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[f.e.e.] |
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Toujours
le
dos
contre
le
tronc
de
l'arbre,
je
me
tenais
en
équilibre.
Il
avait
décidé
de
fouiller
mon
entre
cuisse
pour
vérifier
que
j'étais
bien
excitée.
Pour
cela,
il
avait
remonté
le
tissu
de
ma
robe
de
sa
main
gauche.
Il
dégagea
mon
petit
string
blanc,
inséra
deux
doigts
qu'il
fit
bouger
doucement
dans
mon
vagin
qui
était
effectivement
très
mouillé.
De
son
pouce,
il
caressait
mon
clitoris
qui
réagit
à
la
douce
pression.
Mon
cou,
mes
épaules
recevaient
ses
baisers.
Il
n'arrêtait
pas.
Mes
mains
étaient
sur
ses
épaules
larges,
je
le
guidais
vers
les
zones
qui
me
faisait
totalement
défaillir,
puis
il
souleva
ma
jambe
droite
vers
le
haut
la
fit
se
placer
sur
son
avant-bras,
me
voici
totalement
écarté
devant
lui.
Mes
cours
de
ballet
jazz
me
serviraient
en
ce
moment
pensais-je.
Ma
jambe
s'était
levée
très
facilement,
je
tenais
à
présent
en
totale
équilibre
sur
une
seule
jambe,
les
mains
autour
de
sa
nuque,
ma
jambe
gauche
bien
droite
poser
au
sol.
Ma
robe
retroussée
sur
mes
hanches,
il
avait
écarté
mon
petit
string
beige,
ouvert
sa
braguette,
sorti
sa
queue
de
son
pantalon
et
la
dirigea
vers
ma
chatte
humide.
Elle
rentra
facilement,
il
n'était
pas
si
membré
que
ça.
Collé
l'un
contre
l'autre,
il
me
pénétrait
doucement,
nous
étions
face
à
face,
je
pouvais
voir
ses
yeux
bruns
s’ouvrir
puis
se
refermer
à
chaque
coup
de
reins
qu'il
me
donnait.
Moi,
j'étais
là,
regardant
le
spectacle,
je
vivais
le
moment,
mais
mon
corps
ne
ressentait
rien,
à
part
un
léger
chatouillement
qui
se
faisait
sur
mon
clitoris,
car
son
pubis
frottait
complètement
dessus.
Le
ciel
était
devenu
gris,
les
nuages
lourds,
j’avais
levé
les
yeux
pour
admirer
la
lune,
mais
elle
était
à
présent
cachée
par
ceux-ci.

Un
éclair
déchira
soudainement
le
ciel,
le
tonnerre
gronda.
Je
sursautais,
je
lui
dis
qu'il
serait
mieux
qu'on
retourne
dans
le
gymnase,
mais
il
me
convainc
de
rester.
La
pluie
se
mit
à
tomber,
une
vraie
averse
tropicale
tiède
humide.
La
pluie
passait
au
travers
des
feuillages
du
gros
arbre
où
nous
nous
étions
cachés.
Mon
copain
n’en
tenait
absolument
pas
compte,
il
était
concentré
sur
son
plaisir
et
le
moment
qu'il
vivait.
Moi,
je
vivais
les
choses
totalement
différemment.
Oui,
j'aimais
le
moment,
j'aimais
voir
nos
corps
complètement
trempés
par
la
pluie.
Ma
robe
blanche
s'était
transformée
en
une
seconde
peau.
J’aime
voir
l'expression
de
gourmandise
se
dessiner
sur
son
visage,
il
avait
l'air
d'un
enfant
dans
un
magasin
de
sucreries.
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Mes
tétons
essayaient
de transpercer
la dentelle
de mon soutien-gorge
beige, le
tissu en
nylon de
ma robe
collait
à
ceux-ci,
on pouvait
détailler
tous les
petits motifs
qui contrastaient
avec la
transparence
très
évidente
de la robe.
Il approcha
sa bouche,
goba un
téton
qu'il suça
avidement
comme un
bonbon.
De l'autre
main, il
tenait toujours
ma jambe
droite dans
les airs,
je commençais
à
sentir mon
pied gauche
s’enfoncé
dans mon
escarpin.
La boue
venait envahir
mes orteils
manucurés,
je me mis
sur la pointe
du pied,
comme pour
retrouver
un peu de
force, mon
mollet brûlait
sur l'effort.
Mon
copain laissa
mon sein,
posa son
front sur
le mien,
sa verge
allait et
venait de
plus en
plus vite
dans mon
vagin. Son
pubis frottait
mon clito
agréablement,
je me surpris
à
penser pouvoir
jouir ce
soir-là,
de la sorte.
Je concentre
mon attention
sur les
sensations
que son
ventre offrait
à
mon sexe.
Ma tête
se dressa
vers le
ciel, la
pluie tombait
sur mon
visage,
l'eau coulait
sur ma peau
bronzée,
mon cou,
ma nuque,
mes épaules.
Une bretelle
de ma robe
venait de
tomber de
mon épaule.
Celle de
mon soutien-gorge
avait suivi,
le haut
de mon sein
gauche recevait
la pluie,
mon téton
presque
à
découvert
se dressait
de plus
belle, il
me faisait
presque
mal. L’eau
l’avait
réveillé,
il se dressait
dur sous
la dentelle
fine.
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