Ma petite voisine

J’avais une petite amie de Cartier, ma petite voisine, j’allais à la même école qu'elle et souvent ma mère me faisait garder par elle. Elle était un peu plus âgée que moi, pas beaucoup à bien y pensé, 3 ans de plus. Moi je l’enviais, car à 10 ans déjà elle était une jeune femme, elle avait une poitrine naissante, des hanches et elle m’avait dit un secret, elle avait déjà du poil au pubis. Moi à peine 7 ans, toute petite, je n’avais rien d’une ado pré pubère. Oh non, rien ne pouvait faire croire à ma féminité même pas mes cheveux. Ma mère avait un penchant pour la coupe à la René Simard, vous imaginez le topo. Bref, tout ça pour dire qu’un soir de gardiennage bien ordinaire, on jouait très tranquille au jeu de l’oie. Assise sur la natte de paille sur le parterre de sa chambre, je ne me rappelle plus très bien pourquoi la partie avait stopper et qu’elle c’est approcher de moi pour me demander si je voulais faire un autre jeu. J’ai dit oui, c’est cool on joue à quoi lui répondis-je. On va jouer au papa et à la maman. Tu vas être le papa et moi la maman d’accord. Je n’étais pas emballé à l’idée de jouer à ça, mais dernièrement c’était pas mal son trip. Sauf que là, elle me dit; j’ai vu mes parents jouer ensemble la dernière fois et maman avait l’air d’aimer beaucoup ça. Tu veux que je te montre?

Toujours un peu perdu dans ce qu’elle me racontait, je lui ai dit oui. Alors elle s’approcha de moi et commença à me toucher directement sur le dessus de mon petit short, je là repousse et lui dit « tu fais quoi? » et elle me répond « c’est comme lorsque l’on joue au docteur, mais mieux encore » Oui, il faut que je vous dise une chose avec elle et des petits voisins ont s’amusais parfois au docteur, mais rien de très sexuel vraiment une platonique découverte de notre anatomie. Donc je me laisse faire, ses doigts massent bien le dessus de mon pubis et elle me demande si cela me fait quelque chose. Un peu avant cet épisode j’avais découvert quand frottant ma vulve sur le rebord de mon coussin, je pouvais obtenir une étrange sensation qui me procurait du plaisir alors ce qu’elle me fessait était effectivement agréable. Elle me dit de retirer mon short et ma culotte, j’avais peur que quelqu’un rentre dans la chambre et nous découvre, ça aurait été la honte. Alors, elle se leva et alla fermer la serrure de la porte de sa chambre et revint à côté de moi sûre d’elle. Elle retira sa culotte et garda son long t-shirt qui lui servait de robe de nuit et me dit « à ton tour! » Je fis de même, je retirais mon short et fit glisser ma petite culotte blanche en cofonde fillette sur mes chevilles. Elle s’allongea complètement devant moi sur la natte de paille et écarta ses cuisses m’invitant à venir m’asseoir sur elle, j’eu un moment d’hésitation et je me rappelle avoir complètement figé sur la vue de sa petite vulve pas

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encore tout à fait femme. Je me suis approché d’elle et j’ai regardé attentivement les moindres replis de sa chatte, des poils ou du moins un duvet de poils bruns parsemaient ses lèvres et son pubis, elle avait les lèvres brunes et l’intérieur plus rose. Je pouvais distinguer le petit bourgeon que faisait son clitoris. À l’époque, tout cela pour moi n’avait pas tout ces noms, mais je pouvais faire très facilement la différence avec la mienne qui était au stade évolutif. Je me rappelle m’être assise sur elle, une jambe de chaque cote bien écarter, le contact de sa peau sur mes cuisses et celui de son pubis sur ma vulve fut très surprenante, c’était chaud et doux. Je n’étais pas bien placé et elle me le fit comprendre. Je compris aussi que cela ne devait pas être sa première expérience et qu’elle cherchait sûrement avec moi un cobaye pour satisfaire un jeu essayer dans le passer avec une autre amie. La peur et la curiosité me tenaillaient, mais l’envie de découverte était plus forte.

Elle me dit de reculer un peu vers le bas de son ventre et de coller mon sexe au sien, ce que je fis facilement puis elle commença à bouger son bassin pour faire coller sa chatte à la mienne. Nos deux petites vulves s’embrassaient comme deux bouches timides. J’aimais ça et elle aussi à la voir se mouvoir de la sorte. Le duvet naissant sur ses lèvres me chatouillait et me procurais des frissons, je me frottais de plus en plus vite sur elle. Je me suis mise à imiter les grands et je fis un mouvement de va et viens sur sa vulve ouverte à la mienne. Elle me dit de continuer à le faire, cela n’avait rien de très sexy croyiez moi, mais nos attouchements intimes menaient petit à petit à plus que des frissons. Les frissons augmentaient et je sentais comme une pression dans mon bas ventre. C’est moi qui devançais les choses, je voulais plus la sentir, cette position ne me convenait plus. Alors j’ai placé ma vulve directement vers ses lèvres, écartant les cuisses encore plus nous étions dans la position du ciseau (que je ne connais pas encore) nos sexes étaient à présent très bien coller. Nous avons repris nos mouvements de hanche et de va et viens et on essayait toutes les deux de faire exploser cette étrange sensation qui grandissait en nous. On avait l’air de deux petites furies accrocher comme ça l’une à l’autre. Au bout de quelques minutes vraiment pas longues, cette fameuse sensation jaillie. Je ne me rappelle pas avoir crié ou quoi que ce soit d’autre, je me rappelle juste que c’était bon rapide et intense. Aussitôt reçus, nous nous sommes regardé et très vite nous avons remis nos vêtements. Elle est allée débloquer la serrure de la porte, on a replacé le jeu de l’oie comme il faut sur la natte et comme si rien de tout cela ne s’était produit on a repris la partie. Un sourire au coin des lèvres… Voilà ma 1er expérience lesbienne et la dernière, car je n’ai jamais plus recommencé par la suite. Si aujourd’hui j’avais à la reproduire avec toute l’expérience acquise cela ne me déplairait pas, qui c’est…

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