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[f.e.e.] |
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J’adore
l’eau,
j'aime
le
visuel
de
l'eau
qui
coule
sur
la
peau,
les
petites
gouttelettes
qui
caressent
celle-ci.
Je
trouve
cela
très
érotisant.
D'ailleurs
pour
moi,
faire
l'amour
sous
l'eau
c'est
un
"must".
C'est
sensuel,
électrisant,
pas
de
problème
de
chaleur,
on
est
confortable.
En
tout
cas,
je
parle
pour
moi.
Je
me
souviens
de
plusieurs
fois
où
j'ai
fait
l'amour
sous
la
pluie.
Mais
la
première
fois,
c’était
lors
d'un
bal
de
finissants
au
collège
que
je
fréquentais.

La
grande
salle
de
gymnastique
était
pleine,
tout
le
lycée
était
présent
et
nous
avions
mes
copines
et
moi
même
invité
nos
petits
copains
à
la
soirée.
Les
derniers
hits
des
années
90
résonnaient
à
fond
dans
la
grande
salle
du
gymnaste.
Nous
nous
étions
toutes
mises
sur
notre
31.
C'était
la
grande
soirée
de
fin
d'année,
je
terminais
mon
collège,
je
rentrais
au
lycée,
bientôt
majeure,
confiante,
je
regardais
le
monde
de
très
haut.
Rien
ne
me
faisait
peur,
bien
au
contraire
tout
était
prétexte
à
l'aventure.
Je
me
sentais
invincible,
immortelle,
puissante.
Cela
paraissait
dans
toute
mon
attitude,
je
transpirais
cet
état
d'être.
Je
me
vois
encore
marcher
le
long
de
la
salle,
1,53
m
à
peine,
le
regard
fière,
la
tête
droite,
toisant
tout
le
monde
sur
mon
passage.
Vêtue
d’une
robe
longue
blanche
en
nylon,
qui
moulait
mon
corps
à
la
perfection,
le
style
sirène
qu’un
volant
caresse
mes
chevilles
à
chacun
de
mes
pas,
de
fines
bretelles
sur
mes
épaules.
C'était
une
robe
emprunter
à
la
grande
sœur
de
ma
meilleure
amie
pour
la
soirée.
Elle
était
simple,
mais
je
l’avais
rehaussée
d'une
ceinture
de
nacre
gravée
autour
de
mes
hanches,
d’un
collier
assorti
et
des
boucles
d'oreilles
ainsi
que
d'une
paire
d'escarpins
noire
dégageant
mes
orteils
vernis
de
rose.
Mes
longs
cheveux
blonds
frisés
tombaient
au
creux
de
mon
dos
et
sur
mes
épaules
bronzer,
un
léger
maquillage,
je
défilais
fier
sur
la
piste
de
danse.
Je
sentais
les
regards
sur
moi,
douce
et
agréable
sensation
de
pouvoir.
Mon
petit
copain
de
l'époque
était
à
l'université,
il
était
considéré
comme
le
gars
que
toutes
les
filles
voulaient
avoir.
Pourquoi?
Hum!
À
vrai
dire
avec
le
recul,
je
n'ai
toujours
pas
compris
ce
qui
m’avait
vraiment
attiré
chez
lui.
Il
était
fils
de
diacre
adventiste,
musicien,
artiste,
petit
fils
à
papa,
le
dernier
de
la
famille
de
4
frères.
C’était
le
playboy,
beau
parleur,
le
genre
de
gars
à
qui
tout
réussi,
il
claque
des
mains
et
voilà
monsieur
reçois.
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Cela
faisait
presque
un
an
que
nous
nous
fréquentions,
mais
j’étais
en
train
de
terminer
cette
fréquentation.
Notre
statut
était
copain
copine
non
officielle,
à
cause
de
ses
parents
disait-il.
J’avais
fini
par
me
détacher
petit
à
petit
de
lui,
notre
relation
n’était
que
mensonges
sur
mensongers.
Le
sexe
était
nul,
ma
mère
avait
découvert
que
je
couchais
avec
lui
et
elle
m’avait
ordonné
de
le
laisser.
Il
était
venu
me
rejoindre
sur
la
piste
de
danse,
il
me
dit
qu’il
me
trouvait
sexy,
apposa
une
main
sur
mes
hanches
m’entraîna
au
centre
de
la
piste
comme
un
trophée.
Nous
avons
commencé
à
danser
un
Zouk
très
chaleureux.
La
soirée
battait
son
plein,
les
couples
s'amusaient,
les
corps
ondulaient,
se
collaient,
tout
le
monde
dansait.
Mon
copain
et
moi
même
nous
nous
étions
retirés
à
l'extérieur
du
gymnase
pour
quelques
caresses
plus
intimes.
Les
derniers
zouks
avaient
excité
mon
copain
et
l'alcool
lui
avait
retiré
sa
décence.
Ses
caresses
étaient
devenues
très
entreprenantes
sur
la
piste
de
danse.
Dehors,
nous
avions
trouvé
refuge
caché
par
deux
grands
arbres.
Adossée
à
l'un
d’eux,
mon
copain
très
entreprenant
se
tenait
face
à
moi,
nous
nous
embrassions
à
pleine
bouche.
Ses
mains
parcouraient
mon
corps
d'adolescente
sur
ma
robe
en
nylon.
Il
me
pressait
contre
lui,
ses
deux
mains
empoignèrent
mes
hanches
les
forçant
à
onduler
sur
le
rythme
de
la
musique
que
l'on
distinguait
derrière
nous.
L'ambiance
était
électrique,
j'aimais
sentir
que
j'étais
son
centre
d'intérêt
qu'il
me
désirait.
Il
n’arrêtait
pas
de
me
regarder,
de
détailler
mon
corps.
Il
le
caressait
de
tout
son
long
sur
le
tissu
de
ma
robe,
je
continuais
à
danser
langoureusement
suivant
le
rythme
du
zouk
derrière
moi.
J’accentuais
mes
déhanchements
plus
qu’à
la
normale.
Ses
mains
empoignèrent
mes
fesses
rondes,
il
lès
malaxa
fermement,
cela
faisait
effet
sur
moi.
Je
sentais
son
désir
gonfler
sa
queue
qui
durcissait,
j’ondulais
de
plus
belle
pour
l'exciter
encore
plus.
D'où
je
viens,
les
femmes
ondulent
de
façon
très
sensuelle
et
nous
apprenons
à
mouvoir
nos
hanches
extrêmement
bien.
...»
Suite
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