Je
devais avoir 13 ans, notre maison
était vraiment toute petite
et je dormais dans un grand lit
dans le salon, le mur de la chambre
de mes parents était collé
à la tête de mon lit
et les murs en contreplaqué
était très mince donc
tous les bruits pouvaient être
perçues et entendus. Cette
nuit-là, je m'étais
réveillé à
cause d'un bruit répétitif
et bizarre, un ploc ploc ploc survenait
de je ne sais pas où. Encore
dans mon sommeil, je prêtais
un peu plus attention aux sons qui
provenais de la chambre de mes parents,
plus je me concentrais plus le bruit
devenait évident à
mes oreilles et je commençais
à percevoir d'autres sons
se rajouter, je compris très
vite que ce que j'entendais était
les gémissements de ma mère
et les claquements de fesses ou
d’une autre partie du corps
de mon père sur ma mère.
Ce n'était pas la première
fois que j'entendais mes parents
baiser, donc je ne suis pas surprise.
J’ai
pris mon coussin comme je le faisais
habituellement, le plaçant
sur mon visage pour étouffer
les bruits, je fermais les yeux
et me concentrais pour me rendormir.
Mais cette nuit-là, je ne
sais pas pourquoi les gémissements
traversaient mon coussin et rentraient
directement dans mes tympans. Ah!
Je voulais dormir et imaginer mes
parents baiser ne me plaisait pas
plus que ça. Mais les râlements
de plaisir continuaient et doucement
mon esprit commença à
partir dans des fantasmes de jeune
fille pucelle.
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Un
deuxième coussin entre mes
cuisses, je commençais à
sentir mon vagin se contracter de
petites secousses, il me vint comme
une envie de faire pipi et puis
la contraction se fit sentir plus
intense et descendit sur mon clitoris
de plus en plus intense.
Les images dans ma tête virevoltaient
et des envies de caresses et de
baisers tendres remplissaient ma
tête de jeune fille pré
pubère. Je frottais de plus
en plus fort ma petite vulve sur
le bord rude du coussin bien placer
entre mes cuisses serrer, cherchant
à provoquer le plaisir que
j'avais découvert quelques
années avant. Mes lèvres
se frottaient rapidement sur le
tissu rêche en coton. Je sentais
un liquide humide couler le long
de mes cuisses, je mouillais à
me frotter ainsi. Les gémissements
de ma mère s’étaient
atténués et je continuais
quand même mon va et viens
rapide pour atteindre cette sensation
incroyable que je n'appelais pas
encore à cette époque
un orgasme. Soudain, la porte de
la chambre s'ouvrit et mon père
sortit pour aller aux toilettes.
Je
me rappelle m'être figé
de peur et de surprise, le cœur
battant dans mes tempes, le visage
rouge de honte, les jambes bien
serrées. Je ne respirais
presque plus sous mon coussin lorsqu'il
ferma la porte de la salle de bain,
je replaçais sans le moindre
bruit mon cousin qui était
entre mes cuisses vers mon torse
et je repris mes esprits. Je peux
vous dire que toute envie de jouir
avait quitté mon corps et
ma tête…

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