Titre
: Je fais la fessée |
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Un
après midi de juillet,
il fait chaud, des perles
d’eau tombent sur mes
joues, mon mec me pilonne
de façon soutenue depuis
un certain temps déjà.
Il est tendu au-dessus de
moi, trempé de sueurs,
j’ai les jambes bien
écartées qui
sont posées sur le
haut de ses cuisses. Mes bras
entourent son cou et je lui
mords la nuque à grandes
bouchées, je laisse
glisser mes dents sur sa peau
ébène et douce.
Ma langue lèche le
sel de sa vigueur. Il adore
ça lorsque je fais
ma lionne, comme il aime me
surnommer. Je ronronne sous
les vas et viens que sa queue
bien bandée, je geins
de sentir son membre me fendre.

Il
est là, bien au-dessus
de moi les deux bras sous
mes épaules, il serre
mon corps contre lui comme
pour fusionner encore plus
le mien au sien. Il est déchaîné,
ses coups de reins sont violents,
profond, il n'a de cesse de
me marteler comme un défoncé.
Je le vois à son regard,
il se retient, car il veut
me faire jouir en premier,
mais moi ce jour-là
mon corps malgré le
plaisir qu’il reçoit,
a décidé de
ne rien déclencher.
Cela arrive souvent, un blocage
se fait. Je me mets à
ressentir les touchers, les
caresses, les contractions,
c’est mécanique,
mais rien d’excitant
ne surgit de ce stimulus.
Ma tête est ailleurs,
partie dans un cinéma
érotique sans symphonie.
C’était une journée
comme celle-là et je
savais pertinemment que peux
importe ce que mon copain
ferait, peut importe les efforts
qu’il donnerait rien
ne changerait la donne. Je
m’amusais à le
regarder un petit sourire
au coin des lèvres,
je jouais à l’exciter
encore plus, mêlant
comédie et cris.
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Il
se releva, se plaça bien
droit entre mes cuisses, les deux
mains posées cette fois-ci
sur le haut de mes jambes. Je le
regardais tout mouillé, les
gouttes ruisselaient sur son torse
musclé et sillonnaient vers
ses nombreux tatouages, pour venir
mourir à son nombril. Je
pouvais voir ses abdos se contracter
à chacune des contractions
de son ventre. La brise légère
du ventilateur qui tourné
vers nous, fit dresser ses mamelons.
Je ne pus m’empêcher
de me redresser pour lès
mordiller de la pointe de mes dents.
Tout de suite, il se contracta sous
l’effet de mes morsures. Il
grognait de plus belle, accentuant
les coups de queue puissants dans
le fond de mon vagin, ma chatte
était bien mouillée
et écartée. Elle recevait
les coups rapides et constants que
ses hanches me procuraient.

Alors
me voici me caressant le corps,
titillant mes seins. Je commence
par pincer mes mamelons, je lès
tire vers le haut tout en lès
faisant rouler entre mon pouce et
mon index. Ma bouche prend des allures
de gourmandise. Mes lèvres,
je lès mouillent de salive
pour lès rendre plus juteuses
et elles gonflent sous l’effet
de la caresse de ma langue. Mon
visage penche en arrière
comme trop lourd de tant de plaisirs
qui montent en moi. Je me tords
à chaque pénétration.
Je me mords le bras devant ses yeux
ébahis. Ces gestes, cette
comédie, je là connais
par cœur, je l'ai tant de fois
répétée dans
le passé qu’elle en
devient presque automatique, comme
une seconde nature.
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