Si... Je dominais le fendant
[f.e.e.]

Il obéit, sa langue ouvre mes lèvres une après l’autre, il lèche le contour de mon sexe, le lape docile et précis. J’aime lorsque sa langue explore, lorsqu’elle fait monter les sensations doucement. Je suis déjà dans un état d’excitation intense, je sais que les coups de langue que je reçois risquent de me faire chavirer vers l’orgasme à tout instant. Je presse alors mon vagin contre sa bouche l’étouffant presque. Pencher en avant les fesses bien ressortir, les cuisses écarter à son maximum, je baise sa bouche, son nez, son visage. Je bouge sensuellement sur sa face la chatte grande ouverte, je n’ai aucune inhibition seuls le contrôle et le plaisir de l’avoir à ma merci.

Je me regarde dans le reflet de la grande télévision en face de moi. Ma chemise rose entre ouverte laisse entrevoir la naissance de mes seins, mon chignon bien ranger c’est transformé en une chevelure de fauve. Ma jupe est repliée jusqu'à ma taille et laisse mes cuisses complètement à nues, mes fesses disparaissent à chaque fois que j’ondule sur le visage de mon copain. Je les vois frôler le doux tissu de coton blanc. En voyant cela, j’imagine ses grandes mains puissantes sur les rondeurs de mes hanches empoignant fermement celles-ci et les faisant rouler sur sa bouche encore plus fort… mais je chasse cette idée et reprends mes esprits poussant encore plus mon bassin sur sa bouche ouverte. Je relève doucement mon sexe de sa bouche et m’amuse à le lui faire lécher du bout de la langue puis, je redescends, je fais ce jeu pendant quelques minutes comme donner un suçon à un enfant et le lui reprendre. J’aime ce jeu du

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caprice, ça m’excite. J’aperçois une corde proche du grand divan par terre, sûrement un oubli de nos derniers jeux de soumission. Je m’étire pour l’attraper et je lui attache les poignets fermement. Je glisse la corde sous le pied du divan, tire dessus pour ne laisser aucun relâchement. Il est bien maintenu par les poignets il ne peut pas se lever, il est tout à moi.

Je peux enfin lâcher prise et me délecter de ma proie, alors « Champion! » on fait moins le malin attacher comme ça n’est ce pas? Un sourire machiavélique traverse mon visage et mes yeux brille déjà de le savoir totalement soumis à mes caprices.

J’ai envie de goûter sa peau à présent, toujours au-dessus de son visage, je redescends langoureusement vers son torse, je prends soin de frôler mon corps à son nez, sa bouche, son menton. Je presse ma poitrine sur son torse, fait couler mon ventre au sien, mes cuisses glissent le long de son tronc. Ma chatte inondée de bave et de mouille trouve le chemin de son ventre sans difficulté. Elle touche bientôt la verge restée inerte pendant notre manège. Ma bouche à commencer sa dégustation gourmande de ses pectoraux, je le mordille savamment, goûtant chaque parcelle de sa peau salée. Ses bras complètement ouverts, je peux aisément lécher l’intérieur de ses aisselles. Je m’enivre du parfum musque de celles-ci, véritable aphrodisiaque naturel. Je jubile, je me bats entre l’envie de tendresse ou de fermeté.

À suivre...

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