Scène
érotique : Il m’immobilisa
J’ai
pigé
ce mâle un soir dans un club
pour me soulager, car cela faisait
un bail que je ne m’étais
pas fait un mec. Je lès aime
très grands, étant
moi-même de grande taille
5,11". C’était
une pièce, je le voulais
dans mon lit. Je l’observais
de haut en bas, mes yeux se fixèrent
sur son sexe que j’imaginais
au travers de son jeans. Il m’était
impossible de regarder ailleurs,
car l’envie de sa queue que
j’imaginais énorme
m’hypnotisait. Je me sentais
dans un état de manque maladif
où le désir irrésistible
de la chair m’était
insoutenable. Il fallait que je
sente quelque chose d’énorme
fendre mes entrailles. Je m’exécutai
et me déplaçai dans
sa direction, il avait remarqué
comment je le regardais, car la
discrétion, j’en avais
rien à cirer. Je me présente
à lui sans aucune gêne,
sans aucune retenue, je m’offre
à lui, j’offre tout
mon corps en offrande à cet
inconnu dont je souhaite avoir si
ardemment son engin à l’intérieur
de ma chatte pour ainsi la soulager,
car elle me fait un mal intense.
Oui!
Ma chatte revendiquait qu’on
apaise sa souffrance. Cela faisait
deux mois que mon homme était
parti en mission hors du pays, j’avais
pu résister tout ce temps,
mais là l’appel de
la nature s’est réveillé
en moi. Ma chatte, depuis quelque
temps est en ébullition.
Elle bat et mouille constamment
entre mes cuisses, s’en est
insupportable! Elle me réveille
constamment lors de mon sommeil
et souvent, pour pouvoir me rendormir,
je dois m’offrir des stimulations
intenses de masturbation pour réussir
à la soulager. Toutes mes
tentatives n’ont pas réussi
à l’apaiser et ne pouvant
plus résister, me voici là,
devant l’instrument qui, j’espère,
sera son remède une bonne
fois pour toutes. "Fuck"
la fidélité, car l’appel
de la nature est trop fort en moi
présentement pour résister.
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Il
était grand et beau, je me
collais à lui, tel un aimant
ne pouvant faire autrement. Entre
mes cuisses, ma chatte miaulait
férocement de désir,
elle criait famine, elle me suppliait…
Non! Elle suppliait cet inconnu
de la toucher de quelconques façons…
Ma chatte battait d’un rythme
affolé près de cet
homme, il fallait que je lui fasse
"exhaler" à quel
point mon sexe était en chaleur,
à quel point ma chatte était
en chaleur et le réclamait.
Mon corps suivait le rythme de la
musique, je me sentais irrésistible,
je me sentais chatte, chienne, cochonne.
Lentement, je me retournai sensuellement
pour venir frotter mon entre-fesses
contre son sexe, tout en me disant;
"tu vas me sentir, tu vas sentir
cette chaleur humide que mon sexe
dégage". Mon sexe criait
contre son sexe qui, en une fraction
de seconde, ma chatte venait de
réveiller; je le sentais
dur tout contre mon entre-fesses.
J’étais bien cambrée
pour que je puisse ressentir sa
queue contre mes lèvres à
travers mes jeans. Haaaaa! Je râlais
en sourdine et ne cessait de me
dire; "Que ce serait bon de
l’avoir tout en moi, comme
ça bien bandé".
Je me frottai sur cette queue qui,
tout d’un coup, fit partir
mon imagination en vrille. Je m’imaginais
en longue robe d’été,
relevée par cet étranger
qui avait sorti sa verge de sa braguette
pour me l’enfiler dans ma
chatte affolée. Je m’empalai
dessus sans arrêt bien profondément…
Haaaaa!
Oui!!!! J’étais dans
un tout autre état, qu’il
me prenne là devant tous
ces regards dans cette discothèque
ne m’aurait pas dérangée.
Je ne désirais qu’une
chose, c’était de m’asseoir
sur sa queue bien dure et qu’elle
glisse tout au fond de moi. Je me
retournai pour lui adresser la parole
et pris bien soin de placer mon
entre-jambes sur l’une de
ses cuisses pour être sûr
qu’il continue de ressentir
comment ma chatte désirait
ardemment sa queue. D’une
voix douce, presque suppliante,
je lui dis; "Viens avec moi,
chez moi… Tu ne peux pas imaginer
comme j’en ai envie…
STP…" Mes yeux étaient
empli de désir, mes lèvres
étaient moites et mes oreilles,
en attente de sa réponse.
Sans aucune résistance de
sa part il me dit « oui ».
... »
Suite
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