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[f.e.e.] |
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Avec
mes
mains
je
le
poussais
pour
qu’il
retire
ses
mains
de
mes
hanches,
mais
cela
l’excita
encore
plus,
il
me
défonça
encore
plus,
retenant
mes
hanches
bien
serrées
vers
lui,
m’empêchant
de
bouger
davantage.
J’avais
à
présent
la
tête
enfouie
dans
le
matelas,
je
criais
d’inconfort
et
non
de
plaisir,
j’essayais
de
fuir
cette
queue.
Lui
en
parfait
égoïste,
prenait
son
pied
à
me
voir
geindre
de
la
sorte.
Ma
chatte
était
en
feu
de
se
faire
ramoner
et
défoncer
de
la
sorte.
Je
pouvais
sentir
un
battement
se
faire
dans
mon
ventre;
mon
dieu
comme
mon
vagin
doit
être
enflé
me
disais-je.
Je
regardais
l’horloge
sur
la
table
de
chevet,
elle
indiquait
2h27
du
matin,
je
m’en
rappelle
encore,
cela
faisait
45
minutes
au
moins
qu’il
me
rentrait
sa
queue
non-stop
[ininterrompue],
comme
un
débile
mental.
Un
vrai
sauvage
sans
aucune
considération,
la
seule
chose
à
laquelle
il
aspirait
c’était
de
me
baiser,
me
défoncer
ma
chatte
et
faire
que
je
m’en
souvienne.
Je
sentais
mes
lèvres
gonfler
à
chaque
pénétration,
je
ne
mouillais
plus
et
il
devait
cracher
sur
moi
pour
faire
glisser
son
pénis.
Tout
d’un
coup,
une
de
ses
mains
lâcha
ma
hanche
et
il
s’emparait
d’une
partie
de
mes
cheveux,
lès
tira
vers
lui
entraînant
ma
tête
et
obligeant
mon
corps
à
se
redresser
un
peu.
Mon
cou
partit
vers
l’arrière
de
mon
corps,
il
tirait
vers
lui
ma
tête.
J’avais
presque
l’impression
que
celle-ci
allait
arracher.
«
Arrête
tu
me
fais
mal
!
»
«
Arrête
!
»

Mais
rien
ni
fit,
j’étais
sous
son
emprise
prisonnière
de
mon
bourreau.
Il
m’infligeait
je
ne
sais
qu’elle
punition.
Peut-être
celle
de
ne
plus
vouloir
le
voir,
il
avait
sûrement
dû
le
comprendre.
Les
minutes
me
paraissaient
interminables,
j’avais
hâte
qu’il
jouisse
pour
qu’on
en
finisse,
je
n’en
pouvais
plus,
j’avais
mal
au
ventre,
ma
chatte
me
brûlait.
Dans
ma
tête
je
me
concentrais
pour
ne
plus
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ressentir
la douleur.
Tout mon
corps était
rigide et
cherchait
à
prendre
la fuite.
Enfin dans
un grand
râlement,
il finit
par jouir,
il déchargeait
son sperme
sur le haut
de mes fesses.
J’avais
les jambes
qui tremblaient
tellement
j’étais
fatiguée
de ce rodéo.
Je n’avais
qu’une
seule et
unique idée
en tête,
c’était
décamper
au plus
vite et
de me retrouver
chez moi.
Il s’écroula
complètement
vidé
à
côté
de moi par
miracle
le temps
que je reprenne
des forces
il commença
à
ronfler.

Aux
joies merci
les anges
! Je me
levais doucement
et sortie
du lit,
me dirigeais
vers la
salle de
bain et
fermais
la porte
à
clef, juste
au cas où
l’envie
de venir
m’y
rejoindre
le pris.
Enfin seule,
je n’en
revenais
pas encore
du comment
cela c’était
passer.
Comment
et à
quel point
le même
homme qui
m’avait
fait monter
aux rideaux
et fait
jouir plusieurs
fois dans
une soirée,
là
ce soir
il était
devenu une
vraie bête
sauvage,
dénuer
de cerveau
et de considération,
aucun respect.
Wow ! J’étais
sidérée.
En entrant
sous la
douche,
je me suis
mise à
pleurer.
J’avais
l’impression
d’avoir
été
abusée,
presque
violée
par mon
amant d’un
soir. Je
laissais
l’eau
couler sur
le haut
de ma tête
et je fis
le vide
dans mon
esprit.
Douche terminée,
je sortis
de la salle
de bain,
il dormait
profondément
et ronflait
vraiment
très
fort. Je
pris mes
habits,
lès
enfilaient
calmement.
Mon sexe
me faisait
mal, mes
lèvres
étaient
gonflées
et rouge
mauve. J’avais
les reins
endoloris
et une douleur
sourde dans
le fond
du ventre.
Génial
quelle soirée,
mais ma
belle tu
as voulu
venir voir
alors assume.
Mes chaussures
dans la
main droite
mon sac
et mon manteau
dans l’autre,
je sortis
de la chambre.
Sentiment
de sécurité
et de liberté
était
présent,
une fois
arrivé
à
la réception,
je demandai
un taxi
pour rentrer
chez moi.
Ce soir
là,
ce fut long
trouver
le sommeil,
mon esprit
repassait
les événements
de la soirée.
Je me promis
que plus
jamais je
ne revivrais
cela. .

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