Cette
phrase
eut
son
effet,
je
me
suis
remise
à
onduler
plus
sensuellement,
ma
bouche
vint
lui
mordiller
le
cou,
le
visage,
je
l’embrassai
passionnément.
Il
réagit
à
nouveau
de
façon
positive
à
mes
stimuli…
Aussi
tôt,
je
sentis
à
nouveau
sa
queue
tressaillir
dans
mon
vagin,
je
gardais
la
cadence,
la
pose,
l’ondulation
de
mes
hanches.
Je
ne
dérogeais
pas
de
ma
position,
je
dois
le
faire
jouir,
il
doit
jouir,
il
va
jouir…
Les
secondes
passent,
mes
hanches
commencent
à
me
faire
mal,
elles
roulent
et
roulent
encore.
Les
minutes
se
suivent,
je
ne
sais
plus
combien
de
temps
cela
fait
que
je
suis
ainsi
ancrée
sur
ce
pilier
de
chair
qui
sursaute
à
chaque
coup
de
mes
reins.
Je
garde
le
mouvement
même
si
parfois
je
suis
sur
le
bord
de
le
perdre,
je
le
rattrape,
je
continue,
je
ne
lâche
pas.
J’ai
la
mission
de
le
faire
éclater.
Soudain
à
bout
de
forces,
je
l’entends
geindre,
doucement
puis
un
peu
plus
fort.
Il
gémit
de
plus
en
plus,
son
bassin
sursaute,
ses
mains
ont
attrapé
mes
hanches,
elles
suivent
leurs
mouvements
comme
pour
les
aider
à
ne
pas
flancher.
Je
bouge
et
bouge
encore,
je
cours
mon
marathon
vers
son
orgasme
que
je
veux
voir
exploser.
Je
veux
voir
ce
fendant
soumis…
Je
l’ai
sous
mon
contrôle
alors
pourquoi,
lâchez
si
près
du
but.

Il
se
tord,
il
gémit
de
plus
belle,
je
le
vois,
je
le
sens,
sa
jouissance
monte,
monte,
il
grogne.
Il
presse
plus
fort
ses
grandes
mains
sur
mes
hanches,
elles
tournent
suivant
le
rythme
de
mon
bassin,
il
respire
fort,
il
halète,
il
se
cambre,
il
jouiiiiiiiiiiiiiiiiii,
lâchant
un
grand
rugissement
animal
de
plaisir.
Je
le
regarde,
son
torse
est
relevé
vers
moi,
il
est
comme
suspendu
dans
le
temps,
les
yeux
fermés,
puis
il
se
laisse
retomber
sur
le
grand
matelas
comme
une
pierre.
Je
lui
donne
un
baiser
sur
le
front,
me
retire
de
l’emprise
de
sa
queue
qui
à
présent
dort
sur
le
rebord
de
sa
cuisse.
J’admire
quelques
secondes
le
fruit
de
ma
victoire.
Satisfaite,
je
me
rhabille
doucement,
je
jette
un
dernier
coup
d’œil
au
fendant
qui
n’en
est
plus
un
à
mes
yeux.
Je
referme
la
porte
de
sa
chambre
le
laissant
endormi
et
je
pars
dans
la
nuit.
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