui pourrait exploser en tout temps. Mon corps restait là, figé à attendre l’orgasme libérateur, mais je jouissais toujours sous tant de sensations. Un choc intense se déclencha de mon clitoris parcourant l’intérieur de mon vagin en harmonie avec ce doigt qui caressait mon point G. et continuait son chemin jusqu’au fond. Les parois de mon vagin contractaient de plus belle, libérant des vagues d’onde accompagnée de millier d’explosions partout à l’intérieur, tandis que mon anus agrippa son doigt avec force. Mes jambes qui depuis une secousse étaient relevées vers le haut se mirent à trembler dans tous les sens, accompagnés de mes fesses qui suivaient la même cadence. Haaaaaaaaaaa!

Cet orgasme restait une éternité en moi. Maintenant, je peux dire que je jouissais vraiment… j’imaginais à nouveau la vision que mon mec avait de moi qui était largement écartée à quatre pattes, les fesses complètement relevées, les jambes repliées et tremblantes, avec ses doigts toujours enfouis en moi. Cette vision m’excitait à nouveau, mais mon corps, ma tête étaient épuisés d’avoir reçu tant de sensations. Je m’écrasais complètement dans les draps, jambes et bras écartés de part et d’autre dans son grand lit king, le vibrateur toujours en marche derrière moi entre mes jambes…

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