Alors,
je l'embrassais directement sur son
pantalon, fermant mes lèvres
sur la forme qui se dessinait encore
plus à chaque léchage.
Je mouillais le tissu de baisers et
de lèches, il se tordait sous
mes assauts et bougeait le bassin
comme pour pénétrer
ma bouche. Petit à petit, je
lui retirais sa ceinture que je fis
claquer à côté
de son oreille, il sursauta et me
dit "tu vas faire quoi la?"
Je ne répondis pas et je refis
claquer la ceinture juste pour l'agacer
un peu plus. Je lui retirais son pantalon
que je fis glisser doucement sous
ses fesses entraînant son caleçon
bleu par la même occasion, tout
tombait à ses pieds le laissant
nu. Je contemplais cette image, sa
queue bien lisse et bien droite bougeait
d'excitation, elle sursautait de ne
savoir ce qui allait se passer et
j'adorais ça. L'envie de là
prendre et de la sucer me tiraillait,
mais ce n'était pas encore
le moment. Je saisis sa propre cravate
qu'il avait laissée sur le
haut de mon divan et d'un geste je
lui attachai le pied gauche au pied
du fauteuil. Il me dit; "Sérieux
?" Je lui dis "Chut tais-toi!"
Je repris mon amusement de baisers
et de caresses sur ses cuisses, ses
couilles, je les happais, les suçais,
et puis enfin comme une sucrerie tant
désirée, j'engloutis
sa belle queue bien droite déjà
ruisselante de mouille, elle pleurait
d'excitation. Humm!
Mes
coups de langue lui faisaient de l'effet,
car il n'arrêtait pas de râler
de plaisir et de me dire à
quel point il aimait ça. Au
bout d'un bon 30 minutes d'amusement,
je décidais de passer à
autre chose. Je montais à ma
chambre pour aller chercher une de
mes cravates et je redescendis avec.
J'attachais le pied droit cette fois-ci.
Et là, sans plus autres préliminaires,
je m'assoie sur lui bien écartée
pour me frotter à lui, pubis
contre ma chatte bien mouillée,
je là faisais glisser à
en ouvrir mes lèvres sur sa
queue. Je pouvais sentir son gland
frotter sur le bord de mon vagin et
monter sur la base de mon clito. Je
bougeais mes hanches doucement langoureusement,
c'est comme ça que j'aimais
ça et je savais que lui, ça
le ferait complètement "flipper".
Je l'embrassais à pleine bouche,
lui mordillant les lèvres,
suçant sa langue. Je lui disais
à l'oreille, à quel
point j'aimais sa queue et comment
elle allait me faire jouir... Il tripait
complètement et me disais;
"Tu me tues toi, tu me tues!"
Je lui dis; "Non, pas encore
garçon..." |
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Là,
je me levais légèrement
pour faire glisser sa verge vers
mes lèvres, d'un coup de
bassin je là fis pénétrer
complètement dans mon vagin,
ce qui ne fut pas difficile à
faire tellement j'étais mouillé
et lui dur comme le roc. L'effet
fut immédiat, il se mit à
gémir de plus belle et moi
bien plantée sur lui, collée
à sa peau, je me mis à
le baiser à grand coup de
hanche. Roulant des fesses et frottant
de plus en plus mon ventre sur le
sien. Ma chatte était en
feu, il ne pouvait pas bouger, la
seule chose qu'il essayait de faire
était de me donner des coups
de reins. Pour l'empêcher
de bouger ainsi, je saisi à
deux mains la cravate qui était
sur ses yeux, là détacha
rapidement et là plaça
sur sa gorge comme pour l'étrangler.
J’avais les deux mains bien
placées sur le dos du fauteuil
tirant sur les deux bords du tissu.
Il avait ouvert les yeux et surpris,
regardait le spectacle. Je le toisais
du regard, tout en continuant de
le baiser sans relâche, toujours
ma chatte collée à
lui, sa queue en moi je la sentais
frotter le long de la paroi de mon
vagin. Mon clitoris était
hyper sensible et je sentais mon
orgasme venir, mais je voulais attendre
encore un peu pour le rendre plus
fort.
Alors,
toujours les mains sur la cravate
serrant un peu sa gorge, je retirais
sa verge de ma chatte et repris
les caresses de ma chatte sur celle-ci
quelques minutes. Lorsque je sentis
que c'était le moment, je
me pénétrais à
nouveau bien profondément
d'un seul coup direct jusqu'au fond.
Il ne fallut pas beaucoup de va-et-vient
sur son pubis pour qu'un orgasme
intense explose dans mon ventre
me laissant tremblant de spasmes.
Une fois mes esprits revenus, pensant
qu'il n'était pas venu, je
repris mes va et viens pour le faire
jouir à son tour, mais il
m'arrêta et me dit; "
Je suis venu en même temps
que toi c'était trop intense.
" On est parti à rire,
car je ne l'ai jamais senti venir
en moi tellement mon orgasme avait
été fort. Cette nuit-là,
on a recommencé plusieurs
fois jusqu'à tomber complètement
KO vers 5h du matin. Le lendemain
au travail, il me fit parvenir une
photo de lui avec la cravate avec
laquelle je l'avais bandé
les yeux, avec le mot..." J'ai
adoré ton cadeau, bonne journée..."
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