Avec sa cravate
[f.e.e.]
 
 
Scène érotique : Avec sa cravate

Ce soir-là, j'attendais mon copain. Il devait arriver après son travail, j'avais fait du "shoping" cette après-midi-là et je lui avais acheté trois belles cravates, car je savais qu'il aimait en avoir plusieurs pour agencer avec ses nombreux costumes trois-pièces. Les boîtes de cadeaux étaient sagement en attente sur le comptoir de ma cuisine et je scrutais son arrivée de ma fenêtre. J'avais déjà une petite idée de comment allait se dérouler la soirée... Il sonna et monta les étages qui mènent à mon appartement. Je lui ouvris la porte et qu'elle ne fut pas sa surprise de me découvrir habillée d'un simple peignoir de satin rose et d'une paire de talons hauts en dentelle noire. Le sourire sur le coin de sa bouche et surtout la lumière de désir dans ses yeux me prouvait que j'avais réussi ma surprise. Je fis comme si de rien n'était et que ma tenu ne me mettais absolument pas mal à l'aise, lui donna un petit bec sur le bord de la bouche et lui fit signe de rentrer. Je lui demandais s’il voulait un verre de vin ou de rhum. Il prit le rhum.

Il déposa ses affaires sur le sol de mon salon et s'installa confortablement dans le petit fauteuil brun que j'avais disposé là, exprès. Je le rejoins très vite, me mis à mon aise également en face de lui sur le divan et nous échangions sur notre semaine. Il aperçut le sac cadeau sur mon comptoir et me demanda qu'est-ce que c’était. Je lui dis; "Ça, c'est une surprise tu verras bientôt. "Je l'ai vu tout excité, comme un petit garçon de 5 ans "quoi, c'est quoi et bien dit moi! "Il était impatient, il porta sa main pour prendre le cadeau et là je lui tapais la main comme pour le gronder. Il fut surpris, dans un geste de "non non non" du doigt, lui dit de ne pas y toucher sinon il ne l'aurait pas. Je venais de le scier sur son fauteuil, il partit à rire et dit "Ok". Son 2ième verre vidé, je décidais que le moment était venu de s'amuser un peu... Je lui dis de ne pas bouger du fauteuil qu'on allait ouvrir son cadeau, il me dit; "D'accord je ne bouge pas. "Je fis le tour de lui et l'embrassa rapidement sur le bord de son oreille et je lui chuchotai; "Sois sage petit, maman va te gâtez. "Il partit à rire, mais il aimait ça... Le paquet dans les mains, je lui tendis, et lui dit de l'ouvrir. Ce qu'il fit

rapidement, un petit air de surprise et de déception croisait son regard et moi je riais dans ma tête. Il me dit "Des Cravates! Euh OK c'est "nice", merci beaucoup! "Je lui demandais; "C'est laquelle ta préférée entre les 3? "Il scruta les cravates et m'en désigna une que je pris dans mes mains. Je lui dis "Hum! Bon choix qu'est ce que tu penserais de l'essayer tout de suite voir si elle te va?" Il répondit; "Quoi là là, maintenant?" Je dis "Oui oui là" Je vais te là mettre, laisse-toi faire... Il fut surpris, mais se laissa faire, docile. Je fis le tour du fauteuil où il était toujours assis, une fois derrière lui, il se plaça pour que je lui mette la cravate. À sa surprise ce sont ses yeux que je bandais avec et pendant que je lui faisais son nœud, je lui dis doucement à l'oreille "Alors Garçon, tu aimes comme je noue ta cravate..?" Il me répondit; "Hum oui, j'aime ça!" Je lui ordonnais de ne pas bouger et de se laisser faire. Je pris les deux autres cravates qui étaient restées sur le comptoir et j’entrepris de lui attacher les poignets aux pieds du fauteuil. Il me dit; "tu sais que c'est la 1re fois qu'on m'attache?"

De savoir ça, m'excita encore plus et mon stratagème dans ma tête en était encore plus que satisfaisant, je le tenais à ma merci. Une fois attaché, je commençais à l'embrasser dans le cou, lécher ses lobes d'oreilles, je lui caressais d'une main son entre cuisses et je prenais un malin plaisir à passer tout proche de sa queue sans vraiment là toucher. Je sentais celle-ci durcir et vouloir transpercer le tissu de son pantalon beige. Je descendis doucement vers son torse après avoir préalablement déboutonné les boutons de sa chemise. Il gémissait sous mes baisers et mes caresses, ma bouche était à la hauteur de sa ceinture. Je ne voulais pas tout de suite le sortir de son fourreau, cette belle queue bien bander, mais là sentir encore se lamenter de se faire libérer.

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