Je surprends mon père en pleine infidélité

Je devais avoir 12 ans, mon père prenait parfois des contrats d'homme à tout faire chez des particuliers. Cette après-midi-là, je l'ai accompagné, car je n'avais pas d'école. Donc nous voici rendu chez madame Mangions, je vous promets ce n'est pas du tout un nom fictif. Bref, nous voici chez mme Mangions mon père me demande d'aller jouer sur le bord de la plage pendant qu'il va travailler, cela ne devrait pas lui prendre plus qu'une heure au maximum. Petite fille obéissante je me rends au bord de la plage toute contente d'avoir ce moment pour moi seul. Au bout de ce qu'il me semble une heure je décide de retourner voir mon père, donc je marche tout doucement vers la maison de mme Mangions. Plus j'approche de l'entrée du salon, plus j'entends des cris.

Je continue d'avancer vers la terrasse qui donne sur une grande porte patio, les cris deviennent plus forts et j'entends même la dame dire..." oh Rogers oh oui Roger! Je fige, non je ne viens pas d'entendre ça. Mon cœur s'active, ce n'est pas par ce que j'ai juste 12 ans que vous devez penser que je ne saisis pas ce que j'entendais. Mais mon cœur de petite fille ne veux juste ne pas y croire. J'ai peur de découvrir et j'hésite de continuer d'aller vers l'entrée. Je me rappelle m'être arrêté devant la terrasse, fixé mes pieds nus pleins de sable dans l'herbe fraîche, je restais là le temps de réfléchir à ce que je faisais.

Et soudain! C'est la voix de mon père qui est venu fouetter mes oreilles. "Tu aimes ça salope, tu aimes ça!" tout se bousculait dans ma tête, je ne pouvais pas croire que j'avais entendu cela.

Un pas après l'autre comme une automate, je marchais vers la porte Patio, je n'avais plus de cerveau complètement zombie collé au mur de ciment de la maison je me fondais presque dans le mur, je me cachais de peur d'être vu. Et pourtant ce n'était pas à moi d'avoir honte de la situation, mais plutôt aux deux pervers que j'entendais râler de plaisir. Je finis par regarder par la vitre de la porte et après un coup d'œil rapide presque perdu je finis par stopper net mes yeux sur le reflet d'un miroir qui se tenait sur le mur. Mon sang ne fit qu'un tour dans mon corps, j'avais le cœur au bord des lèvres, l'image que me renvoyait le miroir était trop insupportable, mon père à genoux à l'arrière de cette pute qui était à quatre pattes sur son plancher, il lui tirait les cheveux par en arrière et elle d'une main sur sa cuisse le pressait contre ses fesses. Il la pilonnait à grands coups de bassin, je le voyais presque comme fou tellement son visage était méconnaissable. Ça ne pouvait pas être mon père que je fixais comme ça. Je ne le reconnaissais pas.

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