Titre
: Je fais la fessée |
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Je
lui administre sa pénitence,
j’y mets toute la
force et l’ardeur
que je peux trouver. Mes
mains me font mal, j’ai
les paumes rouges à
le frapper de la sorte.
Lui, commence à perdre
la carte je le sens, je
le vois, il se met à
rugir de plus en plus, sa
respiration s’est
accélérée
et je le sens qui commence
à trembler. Je continue
à lui administrer
la fessée, une raclée
magistrale que moi-même
je ne voudrais pas recevoir.
Cela m’excite de plus
en plus de voir mon copain
devenir soumis sous l’effet
de cette torture. J’encaisse
les coups de sa queue qui
sont devenus de plus en
plus rapide et le fond de
mon vagin me torture, mais
je ne lâche pas, je
tiens bon, je veux qu’il
vienne de la sorte sous
la douleur de ma correction.
Il se crispe, il grogne
et me dit; "Mords mon
cou! Mords mon cou!"
Je m’exécute
aussitôt continuant
à faire s’abattre
mes doigts sur sa peau ébène
qui virent presque bleu.

Chaque
morsure rythme mes frappes,
une après l’autre
je lui administre sa sentence,
je le flagelle de plus belle
sentant son plaisir se décupler
et le mien grandir à
ma grande surprise. Je n’aurais
jamais pensé que
donner une punition comme
celle-ci à mon mec
m’aurait fait mouiller
et gémir de plaisir
de la sorte, mais c’est
le cas. Je ne joue plus
la comédie, depuis
un certain moment je gémis
pour de vrai, mes cuisses
ruissellent de mon jus qui
me coule entre les cuisses.
Je suis tellement mouillé
que son pénis sort
et rentre comme dans du
beure. Sa queue bouge en
moi et talonne à
grande force mes entrailles.
Nous sommes en final de
la dernière manche
et je commence à
ne plus sentir mes mains,
tellement je l’ai
frappé. Mon vagin
jubile à présent
de cette aventure et il
aspire sa queue de plus
belle. Mes hanches bougent
maintenant, cherchant à
enfoncer encore plus cette
verge qui me donne de plus
en plus de sensation et
de plaisir. Mon mec est
sur le bord d’éclater,
sa queue bouge et bouge
en moi, elle sursaute, je
peux la sentir cogner aux
parois de mon vagin. Il
est trempe de sueur, il
râle, gémi,
se crispe, son visage est
tendu et ses yeux fermés
se sont plissés.
Je le sais être au
bord de la jouissance alors,
j’accentue mes mouvements,
je colle mon pubis au sien,
faisant rentrer encore plus
profondément sa verge
en moi. Elle accote mon
utérus, mes mains
ne cessent pas de le frapper,
il se redresse droit posant
à présent
les mains sur mes genoux
qu’il pousse vers
mon ventre.
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Mes
cuisses sont complètement
écartées, lui offrant
ma vulve et mes lèvres
rougies par les vas et viens incessant
de notre combat. Sa queue danse
presque envoûtée
en moi, il continu à me
pilonner de façon intense,
il a les dents serrer et il fixe.
Il me fixe droit dans les yeux
comme pour me dire tu ne va pas
y arriver… Alors, je tends
les bras un peu plus vers le rebondi
de ses fesses et d’un seul
coup y enfonce mes ongles bien
acérés. Il cri,
mais cette lacération lui
a procurée plus de plaisir
qu’il ne pensait. Je recommence
une seconde fois en prenant le
temps de lui écarter les
fesses au passage, mes doigts
sont bien ancrés à
ses chairs et je laisse mes ongles
glisser profondément sur
celle-ci. Il n’en peut plus
et moi non plus, car ma propre
respiration vient d’augmenter,
j'ai de la difficulté à
ne pas m’abandonner à
toutes les sensations que je ressens.
Je capture à nouveau entre
mes ongles la peau dure de son
magnifique cul. Cette fois-ci,
je suis passé assez proche
de son anus, mes doigts chatouillent
cette petite région sensible.
Il se contracte et me laisse jouer
avec mon index qui pénètre
légèrement l’entrée
serrée et encore vierge.
Je masse, je frotte son anus,
je le "tease" de plus
belle, il se cambre sous mes caresses
et soudain crie; " Je jouis
!!!" Son corps tout entier
s’est redressé, mes
mains ont quitté leur terrain
de jeux et seul mon pubis est
en contact avec sa peau. Il me
maintient toujours bien serré
à lui, fusionné
à sa verge qui tressaille
de jouissance, laissant giclée
à grands jets son sperme
au fond de moi. Je peux très
bien sentir le liquide chaud se
répandre dans toute ma
cavité. Il en tremble et
convulse tellement son orgasme
est long et bon. Une fois calmé,
il revient à la raison
et me regarde avec un air frustré.
Il me dit; " Tu n'as pas
joui hein!" Je fais non de
la tête, il se prend les
mains, lès pose sur son
visage et dit; "Je suis désolé,
je n’aime vraiment pas ça
lorsque tu ne jouis pas. Mais
là, je n’ai pas été
capable de me retenir c’était
vraiment trop bon ce que tu me
faisais."

Mon
orgasme n’est effectivement
pas venu cette fois-là,
mais ce n’était pas
grave, le plaisir que cette expérience
m’avait procuré était
extrêmement satisfaisant.
Voir mon mec se tordre de plaisir
sous l’effet de ma fessée,
ah... je peux vous dire que cela
valait le sacrifice! À
refaire...

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