Quatre stimulations
[f.e.e.]
 
 
Titre : Quatre stimulations

Haaaa! Que c’est excitant de le voir sur ma cuisse. Comme pour couronner le tout, je le vis cracher de la salive sur sa main droite qui avait lâché mon corps. Je me disais; "Non! Il ne va pas aller là!" Il déposa toute cette salive sur mon petit anus et entama de le caresser lentement.

Wow! Je me sentis tout à coup devenir douce, abandon total sous la douceur de ces petits cercles qu’il offrait à mon anus. Je gémissais et gémissais de sensations, de plaisir, s’en était trop pour mon corps. Sa main était toujours sur ma chatte, caressant tantôt mon clitoris et tantôt l’intérieur de mes lèvres. Mon corps se mit à suivre les mouvements de ses doigts sur ma vulve, les mouvements de sa queue sur ma cuisse et les mouvements de ce doigt sur mon anus. Je devenais folle, je voulais jouir, jouir et "rejouir". Sa bouche vint encore aguicher mon oreille, mais d’une intensité telle que je pouvais croire que sa queue voulait gicler sa semence sur ma cuisse. Je fus prise de convulsions, mon corps suivait le rythme intense de toutes ces sensations. Là, je sentis que son doigt de la main droite forçait l’entrée de mon petit trou. Je me dilatais l’anus pour l'accueillir, c’était trop bon pour ne pas le laisser entrer. "Vas-y mon grand, entre!" Je le sentis me pénétrer et tranquillement venir suivre la cadence endiablée déjà entamée. Je m’assoyai sur ses doigts qui étaient dans ma vulve, de même que celui qui était dans mon anus. Mon bassin, je ne le contrôlais plus, il suivait tous les "stimulis" que

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mon mec me donnait. Je voulais jouir, être libérée de la souffrance de cet orgasme qui était à ma portée. Je ne sentais plus que les pénétrations de ma chatte et de mon anus. Tout le reste n’existait plus, sa queue sur ma cuisse, sa bouche sur mon oreille, je les avais oubliés, car ma chatte voulait exploser. Je ne savais plus d’où allait sortir cet orgasme, car tout était intense. Je voulais jouir, jouir et jouir. Je gémissais, ma respiration avait un rythme tel un coureur de sprint. Elle montait, elle grandissait, elle était à la porte. Je me mis alors à crier comme une chienne, ma main gauche entrait dans la chair de son corps, je me crispais de sensations.

Et là! D'un cri venant de mon plus profond, je jouissais, jouissais et jouissais. Ses doigts n’arrêtaient pas de me pénétrer de partout. Je criais, ça ne voulait pas arrêter, je tremblais, je frémissais. Je criais encore, mais là, c’était des cris de libération. Je reprenais mon souffle qui coupait constamment, comme si j’avais fait le marathon. Il me libéra de ses doigts et je m’écrasai, le corps toujours tremblant et cherchant encore à reprendre mon souffle. Je perdis totalement la carte et me réveillai près de deux heures plus tard. Il m’avait laissée là, morte, morte de sensations, morte de plaisir, morte de cet orgasme venu de je ne sais d’où.

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