Elle penche sa tête pour m'offrir sa nuque, son cou, je l'embrasse tendrement. Après quelques minutes de ce petit préliminaire, je retire sa chemise, je défais les boutons les uns après les autres. Je prends soin d'embrasser la naissance de ses jolis seins ronds blancs prisonniers de son soutien-gorge. La chemise retirée, j'embrasse à nouveau ses épaules l'une après l'autre, son cou reçoit encore la caresse de mes lèvres chaudes qui courent sur sa peau douce de bébé. Je commence à prendre goût à cette situation. Mes mains viennent défaire les agrafes de son soutien-gorge, je baisse les bretelles sur ses épaules et y appose d'autres légers baisers. La voilà, seins nus devant moi. Deux beaux seins ronds aux auréoles roses se dressent devant mes yeux. Elle a un geste de timidité devant mon regard. Elle lès cache rapidement de ses mains et me dit qu’elle ne lès aime pas, qu’elle lès trouve tombants. Je lui décroise les bras de sa poitrine libérant ses deux jolis globes de chairs pâles. Mes mains lès empoignent doucement, j'en pèse la lourdeur, je caresse du pouce la pointe qui se dresse sous mon doigt. Je la rassure et lui dit qu'ils sont très beaux. Elle penche la tête en arrière se laissant caresser ainsi quelques secondes, puis je lui fais signe de s'allonger sur le ventre et lui dis à l'oreille "laisse-toi faire, je m'occupe de toi ce soir". Elle lâche un soupir de satisfaction, s'allonge obéissante sur le divan. Je me place à genoux à côté d'elle, mes mains caressent son dos, je flatte furtivement de mes ongles sa peau qui réagit, de multiples frissons parcourent son corps. Elle gémit discrètement et me dis; « Tu es bonne, j'adore tes caresses, tu es tellement douce. »

Je continue à lui offrir un sensuel massage. Ma bouche parcourt son dos, la courbure de ses reins, le contour de ses flancs, sa nuque et ses épaules. Mon visage fouille sa chevelure, mes mains se baladent de plus belle sur son corps menu, je descends jusqu'à ses petites fesses rebondies sur les jeans qu'elle a gardé. J'ai l'image de mon copain qui me traverse l'esprit, je le vois mordre mes fesses sur mes jeans, je l'imite et mordille les deux globes de chaire avec de petites morsures bien précises sur le tissu épais. Elle réagit aux mordillements, elle roule ses fesses sous ma bouche, écarte les cuisses comme une invitation à plus. Au bout de quelques minutes, je lui retire son jean, faisant glisser sa petite culotte de coton blanc en même temps. La voilà complètement nue sur le divan.

Elle se retourne sur le dos comme gênée, se place assise les jambes croisées. Je la regarde, me mets à quatre pattes devant elle et