|
[f.e.e.] |
 |
|
Je
me
relève,
j’ôte
mon
polo
vert,
je
fais
descendre
mon
jean
le
long
de
mes
cuisses
doucement
tout
en
la
regardant
dans
les
yeux.
Elle
me
fixe
attentive
à
mes
moindres
gestes.
Puis
je
reviens
vers
elle,
habiller
de
mes
sous-vêtements
en
dentelles
blanches.
Je
m'étais
vêtu
comme
mon
copain
m'avait
ordonné,
mis
à
part
les
bas
collants
que
je
trouvais
de
trop
pour
un
1er
soir.

Je
me
positionne
entre
ses
cuisses
qui
me
sont
totalement
offertes,
mon
visage
est
à
quelques
centimètres
de
sa
petite
chatte
rose.
C’est
la
1re
fois
que
je
suis
si
proche
d’un
sexe
de
femme.
Je
prends
le
temps
de
le
découvrir,
mes
doigts
tâtent
ses
lèvres
roses
et
charnues.
J’entrouvre
celle-ci
pour
mieux
apprécier
ce
sexe
que
je
m’apprête
à
manger.
Son
clitoris
est
caché,
il
est
tout
petit,
mais
je
le
trouve
facilement
en
caressant
le
haut
de
son
pubis.
Sans
aucune
hésitation
et
comme
si
j’avais
fait
cela
toute
ma
vie,
ma
bouche
se
place
d’elle-même
sur
celui-ci.
Ma
langue,
doucement
lape
ce
petit
bout
de
chair
rose
qui
à
l’appui
de
ma
langue
se
rétracte
puis
réapparaît.
Ma
langue
se
met
alors
à
la
découverte
de
son
sexe,
elle
passe
sensuellement
sur
les
bords
de
ses
lèvres,
en
goûte
les
saveurs.
Elle
n’a
aucune
odeur,
juste
celle
du
sexe,
une
odeur
enivrante
qui
monte
au
cerveau.
Je
me
sens
sensuelle
et
macho
à
la
fois,
une
drôle
de
sensation
que
celui
de
donner
du
plaisir
pour
la
1re
fois
à
une
demoiselle,
me
dis-je
en
pensant
à
ses
paroles,
je
vois
mon
copain
qui
les
prononçais
pour
moi.
Je
la
regarde
se
trémousser
et
gémir
à
chaque
coup
de
ma
langue
sur
sa
chatte.
Je
tourne
de
plus
belle
ma
langue
sur
son
clitoris,
je
lape
celui-ci
comme
ferait
un
minou
dans
son
bol
de
lait.
Elle
adore
cela,
je
le
vois,
je
l’entends.
Elle
n’arrête
pas
de
me
dire
que
je
suis
bonne,
que
je
sais
m'y
prendre.
Ma
langue
fouille
dans
les
replis
de
son
sexe
mouillé.
Un
goût
salé,
mais
agréable
se
mélange
à
ma
salive.
Mes
mains
caressent
ses
fesses,
son
flanc,
ses
hanches.
Elle
se
redresse
brusquement,
me
regarde
et
me
dit
qu’elle
va
jouir!
Je
n’arrête
pas
la
cadence,
je
continue
de
la
lécher
à
grand
coup
de
langue.
Je
lèche,
lèche
et
suce
son
clitoris
qui
tressaille
dans
ma
bouche.
«
Ahhhhhhhhhhhh
je
jouiiiiiiiii!
Crie-t-elle
soudainement.
»
Elle
convulse
légèrement,
puis
retombe
sur
le
dos
comme
une
loque.
Je
lâche
sa
chatte
quelques
minutes
pour
m’attarder
plus
sur
les
rebords
de
ses
cuisses
que
j’embrasse
tendrement.
Je
la
laisse
se
reprendre.
Mais
je
n’en
ai
pas
fini
avec
elle.
J’ai
aimé
la
sensation
de
la
faire
jouir
et
je
pense
à
mon
copain
qui
va
me
dire...
«
Quoi
juste
une
fois,
c’est
tout?
Bah!
»
|
|
 |
|
 |
|
|
|
Alors
après
quelques
secondes
de repos,
je reprends
le contrôle
de la situation,
ma bouche
vient se
poser sur
les bords
de sa chatte,
j’embrasse
doucement
son sexe
encore frétillant
de plaisir.
Elle émet
un léger
désaccord,
mais elle
se laisse
faire. Mon
index pénètre
son vagin
mouillé,
je cherche
doucement
son point
g que je
trouve très
facilement,
j'en suis
même
étonnée.
Il est déjà
gonflé,
je rentre
mon majeur
qui rejoint
son ami
sur la zone.
Ma bouche
vient accompagner
mes mouvements
de va-et-vient,
mes doigts
frottent
de gauche
à
droite la
zone bombée
dans sa
chatte.
Je lèche
à
nouveau
son clitoris
pendant
que mes
doigts stimulent
son point
g. Elle
se tord
de plaisir,
elle bouge
et roule
du bassin
et elle
le surélève.
Elle gémit,
souffle,
elle me
dit;
«
Oh oui!
Oh oh oh,
c’est
vraiment
bon, tu
es excellente
toi, wow!
»

Alors
je continue
mon petit
jeu de doigts,
je me dis,
que si j’arrive
à
la faire
jouir comme
cela, j’aurais
de quoi
à
raconter
à
mon copain.
Quelques
coups de
majeur bien
pressé
sur le point
g, une lèche
appliquée
sur son
clitoris,
je suce
plus vite,
je fais
rouler son
petit bouton
de chair
sous ma
langue qui
devient
de plus
en plus
habile.
Mes doigts
pressent
la petite
zone gonflée
de son point
g, elle
gémit,
gémi
encore,
souffle,
se tord,
respire
fort, gémit
et;
«
Ohhhhhhhh,
je jouiiiiiiiiiii!
crie-t-elle
une 2ème
fois. »
Elle
convulse
plus fort
que la 1re
jouissance.
Elle se
tord un
peu, puis
retombe
sur le divan.
Lorsque
la demoiselle
se remit
de ses émotions,
elle me
regardait
à
genoux devant
elle et
me demanda
si je voulais
à
mon tour
qu'elle
me fasse
plaisir.
Mais dans
ma tête,
je n’en
avais pas
du tout
envie. La
seule chose
que je voulais
c’était
à
présent
de rentrer
chez moi.
Je me sentais
comme un
gars qui
a tiré
son coup
et qui veut
partir.
Je me rappelle
m’être
dit en moi-même;
«
Donc c’est
ça
la sensation
que les
hommes ont!
»
Ce
soir-là
en rentrant
chez moi,
je réalisais
que j’avais
franchi
un cap de
ma sexualité,
mais je
réalisais
aussi que
j'étais
loin d’être
bisexuel.
J'étais
juste curieuse...
Tout le
long de
mon retour
vers chez
moi, j’avais
une drôle
de sensation,
celle d’avoir
quand fait
quelque
chose de
pas correct.
Je sais
que mon
copain m’en
a donné
la permission,
j’ai
aimé
le faire,
mais j’ai
aussi la
sensation
de l’avoir
trompé
ce soir-là.
Je rentre
chez moi
un peu déconcerter
par tout
cela.
J'ai
réalisée
ce fantasme

|
|
 |
|