Scène
érotique : Il m’immobilisa
Il
descendit mes jambes et me plaça
en cuillère tout en restant
à genoux et toujours enfoui
bien bandé dans ma chatte.
Je compris alors que monsieur n’en
avait pas tout à fait fini
de moi, de ce jouet que j’étais
devenue pour cet étranger.
Il se mit en appuie les deux mains
sur ma hanche pour à nouveau
reprendre sur sa lancée.
Haaaaa! Cet homme va me rendre folle!
Lentement, profondément,
cette pénétration
est… Haaaaa! Quelques mouvements
à cette vitesse et il passa
à une autre vitesse, qu’il
tenu encore pendant un moment pour
enfin prendre sa vraie vitesse.
Mon dieu, il me ramone, sa queue
est bien dur en moi. Je l’entends
qui râle à son tour.
Ha oui! Sa queue est toute excitée,
je la sens. Ses mains viennent peser
mes hanches qui font changer l’angle
de sa pénétration.
Une fois de plus, il vint frapper
à la porte de mon utérus,
ce qui me fit lâcher un cri
d’inconfort. Il continua de
marteler mon utérus sans
cesse quand tout à coup,
l’inconfort disparu pour laisser
place à des sensations de
plaisir qui me faisaient crier à
nouveau. Il ne lâcha pas sa
vitesse de croisière dont
chaque coup résonnait tout
au fond de ma chatte.

Ma
chatte est encore en ébullition
et toute mouillée. Sa verge
nage totalement en moi. Il enlève
une de ses mains qui était
posée sur ma hanche et saisit
l’arrière de ma cuisse
droite près du genou qu’il
souleva à 45 degrés.
Du même coup, un mouvement
de ses hanches vient d’atteindre
le plus profond en moi, ce qui fit
crisper mon corps vers l’arrière
et me fit crier de plaisir. De ses
mains puissantes, il tira ma hanche
et ma jambe vers lui, ses va-et-vient
étaient vigoureux. Je ne
cessais de crier mon plaisir sous
l’intensité de ses
mouvements. Sa main gauche quitta
ma hanche pour empoigner ma cuisse
qu’il ramena fortement vers
lui. Ses coups de reins rapides
et puissants, entremêlés
des prises de ses mains me tirant
constamment vers lui me rendirent
folle. Mon corps placé sur
le côté, la tête
toujours rivée vers l’arrière,
la bouche grande ouverte laissa
échapper un champ de constant
plaisir. Ma chatte pétillait
de mile plaisir, je ne voulais pas
que cela s’arrête. Haaa!
Haaa! Haaa!
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Sa
main
lâcha ma cuisse et vint agripper
mon mollet droit. Son autre main
vint agripper l’intérieur
de ma cuisse gauche qu’il
pressa fortement. Ses mouvements
ne se sont jamais arrêtés.
Il me donnait ma rédemption,
mon absolution, ma pénitence,
une agréable pénitence.
Tout le bas de mon corps commença
à trembler, mes jambes se
débattaient entre ses mains.
Mon champ de plaisir n’avait
pas cessé et dans de gros
soubresauts dictés par sa
verge qui continuait de me pilonner,
ma chatte éclata de partout
en même temps. Haaaaaaaaaaaa!
Un long cri aigu retentit des profondeurs
de mes entrailles. Mes jambes ne
tenaient plus en place, mon bassin
était pris de violents coups
à chaque va-et-vient qu’il
continuait de m’offrir. Un
long râlement viril vint m’arracher
du monde fantastique où cet
homme m’avait plongé.
Il sortit sa verge avec empressement
de ma chatte, retira le condom de
sa main droite, empoigna fermement
sa verge et cracha sa semence dans
un long, long râlement sur
mon ventre et sur mes seins. Ha
ouiiii! Il y en avait beaucoup,
je croyais qu’il ne cesserait
pas sa décharge. Ma jambe
droite était toujours relevée
dans sa main gauche quand enfin
l’homme se calma encore à
genoux devant moi, les yeux fermés.
Mon ventre nageait sous son sperme
et ne cessait d’avoir des
soubresauts à répétition.
Mon invité s’écrasa
à mes côtés.
Mon corps prit du temps à
se calmer, mais je peux vous confirmer
que j’avais enfin trouvé
le remède qui apaisa une
fois pour toutes cette chatte qui
me torturait l’esprit depuis
des semaines.
P.-S.
Cette soirée fut longue et
je m’en souviens encore. Moi
qui avais l’habitude de faire
ce dont je voulais aux hommes, je
fus complètement déboussolée
de cette soirée. Je me souviens
y avoir pensé toute la journée
suivante, pour ne pas dire les semaines
et les mois suivants. Je ne pus
m’empêcher de l’appeler
pour lui demander s’il faisait
toujours cela ainsi. Je lui demandai
s’il attachait aussi et si
c’était quelque chose
qu'il pouvait me faire. Pour moi,
tout cela était nouveau à
cette époque, il piquait
complètement ma curiosité.
Je venais de trouver un homme comme
moi, un parfait dominant et je pris
conscience que j’aimerais
bien me faire dominer par lui à
nouveau, comme ce fameux soir-là.
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