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[f.e.e.] |
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Il
me
dit
de
me
lever
et
il
me
demanda
de
m'installer
sur
le
lit,
ce
que
je
fis.
Ma
jupe
était
relevée
sur
mes
hanches
et
mon
gilet
vert
gardait
précieusement
ma
poitrine
couverte.
Il
s'approcha
de
moi,
j’étais
allongée
sur
le
lit
calme,
les
jambes
presque
serrer,
il
me
demanda
pourquoi
je
n’étais
pas
comme
la
dernière
fois
plus
entreprenante,
franchement
dans
ma
tête
à
ce
moment-là
j’ai
eu
envie
de
lui
dire
à
quel
point
je
n’avais
pas
envie
d’être
là
avec
lui,
mais
pour
une
raison
que
j’ignore
je
me
suis
tout
simplement
tu
et
je
l’ai
regardé
comme
pour
lui
dire
«
je
ne
sais
pas
de
quoi
tu
parles
».
Il
n’était
pas
satisfait
de
ma
réaction,
il
monta
sur
le
lit,
se
plaça
directement
au-dessus
de
moi
et
remonta
complètement
ma
jupe
sur
mon
ventre
découvrant
mon
bassin
et
ma
culotte
rose.
Il
tira
vers
lui
fermement
mon
sous-vêtement
et
le
fit
rouler
jusqu'à
mes
chevilles.
Rien
ni
préliminaires
ni
préparation,
il
passa
sa
main
directement
dans
les
replis
de
ma
chatte
et
en
força
l’entrée.
Il
me
regarda
et
me
dit
ce
soir
je
vais
te
baiser,
je
vais
te
baiser
comme
personne
ne
l’a
fait
auparavant.
Ma
bouche
s’ouvrit
et
je
lui
dis
d’un
air
de
défis
«
Ah
ouais
!
».
Aussitôt,
il
me
tourna
sur
le
ventre
et
m’empoigna
les
hanches
de
chaque
côté,
lès
relèves
pour
bien
écarter
mon
cul
à
sa
vue.
Je
l’entendis
défaire
son
pantalon
et
retirer
sa
ceinture
qu’il
plaçait
sous
mes
hanches
afin
de
bien
me
tenir.
Il
glissa
ses
doigts
dans
mon
vagin
qui
était
peu
humide,
les
fit
bouger
à
l’intérieur
comme
pour
vouloir
faire
apparaître
ma
mouille
comme
par
magie.
«
Coco
me
disais-je
dans
ma
tête,
ce
n’est
pas
comme
cela
que
tu
vas
m’allumer
»
je
me
retournais
et
lui
dit
un
peu
de
délicatesses
serait
apprécié.
Il
me
répondit
«
Tu
veux
que
je
sois
délicat,
mais
je
l’ai
déjà
été
avec
toi,
tu
sais
ce
n’est
pas
tous
les
soirs
noël,
ce
soir
je
te
baise
comme
une
vraie
petite
salope.
»

Et
passant
de
la
parole
à
l’acte,
il
m’enfourna
sa
queue
directement
jusqu’au
fond
du
vagin,
je
ne
l’avais
pas
sentir
venir
celle-là.
Le
coup
martela
le
fond,
je
me
durcis
mon
corps
sous
la
douleur.
Il
me
serra
avec
la
ceinture
et
me
fit
me
placer
en
doggy
style.
Moi,
les
mains
bien
ancrées
dans
les
draps
du
lit,
le
cul
relevé
complètement,
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les
fesses écartées,
il commença
à
me ramoner,
son rythme
pris de
l’ampleur
et de la
vitesse.
Ses hanches
me démontaient,
me donnait
de grands
coups lorsqu’il
faisant
pénétrer
sa bite
bien profondément.
Chaque coup
reçu
par ce marteau
piqueur
me ravageait
et à
chaque fois
la douleur
augmentait.

Il
n’arrêtait
pas nous
étions
sur la même
position
depuis plusieurs
minutes,
je gardais
les mains
bien ancrée
dans les
draps du
lit, lui
toujours
à
la même
place avait
lâché
la ceinture
et empoignais
les creux
de mes hanches
comme leviers
pour ses
va-et-vient
continuels.
Mon cul
frappait
sur son
pubis, on
pouvait
entendre
le bruit
de la peau
qui claque
dans toute
la pièce.
Plus il
me faisait
frapper
sur son
pubis, plus
le fond
de mon vagin
se crispait.
Je sentais
le peu de
mouille
sécher
et disparaître,
je commençais
à
sentir une
certaine
brûlure
ou plutôt
un échauffement.
La cadence
était
incroyable,
je m’étais
déjà
fait baiser
à
vitesse
grand V,
ce n’était
pas la première
fois, mais
au moins
j’avais
eu du plaisir.
Là,
j’avais
beau me
dire que
tant qu’à
être
là
autant essayer
de prendre
mon pied,
mais rien
n’y
faisait.
Ma tête
et mon corps
refusaient
catégoriquement
de participer
à
cette partie
de jambes
en l’air.
J’avais
mal aux
genoux à
force d’être
dans la
même
position
je lui fis
comprendre
que je voulais
changer
de position,
mais il
me fit comprendre
que je resterai
comme cela,
bien cambrée.
Je gémissais,
criais,
je retenais
mon souffle
et je crispais
mon ventre,
lui pensait
que je prenais
mon pied
et continuait
de plus
belle. S’en
était
assez, je
devais mettre
un terme
à
cela, je
n’en
pouvais
plus. Pendant
qu’il
était
en train
de me prendre
comme un
vrai déchaîné,
je me tournais
la tête
vers lui
et lui dit;
je n’en
peux plus,
on change.
Il fit comme
s’il
n’avait
rien entendu
et bien
au contraire
m’arçonnait
deux grands
coups de
reins dans
le ventre.
J’étouffais
mon cri,
ma colère
montait,
je n’avais
pas du tout
de fun ni
de tolérance.
...»
Suite
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