Me
déplaçant sur les genoux,
je vais me positionner derrière
la petite dame. Nous nous retrouvons
les deux face à mon grand mirroir,
disposer sur le mur, de la main droite
je dégage ses cheveux de sa
nuque pour la caresser de ma bouche
et descendre tranquillement vers l’épaule
sans jamais oublier de donner le même
traitement de l’autre côté.
Tenant encore cette chevelure de la
main gauche que je cambe vers la gauche
pour ainsi aguicher son oreille de
légers bécots et de
gémissements. Libérant
enfin mes mains, je leur fais parcourir
le long des deux côtés
de son corps .... de ses hanches ....
de ses cuisses .... pour enfin atteindre
le début de son entrecuisse
dont, je me permets de relever la
jupe de quelques centimètres
tout en continuant de m’occuper
de son cou et de son oreille de ma
bouche.
Les mains, toujours sur ses
cuisses, sont à quelques centimètres
de sa vulve, juste pour aguicher la
petite dame, on reste là et
on ne va pas plus loin. On remonte
le long des cuisses, des hanches,
du ventre pour empoigner ses seins
avec douceur au début, pour
enfin les prendre avec fermeté
et leur donner de longues caresses.
D’un réflexe presque
naturel du buste ressentant cette
emprise, je peux sentir cette poitrine
se gonfler entre mes mains. Dans un
moment d’excitation ressenti
par la petite dame, qui d’un
coup se met à frotter les fesses
contre ma verge langoureusement, pour
augmenter mon désir, dont elle
vient enfin de percevoir, avec satisfaction.
Sur la cadence de cette musique enivrante
qui continue de jouer, nos corps se
laissent complètement guider
dans une danse érotique que
nos bassins dictent d’une grâce
et d’un rythme tout à
fait endiablé, sans compter
mes mains qui se baladent partout
sur ce corps et ma bouche, qui est
au niveau de son cou et de son oreille.
Ouff ! |
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À ce stade, il n’y a plus qu’une
chose à faire ; c’est
de commencer enfin le vrai travail.
Donc, j’allonge la dame sur
le ventre tout en gardant ses hanches
entre mes mains pour être sûr
de garder les fesses dans les airs.
Pourquoi sur le ventre me diriez-vous
? Je vous répondrai ; depuis
quand commence-t-on par le dessert
? Imaginez-vous la beauté de
ce postérieur qui est présentement
à ma merci. Nul besoin de vous
dire que présentement, j’ai
les deux mains en train de les caresser,
comme si elles avaient une emprise
dingue sur ma volonté. Installé
à l’arrière de
la dame, le visage contre son postérieur
comme un animal en train de flairer
toutes ses odeurs qui l’excitent,
les mains suivant les rondeurs et
tout d’un coup ma main droite
se lève et retombe sur une
fesse.
Cette petite tape vient de
la réveiller et aussitôt
la replonge dans un état d’excitations
inimaginable. De ma bouche j’entame
d’attaquer mon repas à
gros coup de dents sur chacune des
fesses pendant une bonne minute et
demie. Une pression de la main droite
sur le bas de son dos pour lui faire
comprendre qu’il est temps pour
elle de s’allonger complètement
sur le ventre. Remontant lentement
vers le haut de son corps, je continue
en mordillant légèrement
le bas du dos, le côté
du ventre, l’épaule et
le bras à travers du chemisier,
pour enfin atteindre le cou et l’oreille.
Tout cela du côté droit.
Tout en m’attardant à
son oreille et son cou, je lui fais
ressentir mon excitation, en frottant
fortement ma verge en érection
sur le fessier de sa jupe.
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