Présentement, je suis en attente d’une visite fort agréable. Ma nouvelle fuck friend doit se présenter dans les prochaines minutes. En attendant, j’ai préparé une sélection musicale dont je sais, risque de grandement lui plaire et la mettre dans un état second. Tiens, la sonnette retontit. Je fais ouvrir la porte à distance. Elle entre et se tiens en bas des longues marches avec un air de tu m’as-tu vu. Eh oui, elle est élégante. Elle porte un tailleur pour femmes. Ça vient de me tuer. Imaginer ce chemisier blanc bien ajusté qui moule ce corps et par-dessus, cette veste qui enveloppe le tout. Pour m’achever cette jupe qui définit parfaitement les hanches et les fesses. Cette jupe qui se referme juste en haut des genoux et s’écarte juste au-dessous de ceux-ci. Et le tout accompagné de talons hauts fermés à l’avant et à l’arrière, d’un style sortant d’une autre époque. Habillement et élégance se côtoient à merveille devant mes yeux. Alors voyant ma réaction un petit sourire vient se nicher sur ses lèvres, indiquant que l’effet escompté vient de fonctionner. Un zéro pour la petite dame, je l’avoue, elle mérite grandement ce point. Elle se met à gravir les marches d’un regard accompagné d’une grâce digne d’une conquérante. La question qui se pose présentement c’est ; qui conquerra qui ?

Je vous fais un bref briffing sur cette petite dame. Présentement, nous sommes à notre troisième rendez-vous. La demoiselle est du style très précoce sur la première jouissance, mais par la suite c’est une tout autre histoire, le vrai travail commence. Mais..... je crois et même j’en suis plus que persuadé avoir vivement étonné la petite dame lors des deux brèves premières rencontres. Lorsqu’elle jouit et bien c’est comme un homme, ELLE EST KNOCKOUT. Moi, je suis du genre, on ne baisse pas les bras, parce qu’on vient tout juste de commencer. Donc, la petite dame est très mal barrée. Mais avec moi, ce fut un peu différent, sauf pour le côté knockout évidemment.

Où en étions-nous ? Ha oui ! Moi lui tenant encore la main et pris avec ces images mentales. Hum ! Plus de temps à perdre, je la tire dans mon domaine ou cette musique entrainante [arabique new age lounge] continue d’aguicher mes sens. Alors, nous montons sur mon lit et non pas question qu’elle enlève ses talons hauts. Nous sommes agenouillés au centre de mon lit, face à face, pour moi c’est beau à regarder, pour elle, je m’en tape. Moi sur les genoux, jambes bien écartées. Elle entre mes jambes, sur les genoux aussi, mais les jambes collées, car la jupe est très étroite. Et la, commence la longue embrassade, lèvres à lèvres, langue à langue et la c’est à mon tour de jouer, car à cet instant je n’ai qu’une chose en tête ; c’est l’entendre jouir et re-jouir. Ma bouche, mes lèvres, ma langue viennent de bifurquer, elles sont en train de frôler sa joue gauche pour se faufiler jusqu’à son oreille que mes lèvres embrassent délicatement.