23 heures, nous voilà seules. Je suis bien placée devant lui affalé sur sa queue, face au grand miroir de sa chambre. J'adore ce miroir, il renvoie l'image de nos ébats à chaque fois que je viens chez lui. Il l'a bien placé, directement en face de son lit; un grand et beau miroir. Lui, assis au pied de son lit, ses jambes tombant sur le parterre, il me tient à lui. Mes fesses sont assises sur son pubis bien amarré à sa queue. Je lui fais dos et je nous regarde dans ce miroir.

J'ai soigneusement choisi ma lingerie ce soir me disais-je en regardant mes sous-vêtements. D'ailleurs, il est en train de détailler la délicate dentelle blanche de mes bas collants, passant sa main sur ma taille et frôlant le corset assorti. Il plonge ses doigts dans le creux de mon décolleté, empoigne de ses mains mes petits seins. Il lès pressent, lès faisant ressortir légèrement du corset, un mamelon moins timide en sort et pointe vers le bout de ses doigts. Il me le pince et le titille. Dieu! Que je voudrais qu'il me le mordille à ce moment précis. Mes fesses complètement nues se frottent à lui faisant pénétrer plus loin son membre viril. Je le sens au plus profond de mes entrailles. Je bouge, je roule de toutes mes forces sur son dard qui me fait jouir comme une vraie pucelle depuis quelques mois maintenant. Sa bouche frôle légèrement ma nuque, mon épaule gauche, il mordille le creux de mon cou à petits coups de dents. À chaque fois qu'il me fait cela des milliers de petits frissons me traversent le corps comme de doux choc électrique.