J'ai demandée à cette brute d'arrêter
[f.e.e.]

Avec mes fesses je le poussais pour qu’il retire ses mains de mes hanches, mais cela l’excita encore plus, il me défonça encore plus, retenant mes hanches bien serrées vers lui, m’empêchant de bouger davantage. J’avais à présent la tête enfouie dans le matelas, je criais d’inconfort et non de plaisir, j’essayais de fuir cette queue. Lui en parfait égoïste, prenait son pied à me voir geindre de la sorte. Ma chatte était en feu de se faire ramoner et défoncer de la sorte. Je pouvais sentir un battement se faire dans mon ventre; mon dieu comme mon vagin doit être enflé me disais-je. Je regardais l’horloge sur la table de chevet, elle indiquait 2h27 du matin, je m’en rappelle encore, cela faisait 45 minutes au moins qu’il me rentrait sa queue non-stop [ininterrompue], comme un débile mental. Un vrai sauvage sans aucune considération, la seule chose à laquelle il aspirait c’était de me baiser, me défoncer ma chatte et faire que je m’en souvienne. Je sentais mes lèvres gonfler à chaque pénétration, je ne mouillais plus et il devait cracher sur moi pour faire glisser son pénis. Tout d’un coup, une de ses mains lâcha ma hanche et il s’emparait d’une partie de mes cheveux, lès tira vers lui entraînant ma tête et obligeant mon corps à se redresser un peu. Mon cou partit vers l’arrière de mon corps, il tirait vers lui ma tête. J’avais presque l’impression que celle-ci allait arracher. « Arrête tu me fais mal ! » « Arrête ! »

Mais rien ni fit, j’étais sous son emprise prisonnière de mon bourreau. Il m’infligeait je ne sais qu’elle punition. Peut-être celle de ne plus vouloir le voir, il avait sûrement dû le comprendre. Les minutes me paraissaient interminables, j’avais hâte qu’il jouisse pour qu’on en finisse, je n’en pouvais plus, j’avais mal au ventre, ma chatte me brûlait. Dans ma tête je me concentrais pour ne plus

Visitez notre page Facebook Visitez notre page Tweeter

ressentir la douleur. Tout mon corps était rigide et cherchait à prendre la fuite. Enfin dans un grand râlement, il finit par jouir, il déchargeait son sperme sur le haut de mes fesses. J’avais les jambes qui tremblaient tellement j’étais fatiguée de ce rodéo. Je n’avais qu’une seule et unique idée en tête, c’était décamper au plus vite et de me retrouver chez moi. Il s’écroula complètement vidé à côté de moi par miracle le temps que je reprenne des forces il commença à ronfler.

Aux joies merci les anges ! Je me levais doucement et sortie du lit, me dirigeais vers la salle de bain et fermais la porte à clef, juste au cas où l’envie de venir m’y rejoindre le pris. Enfin seule, je n’en revenais pas encore du comment cela c’était passer. Comment et à quel point le même homme qui m’avait fait monter aux rideaux et fait jouir plusieurs fois dans une soirée, là ce soir il était devenu une vraie bête sauvage, dénuer de cerveau et de considération, aucun respect. Wow ! J’étais sidérée. En entrant sous la douche, je me suis mise à pleurer. J’avais l’impression d’avoir été abusée, presque violée par mon amant d’un soir. Je laissais l’eau couler sur le haut de ma tête et je fis le vide dans mon esprit. Douche terminée, je sortis de la salle de bain, il dormait profondément et ronflait vraiment très fort. Je pris mes habits, lès enfilaient calmement. Mon sexe me faisait mal, mes lèvres étaient gonflées et rouge mauve. J’avais les reins endoloris et une douleur sourde dans le fond du ventre. Génial quelle soirée, mais ma belle tu as voulu venir voir alors assume. Mes chaussures dans la main droite mon sac et mon manteau dans l’autre, je sortis de la chambre. Sentiment de sécurité et de liberté était présent, une fois arrivé à la réception, je demandai un taxi pour rentrer chez moi. Ce soir là, ce fut long trouver le sommeil, mon esprit repassait les événements de la soirée. Je me promis que plus jamais je ne revivrais cela. .

all rights reserved © Kiose