Titre
: Sous la douche |
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La
veille, je venais de rencontrer
cet homme dans un bar et après
qu'il m'ait ramené
chez lui nous avions baisé
une partie de la nuit. Le
matin à mon réveil,
j'avais vraiment envie d'une
bonne douche, les ébats
de la veille avaient laissé
des traces sur mon corps.
Alors, je sortis du lit et
petit à petit je descendis
le grand escalier qui donnait
directement sur le salon.
La salle de bain était
proche de l'escalier et je
mis faufilais sans faire de
bruit. Il avait une grande
douche, que dis-je une immense
douche, un pommeau au plafond
et un autre normal sur le
mur. De grands carreaux blancs
ornaient le mur et la douche
se fermait d'une grande porte
double en verre. Je fis tourner
les robinets, une fois à
l'intérieur l'eau tiède
coulait sur ma peau.

Dieu
que cela faisait du bien,
je laissais l'eau glisser
sur le haut de mon crâne
et les yeux fermer je revivais
les exploits de la veille.
Je voyais mon amant me prendre
et surtout de plus je me remémorais
mon premier orgasme vaginal.
Oui, à 18 ans j'ai
connu mon premier orgasme
vaginal. Je caressais mon
corps avec le savon parfumé
à la noix de coco,
je m'en enduisais partout.
Toujours les yeux fermés,
j'imaginais les mains de cet
homme me prodiguer mille et
une caresses. Soudain, je
sentis deux mains se poser
sur mes hanches, j'ouvris
les yeux de surprise. Il était
là devant moi, ses
mains tenaient mes hanches
et par la suite vinrent se
poser sur mes joues. Il s'approcha
de mon visage et m'embrassa
langoureusement, j'adorais
ses baisers. Il avait cette
façon de prendre le
temps de découvrir
mes lèvres, ma bouche,
ma langue sans que j'eu l'impression
de me faire avaler toute crue.
C'était doux, sensuel,
enivrant. À cette époque,
je n'avais pas grande expérience
sexuelle et me faire, faire
l'amour comme ça, comme
la veille, c'était
la première fois. Mon
cou, mes épaules, ma
poitrine eurent droit au même
supplice, je restais là
debout toujours sous le jet
d'eau qui ruisselait le long
de mon corps. Il descendit
vers mon sexe et commença
à m'embrasser doucement
la vulve, j'étais un
peu gêné, rare
ont été les
fois où un garçon
et encore moins un homme eu
été à
cet endroit. Il me pressa
les cuisses pour que je les
écarte davantage, lui
laissant ainsi le champ libre.
De sa langue, il lécha
doucement l'intérieur
de mes lèvres jusqu'à
mon clitoris.
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Il
s'amusait ensuite, l'aspirait quelquefois
avant de recommencer son stratagème.
Au bout de quelques minutes de léchage
et voyant que je gémissais
de plus en plus fort, il introduit
ses doigts dans mon vagin. D'abord
un, puis deux, ils les faisaient
bouger en même temps qu'il
me léchait la chatte. J'étais
au bord de l'orgasme. Mes mains
caressaient mes seins et une d'elles
vint se poser sur le haut de sa
tête, là pressant encore
plus sur ma vulve. Je ne voulais
pas qu'il arrête, la sensation
était trop bonne, plus il
me pénétrait de ses
doigts plus je sentais l'orgasme
monter, mon clito vibrait et palpitait
sous sa langue. Je gémissais
et je me rappelle avoir crié
lorsqu’enfin la jouissance
explosa dans mon ventre.
De
nombreuses contractions faisaient
vibrer mon clito qui sous l'effet
de la jouissance palpitait encore
de plaisir. Il passa ses doigts
le long de mes lèvres pour
les sortir de mon sexe et il toucha
légèrement mon clitoris
qui sursauta à nouveau. Une
fois à ma hauteur, debout
bien droit, il prit mes épaules
et me tourna le visage face au mur.
Ses mains parcoururent mon dos,
la cambrure de mes reins, il détaillait
du bout de ses doigts le contour
de mes fesses. Il en caressait les
rondeurs de ces mains et puis fermement
pris chacune de mes fesses et commença
à lès écarter.
Il me ramenait vers lui de façon
à ce que je sois cambrée,
le visage toujours sur le carrelage
du mur, mes deux mains plaquées
à la hauteur de ma tête.
Il laissait couler l'eau de la douche
le long de mon dos, je pouvais sentir
le jet glissée entre mes
fesses ouvertes et couler le bord
de mes lèvres. Cette sensation
était très agréable,
il décrocha la douche qui
était accrochée au
mur et dirigea le jet directement
à l'intérieur de mes
cuisses. L'eau toucha mon vagin
et cette caresse me rendait complètement
folle. Il jouait avec moi totalement
et j'aimais ça. Je n'avais
que 18 ans, lui au moins 30, du
moins, c'est ce que je me disais
et de l'expérience il en
avait. Jamais auparavant mon corps
n'avait subi tels plaisirs. Je me
disais qu'il serait difficile de
ne plus y goûter après,
puisque nous n'avions pas l'intention
de nous revoir après cette
nuit-là.
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