Il me pris l'idée de me faire éjaculer

8h du matin, un cauchemar me réveil en sursaut, mon cœur cogne dans ma poitrine, les yeux ouverts, je regarde le plafond de ma chambre. Ma respiration se calme, mes pulsations cardiaques redeviennent normales. J’allais retomber dans le sommeil, lorsque je ressentis mon vagin se contracter comme il le faisait lors de mes périodes de manque. J’essayais de ne pas y faire attention et replaça confortablement mon corps dans les couvertures chaudes de mon lit. Un cousin entre les cuisses, j’étais prête à m’endormir.

Mais mon sexe en avait décidé autrement, les contractions vaginales augmentèrent et mon clitoris commença à palpiter. Au bout de quelques minutes à changer de position pour calmer ces pulsions, je finis par me lever et commencer ma journée. Je me disais que cela allait se calmer tout seul. Effectivement, les pulsions se turent. Je pris mon café en regardant un petit documentaire et par la suite je décidais d’entreprendre mes exercices. Cela devait faire environ 20 min que je venais de commencer mes squats, j’en étais à ma dernière série lorsque les contractions vaginales de ce matin reprirent tout doucement. Sûrement que le fait de forcer et de serrer les muscles du ventre à chaque mouvement avait dû influencer. Je ne m’y attardais pas, je continuais ma série et je passais aux derniers exercices, des squats « sumo ». Les poids dans chaque main, je m’appliquais à bien faire mes descentes les cuisses bien écarter, je serre les abdos, serre les fesses et m’accroupis. OUffff! En remontant un frisson parcourt l’intérieur de mon vagin qui vient faire palpiter le haut de mon clitoris. Je m’accroupis encore, plus rien. Les répétitions se poursuivent, puis à nouveau, le même frisson vient agacer mon sexe.

Je sais que je n’y échapperais pas et que je vais devoir me résoudre à me calmer après mes exercices. Alors je me dépêche à finir mes séries, je force pour les dernières ce qui contracte encore plus les parois de mon vagin qui me lance de légers chatouillements. Rien de très intense, mais juste assez pour agacer. La séance d’exercice terminé, je me dirige vers la douche. Une fois sous l’eau chaude, mes mains savonnent mon corps et mes doigts passent entre mes lèvres entre ouverte de mon sexe toujours palpitant. Je presse mon

index et mon majeur sur le bout de mon clitoris et le fais rouler entre mes doigts. Je me caresse le corps de ma main libre, je penche la tête en arrière pour mieux me laisser aller. Mon vagin répond aux caresses, mes doigts pénètrent son entrée moite. J’agace la petite chair tendre de l’intérieur de mon vagin et de l’autre main je frotte mon clitoris pour augmenter mon plaisir. Je me procure ce type de caresse pendant quelques minutes, mon sexe veut jouir, je le sens dans mon ventre, mais la jouissance ne veut pas exploser. Je décide donc d’arrêter et de terminer de me laver, le sexe toujours sous l’emprise des pulsions. La journée défile, j’ai réussi à oublier les appels de mon sexe. Youpi!!! Il a abandonné la partie.

Quelque instant plus tard, une amie me propose d’aller faire du patin à l’extérieur, je lui dis que cela était une excellente idée. Je me prépare, enfile des leggings chauds et un col roulé à manche longue. Mon manteau d’hiver sur le dos, je descends les escaliers pour la rejoindre au parking de mon immeuble. Notre petite sortie est vraiment une bonne idée, la température est parfaite. Nous enfilons nos patins et nous voilà sur la longue patinoire qui borde la rive du lac. Je ne suis pas très habile sur mes patins et j’essaye tant bien que mal de ne pas me casser la fiole sur la glace. Mon amie, elle a l’air d’une vraie joueuse de hockey. Elle est complètement prise de fou rire lorsqu’elle me voit essaye de freiner sur le bord de la piste. Nous patinons finalement ensemble côte à côte, tout va bien, je profite de ce moment super agréable lorsque les frissons vaginaux refont surface. Je lès fais partir en me concentrant sur mes coups de patins sur la glace, je n’arrête pas de me dire; « Reste en équilibre, oui, c’est ça, un pied après l’autre. » Mon amie me regarde, tout en me disant; « Il faut que tu sois moins raide, moins droite, sinon tu vas tomber! » Dans ma tête, je me disais; « Oui, je sais, mais là si je fais cela les frissons augmenteront dans ma culotte. » Je la regarde et lui fait un signe de "oui" en hochant de la tête. Mon dieu, si seulement elle savait ce qui m’arrive. Pourquoi là, maintenant? Pourquoi aujourd’hui? Je ne pense même pas au sexe!

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