J'ai obtenu 35 orgasmes

Ceci n’est absolument pas une légende urbaine, ce que je vais vous raconter en quelques lignes est vraiment arrivé. De toute façon, je suis certaine que cela est arrivé à d’autres femmes que moi et que cela arrivera encore, Dieu merci!

Vous savez, que nous les femmes, nous sommes extrêmement chanceuses puisque nous sommes multi orgasmiques. Eh oui! Pour celles qui seraient encore sceptiques comme je l’étais, je peux vous jurer que nous le sommes. La seule différence entre celles qui le découvre et celles qui n’y sont pas encore arrivées, c’est la patience et l’acceptation de dépasser une certaine étape cruciale, après la 1re jouissance ou voir la 2ème. Bon sans plus attendre, j’arrête le suspense, je vous parle de ce soir-là où j’ai jouis 35 fois en 1h30. Oui 35 fois! Petit post-scriptum, pour celles qui l’ont vécu plus que moi, je suis ravie pour vous, mais moi je trouve déjà que c’est tout un exploit de m'être rendu à ce nombre. Je vous raconte brièvement comment cela s'est produit…

J’étais chez mon copain, je n’avais pas vraiment envie de jouir ce soir-là, mais juste de le sentir en moi. Ça m’arrive parfois de vouloir cette proximité physique sans vraiment obtenir obligatoirement une satisfaction orgasmique. Donc, je l’agace en l’embrassant sur le divan, dans sa tête à lui ça sonne plus du style; « Elle veut jouir, alors faisons-la jouir. » Il me dit de me mettre à genoux sur le grand fauteuil de son salon, je rouspète un peu comme à mon habitude. Je me place finalement torse contre le dossier, les bras ballants vers le sol. Il part dans sa chambre me donnant l’ordre de ne pas bouger… Quelques secondes plus tard, il revient avec un vibrateur électrique (le Hitachi). Il me dit ce soir, je n’ai pas envie de me fatiguer et tu vas compter tous les orgasmes que tu auras.

Je jubile déjà, car c’est mon jouet préféré. Comme une petite fille qui attend sa punition, je suis placée fesses relevées, dos courber, prête à recevoir une fessée. Ce qu’il me donne d’ailleurs assez rapidement, puis une autre et une autre. J’ai gardé mon petit short noir et ma camisole blanche. Il me dit d’écarter encore plus les cuisses et place le jouet directement sur mon clitoris, l’effet de la vibration sur cette zone de mon sexe est immédiat. La sensation

monte directement au cerveau, comme un choc qui d’éclanche l’euphorie sexuelle. Je grouille déjà les fesses d’envie. Lui, il s’amuse tranquillement à promener la tête vibrante du jouet de part et d’autre sur mon sexe, mes fesses, mes cuisses. Puis, il s’attarde enfin sur mon clitoris, il l’agace, le titille, le rend fou. Je crie de plaisir sous cette sensation débile, je ne peux m’empêcher de jouir tellement c’est bon. Ce petit jeu continu et je vous épargne les; « Oh! Oui! Oh, oui! » Car il me fera jouir de cette façon 4 fois, avant de décider de me retirer mon short noir ainsi que mon petit string blanc. Il retire son pantalon et se place derrière moi à genoux sur le divan. Il frotte son pénis contre ma chatte mouillée, me pénètre doucement jusqu’à la garde. Oh mon dieu, que cette sensation est indescriptible lorsque je la ressens se faufiler en moi. Il me donne le jouet dans la main et me dit de le mettre directement sur ma chatte, ce que je fais immédiatement. Je sais exactement les jouissances qui m’attendent, je suis impatiente de les recevoir, d’ailleurs, j’accueille les coups de queue de mon copain avec beaucoup de ferveur.

Dans les minutes qui ont suivi, je suis venu encore une dizaine de fois, j'en avais même perdu le décompte. Il continuait derrière moi à me donner des coups de queue bien précis, il cherchait l'angle qui me ferait tressaillir à nouveau. Il faut dire que j’ai la chance d’avoir un amant qui est endurant, il focus sur mon plaisir avant tout. Cela devait faire au moins une heure qu'il me pilonnait la chatte de sa queue, dans différente position, allongé sur le divan, une jambe placée sous ses cuisses entre ouverte, l’autre écartée et posée sur la tête du divan. Il avait un accès direct à mon vagin qui tremblait, tellement il avait joui. Mais, je n’étais pas rassasiée, j'en voulais encore et encore. Mon clitoris me faisait mal, il brûlait après chaque orgasme. Mon vagin était épris de violentes contractions, car il venait de recevoir un nombre incalculable de chocs électriques dû au plaisir reçu. J’avais chaud, je gémissais de plaisir, mais aussi de fatigue, ma tête vacillait entre la réalité et le coma. Il continuait, voulant atteindre un score de 20. Une fois qu'on y est arrivé, il me dit; « On se rend à 30! » Je lui dis; « Non! » Car je n’en pouvais plus, mon corps n’en pouvait tout simplement plus.

...» Suite

all rights reserved © Kiose