Ma première expérience anale

Quelques mois après notre première rencontre, nous sommes chez cet homme qui m’a enfin offert mes premiers orgasmes. Nos rendez-vous secrets se sont quelque peu espacés. Cette fois-ci, il voulut m’initier à la sodomie. Personnellement, je n’étais pas du tout d’accord, car j’avais entendu dire que cela était très douloureux et aussi parce que ma « semi » conscience chrétienne me disais que c’était proscrit. Mais bon, de toute manière je pratiquais depuis plusieurs mois beaucoup de choses proscrites par la Sainte Bible. Le fait également de penser que cette énorme verge se glisse complètement dans mon derrière me remplissait d’inquiétude, j’appréhendais beaucoup cette pénétration. Oui! J’avais vraiment la chienne que cette énorme queue déchire mon "ptit cul". Je fixais sa verge bien bandée devant moi et je ne pouvais pas croire qu’elle puisse rentrer en moi sans que cela ne me cause aucune douleur.

Il s’approcha de moi, je ne bougeais plus, j’étais figée. Mon cerveau ne pensait qu’aux prochaines minutes. « Tu vas vraiment te laisser faire ? » Pensais-je. « Non, il va comprendre! » me répondais-je aussitôt. Ses mains caressaient mon corps, il m’embrassait doucement, je savais pertinemment qu’il essayait de me rassurer. Il me prit par les épaules me dis que tout irait bien, qu’il ferait très attention. « Si tu sens que cela te fait trop mal, j’arrêterais, d’accord! » Je ne répondis pas, je le fixais des yeux comme pour lui faire comprendre que je n’approuvais pas la suite des évènements. Il me coucha sur le lit, m’embrassa tendrement, mes lèvres se laissèrent aller sous ses baisers. Sa langue parcourait mon menton, ma mâchoire, mon cou, il descendit vers le haut de ma poitrine. Ses mains volaient sur mon corps, elles étaient légères et en un instant des milliers de frissons parcoururent ma peau. Il savait comment faire monter le désir en moi. Il passa de longues minutes à préparer mon corps, celui-ci d’ailleurs frémissait. Mon cerveau ne pensait plus du tout aux manigances de mon maître. Sa bouche était à présent entre mes cuisses, il préparait le terrain… Ses doigts caressaient le contour de mes fesses, elles empoignaient fermement celles-ci. Sa langue l'échait le contour de mon anus, cette sensation était délicieuse. Je me disais wow, continu, c’est un vrai délice! Il accomplissait un va-et-vient avec sa langue allant de l’entrée de mon vagin jusqu'à mon anus. Je pouvais sentir sa salive couler entre mes fesses.

Après une longue discussion et beaucoup de préliminaires, il réussit à me convaincre, je me dis pourquoi pas. De son pouce, il fit des petits ronds autour de mon anus, petit à petit je sentais celui-ci se dilater. Un réflexe physique contractait mon anus à chaque fois qu’il essayait d’y faire pénétrer son pouce. Quelques caresses plus tard, je sentis son pouce écarter la chair tendre, une contraction se fit aussitôt autour du doigt. J’étais revenu à la réalité, je compris qu’il n’avait pas abandonné son idée. J’étais là, sur le fait accompli, je pouvais tout arrêter si je le voulais, mais la sensation de ce pouce dans mes chairs n’était pas totalement désagréable. Je finis par lâcher prise et j’abdiquais à ses requêtes. Puis, doucement, lentement, il prit possession de mon petit cul. Lorsqu’il sentit que je me laissais aller, il me demanda de me mettre à quatre pattes sur le lit. Un moment d'hésitation me parcourut encore une fois, mais j’obéis. Je me positionnais selon son désir. Il se plaça derrière moi, offris quelques baisers sur mes petites fesses et lès écarta doucement. Puis je sentis un torrent de salive déferler entre mes fesses, le liquide dégoulina jusqu'à ma chatte. Je regardais devant moi la tête du lit en bambou, mon cœur battait la chamade. Non pas de désir, mais bel et bien d’appréhension. De la salive déglutie dans ma gorge lorsque je sentis son gland glisser entre mes fesses. Il s’amusa pendant quelques secondes à le promener entre celles-ci glissant allègrement sur la peau tendre de mon anus et de mon "entre-fesse". Je pouvais l’entendre gémir de satisfaction.

J’attendais passive, impatiente qu’il en finisse et que la pénétration soit faite. Il arrêta son petit manège avec son gland, remis son pouce sur le rebord de mon anus et pénétra celui à quelques reprises. Nous y étions, me disais-je! Je sentis le bout de sa queue se placer à l’entrée de mon anus. Il tenait toujours une de mes fesses de sa main. Le gland se frayait une ouverture, écartant de plus en plus mon anneau étroit de chair. Je ne respirais plus, j'étais en attente de la moindre sensation de douleur. Le gland rentra complètement, puis un réflexe de contraction de ma part le fit ressortir. Il recommença, cette fois-ci une partie de sa verge rentra un peu plus profond. J’avais ouvert la bouche automatiquement, pensant entendre un cri sortir, mais non-rien. Sa queue se fraya un chemin doucement, jusqu’au fond de mes entailles. Il était rentré à présent jusqu'à la garde. Aucune douleur???

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