Sous la douche
[f.e.e.]
 
 
Titre : Sous la douche

Il replaça le pommeau de douche à sa place, ses mains placèrent à nouveau mes fesses, mais cette fois-ci, c'est sa queue qu'il me présenta. Ai-je oublié de dire qu'il était vraiment très bien monté? Assez que la veille, lorsqu'il avait essayé de me pénétrer la première fois, il avait dû y aller tout doucement pour réussir à bien découvrir mes chairs. Donc son gland à l'ouverture de ma chatte, moi toujours les mains plaquées au mur, j'attendais avec impatience que cette queue me prenne à nouveau et me fasse jouir comme la veille. Il rentra sa verge doucement comme la veille. Il là fit pénétrer très très profondément, je pouvais la sentir touché le fond de mon vagin. Il prit le savon à la noix de coco et commença à me savonner. Il avait un malin plaisir à passer bien comme il faut sur les zones sensibles de mon corps.

Il reposa sa langue encore une fois sur ma chatte, tout doucement. Il enfila son index à la même place et poursuivit son exploration. Cette fois-ci, je me tus, encore ébahi par ce qu’il venait de réveiller en moi. Je restais là, sage en me disant comment ce fut bon et la meilleure jouissance que j’avais reçue. Il reprit de plus belle cette pénétration de son doigt. Je sentis qu'il venait d’en enfiler un deuxième à l’intérieur de mon vagin. Sa langue avait repris de la vitesse, tous s’accéléraient en même temps. Je sentis encore l’envie de l’orgasme monter en moi. Le mouvement de ses doigts faisait à nouveau danser mes reins, je râlais de plus belle, je ne retenais plus mes cris de joie. Ma chatte, mon clitoris étaient en feu, l’orgasme était proche. Je me disais; "Comment est-ce possible, je vais jouir encore." Ses mains soutiennent mes fesses gardant ainsi mes jambes dans les airs, mes deux mains prenaient sa tête et la pressaient fortement contre mon vagin. Mon corps au complet était crispé. Crispé de l’attente de l’orgasme qui était sur le point de venir à travers ma chatte. Mes jambes tremblaient, mes fesses complètement soulevées par celles-ci étaient dures. Sa tête rentrait pour appuyer sa bouche dans mon entre cuisses, je là tenais fermement et ne là lâchait pas. Je voulais cet orgasme qui me tenaillait la vulve. Et je sentis le courant venant de l’intérieur, suivre une ligne droite, de son doigt jusqu’à l’intérieur de ma cavité vaginale. Je me suis mise à crier, mon corps convulsait, sa langue continuait de me lécher, ses deux mains me retenaient les fesses toujours en l’air. Je criais de plaisir. Mon pubis pris de convulsions cognait plusieurs fois contre sa bouche qui continuait d’alimenter mon plaisir. Mon corps était en feu de plaisir sous cette langue qui n’arrête pas de bouger tel une langue de vipère.

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Je criais toujours, il calma sa langue, j’eus un long soupir de soulagement, mes fesses retombèrent. Je reprenais mon souffle, tandis que mon cœur continuait de vouloir percer ma poitrine. Les bouts de mes seins étaient pincés, mes flancs étaient légèrement griffés par ses ongles et ses caresses fatales. Il glissa ses mains de chaque côté de mes cuisses vers ma chatte. Ce petit manège de caresses continuait un bon moment et à chaque toucher, il pressait sa queue dans le fond de ma chatte doucement. Mon souffle devenait saccadé, j'avais parfois l'impression que je perdais pied, que ma tête tournait comme si j'étais drogué. Cette sensation était bizarre, mais c’était tellement excitant de le voir se presser comme ça sur mes fesses et me pénétrer de sa verge dure. C’était un doux supplice. Il s'approcha de moi et colla tout son corps sur le mien, son torse frottait mon dos, son pubis collait mes fesses, il déposa ses mains sur les miennes sur le carreau blanc.

L'eau coulait toujours sur nos deux corps soudés. Je me rappelle de revoir mes cheveux blonds collés à mon visage. Je le vois me lès replacer pour me regarder. Ma joue était, elle aussi collée au mur, je gémissais de plaisir, je voulais jouir à nouveau comme la veille. Je lui dis "fais-moi jouir, fais-moi jouir s'il te plaît". Alors, les mouvements de ses hanches se firent plus marquer. Il commença un long va-et-vient, à chaque coup de verge, je pouvais sentir mes pieds se soulever de terre et mon corps glisser sur le mur. Je vous jure que mes pieds ne touchaient plus le sol. Mes mains dans les siennes, il me tenait collé face contre le mur. Il me soulevait encore et encore, jusqu'à ce que venu de nulle part un grand frisson parcouru mon ventre et des milliers de petits chocs électriques explosèrent vers mon vagin. Je jouissais à nouveau. Oh, que je jouissais!

Oui, oui encore une fois je n'avais pas crié, un long silence avait suivi mon orgasme. Juste les tremblements que subissait mon corps pouvaient dire que j'avais joui. Il me tourna face à lui, m'attrapa par les cuisses et me fit monter sur sa queue encore bandée le dos au mur les cuisses bien écartées. Je me tenais à son cou, il me mangeait les seins, la nuque et continuait ses coups de bassin en gardant le même rythme et quelques minutes plus tard, il jouit à son tour dans ma chatte. Je pouvais sentir sa queue faire des soubresauts de jouissance, encore et encore dans mon intérieur. Ce fut la meilleure douche à vie que j'ai prise jusqu'à aujourd'hui.

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