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[f.e.e.] |
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J’ai
fréquenté
un
gars
que
je
voyais
seulement
le
week-end.
Après
quelques
semaines
de
fréquentation
seulement
une
belle
routine
sexuelle
s’était
insérée
entre
nous.
Il
ne
faisait
plus
du
tout
d’efforts
pour
me
plaire,
il
était
constamment
sur
son
cellulaire
ou
répondait
à
je
ne
sais
qui.
Il
disait
constamment
être
fatigué
de
sa
semaine
lorsque
je
lui
faisais
des
avances.Et
le
comble,
c’est
qu’il
me
disait
:
*
«
Princesse!
Tu
me
baises
tellement
bien,
c’est
normal
que
je
te
laisse
faire
voyons!
»
Traduction
:
je
n'ai
pas
envie
de
faire
d’efforts
alors,
baise-moi!
*
«
Prend
soin
de
moi,
je
suis
fatigué
de
ma
semaine.
»
Traduction
:
Ouais,
il
était
surtout
fatigué
et
avait
les
couilles
vides
d’avoir
baisé
le
quartier
oui!
*
«
Aller
viens
monte
sur
ma
queue,
tu
sais
tellement
bien
t’y
prendre…
»
«
Tu
sais
quoi,
j’ai
envie
de
ton
petit
cul
sur
ma
queue
ce
soir,
montre-moi
de
quoi
tu
es
capable!
»
«
Des
préliminaires?!?!?
Euh
non,
je
ne
fais
pas
ça
moi!
»
«
Quoi
tu
n’aimes
pas
comment
je
te
baise
alors
fait
le!
C’est
toi
la
meilleure!
»
BLA-BLA-BLA!
Revenons
en
arrière
:

Pendant
toute
ma
vie
de
couple,
lors
de
mes
ébats,
je
devais
prendre
non
seulement
les
initiatives,
les
directives
et
la
responsabilité
de
la
jouissance
de
l’autre.
Mais
quand
était-il
de
la
mienne?
Pourtant,
j’étais
avec
quelqu’un
qui
prônait
à
tous
que
pour
lui
ce
qui
comptait
en
premier,
c’était
le
plaisir
de
sa
conjointe.
Et
bien,
je
cherche
encore
où
était
ce
dévouement
si
spécial.
Ah
oui
sûrement
qu’il
voulait
parler
du
plaisir
de
recevoir
de
l’autre,
oui
ça
doit
être
cela.
«
Donne,
donne,
donne
chérie,
tu
le
fais
tellement
bien
pourquoi
je
me
forcerais?
»
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Un
soir, j’avais
planifié
toute une
soirée,
bougies,
souper,
whisky,
vêtement
affriolant
et j’en
passe. J’étais
chaude,
allumée,
dans ma
tête,
j’avais
imaginé
la scène
toute la
journée
au travail.
Je voulais
que l’on
s’occupe
de mon corps,
de moi,
de ma personne.
Je voulais
que l’on
prenne le
temps de
me manger,
de me déguster
tout comme
moi
je le faisais
à
de nombreuses
reprises.
Mon conjoint
était
arrivé,
s’était
douché,
avait apprécié
le souper
et l’atmosphère
de la soirée.
Au moment
où
je me suis
dite nous
y voilà,
il s’est
couché
sur

le tapis
du salon,
a allumé
sa PlayStation
et m'a dit;
«
Je vais
jouer un
peu Bébé
si cela
ne te dérange
pas. »
Un grand
sourire
d’enfant
de 4 ans
accroché
au visage.
Je bouillonnais
dans ma
tête…
«
Quoi, il
est aveugle???
Mes signaux
n’ont
pas été
assez clairs???
Il croit
que je fais
la cuisine
en nuisette
à
tous les
soirs???
»
Je respire,
respire
encore,
car je l’avais
un peu mauvaise.
Mais j’étais
aussi en
manque grave,
alors je
me suis
dit lance
toi. Je
me suis
approchée
de lui et
je lui ai
dit à
l’oreille;
«
Fais-moi
jouir! J’ai
envie de
toi et de
ta queue!
»
Tout en
lui léchant
l’oreille
au passage.
Il s’est
retourné,
m'a regardé
et a déposé
sa manette
sur le sol.
Je me suis
un peu mise
en retrait
pensant
qu’il
allait m’embraser
ou autre.
Je le vis
retirer
son pantalon
le déposer
à
côté
de lui et
me dire;
«
Tu me fais
une petite
gâterie?
»
J’ai
failli étouffer
de rage
ce soir-là.
«
Suce-toi
tout seul!
»
lui ai-je
lancé
en chipant.
Je me suis
levée
et je suis
partie frustrée.
À
mon retour
au salon,
il avait
toujours
le cul nu
et la manette
de son jeu
dans les
mains.
...»
Suite
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