Titre
: Quatre stimulations |
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Je
me souviens encore de cette
après-midi-là.
Mon copain avait encore une
fois décidé
de me faire vivre une expérience
qui serait à jamais
gravée dans ma mémoire.
Il me faisait vivre un préliminaire
sensuel, langoureux dont mon
corps, une fois de plus, lui
appartenait. Mon laisser-aller
était total dans ses
mains rassurantes. Il m’avait
installée à
genoux au milieu de notre
lit et me donnait de ses caresses
à faire jalouser toutes
les femmes de cette terre.
J’étais donc
là, agenouillée,
les mains sur les cuisses
et lui, parcourait mon corps
de sa bouche, de ses mains
et de son corps.

Et
vint le moment où enfin,
selon mes souhaits, mes désirs,
où toutes ces sensations
m’ont donné envie
de me faire prendre la chatte
de toutes les manières.
Il décida de faire
ce qu’il fallait pour
m’exciter encore plus,
pour qu’enfin je sois
libérée de l’orgasme
fatidique. Il se plaça
à genoux comme moi,
fesses le plus bas possible
du côté de mon
bras gauche. Le moment tant
attendu où il me toucha
la chatte toute excitée
et humide vint alors. De sa
main gauche, il entama un
attouchement léger
de mon clitoris qui me fit
frémir de partout.
Sa bouche vint embrasser mon
corps, mon coup, mon épaule
et mes oreilles de baisers
et de lèches qui n’en
finissaient plus. J’étais
déjà dans tous
mes états, mon corps,
ma tête, mon âme
étaient soumis à
mon homme qui savait comment
m’enflammer. Sa main
libre se balada partout sur
le reste de mon corps qui
frémit de sensations.
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Ma
tête ne peut tout suivre en
même temps, tellement c’est
divin. Ma chatte est toujours sous
l’emprise de ses doigts qui
là stimule. Je veux ses doigts
à l’intérieur
de moi, je veux qu’ils glissent
entre mes lèvres, je veux
qu’ils viennent jouer où
il sait que se cache mon plaisir.

Comme
s'il m’avait entendue, il
me pénètra enfin.
"Haaaaa!" Je râlais
de plaisir, la chair de poule pris
mon corps aussitôt. Je sentis
le plaisir grandir en moi, c’était
tellement bon. Mes yeux étaient
fermés depuis peu pour imaginer
le tout, pour ressentir le tout.
De sa bouche, il vint agacer mon
oreille, avec sa langue, avec ses
dents qui la mordit délicatement.
Sa bouche laissait siffler des sons,
des gémissements à
mon oreille dû à son
excitation, ce qui m’enflammât
totalement l’esprit. Agace
qu’il est, il installa sa
queue sur ma cuisse, cette queue
chaude qui vint me réveiller,
qui vint me faire ouvrir les yeux
pour la contempler. Il entama un
va-et-vient sur ma cuisse; "Ho!
Wow, me dis-je. Mon oreille est
toujours sous l’emprise de
sa bouche, ma chatte est sous l’emprise
de ses doigts, mon corps est sous
l’emprise de sa main droite
et ma cuisse subit le va-et-vient
de sa belle queue." À
cette pensée, je me sentis
complètement soûle
de sensations, soûle d’orgasmes
latents. Je voulais qu’il
en finisse avec moi… "S’il
te plaît!" Je regardais
toujours cette queue, ce gland qui
entrait et sortait de son prépuce.
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