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[f.e.e.] |
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Je
ramène
mon
bassin
vers
mon
visage
(oui,
j’en
suis
capable
dans
mon
rêve),
j’ai
à
présent
mon
sexe
à
quelques
centimètres
de
mon
visage,
les
jambes
bien
écartées,
le
cul
bien
relevé
dans
les
airs.
Je
vois
tout,
l’ouverture
de
mon
vagin
qui
brille
sous
la
mouille
transparente
et
mes
lèvres,
que
je
trouve
plus
roses
que
d’habitude.
Mon
clitoris
est
en
érection,
il
est
sorti
de
son
capuchon
et
attend
fébrile,
que
je
le
touche.
L’image
est
très
excitante,
je
dirige
d’une
main
le
bout
de
l’énorme
dildo,
je
frotte
son
gland
sur
mon
clitoris
qui
réagit
aussitôt
à
la
caresse.
Des
milliers
de
petits
chocs
électriques
accompagnent
sa
réaction.
Je
continue
ma
progression
vers
l’entrée
discrète
de
mon
vagin.
Le
petit
trou
noir
s’écarte
doucement
sous
la
pression
de
l’arrivée
de
cette
queue
artificielle.
Je
peux
voir
les
rebords
s’élargir
facilement
pendant
que
celle-ci
s’enfonce
bien
profondément
entre
les
replis
de
chairs.
La
sensation
est
terriblement
agréable,
je
rentre
cette
forme
en
latex
bien
loin
dans
mon
vagin,
très
loin
comme
si
je
n’avais
pas
de
fond.
Toujours
le
regard
concentré
sur
la
vision
de
mon
sexe
qui
reçoit
cette
pénétration,
je
masturbe
mon
clitoris
qui
chante
en
ce
moment
les
cantiques
du
plaisir.
Je
pars
dans
une
totale
débauche,
ma
masturbation
n’en
est
plus
une,
mais
plutôt
une
folle
course
vers
la
quête
de
l’orgasme.
Le
dildo
s’enfonce
et
ressort
entre
mes
lèvres
devenues
juteuses.
Un
liquide
blanchâtre
à
demi
transparent
l’aide
à
glisser.
J’entends
le
bruit
de
succion
que
le
jouet
fait
à
chaque
fois
qu’il
transperce
mon
vagin.
AHHHHHH,
que
c’est
bon!

J’en
veux
plus,
je
frotte
mon
clitoris,
je
le
malmène,
il
palpite,
il
se
contracte,
il
veut
exploser,
je
le
sens,
il
est
tout
proche
de
la
jouissance,
ce
n’est
qu’une
question
de
seconde…
Ma
main
gauche
continue
de
faire
de
profond
va-et-vient
avec
le
dildo
dans
ma
chatte
gourmande.
Je
ressens
toutes
les
chatouillements
que
procure
le
contact
du
latex
sur
la
peau
de
mon
vagin,
celles-ci
aussi
grandissent
en
harmonie
avec
celles
de
mon
clitoris,
elles
sont
inter
reliées.
Je
vois
le
dildo
en
forme
de
calamar
à
côté
de
mes
fesses
sur
le
lit,
je
décide
de
faire
un
échange.
Comme
par
magie,
celui-ci
s’est
transformé
en
un
dildo
avec
un
bout
qui
a
plusieurs
nervures
et
des
billes
de
verres
sur
le
bout
(sa
forme
est
toujours
celle
d’un
calamar).
Je
prends
cet
étrange
jouet,
il
rentre
facilement
dans
mon
vagin
devenu
béant.
Je
contracte
les
parois
de
celui-ci,
afin
de
ressentir
le
dildo
qui
rentre
trop
facilement.
Les
petites
billes
viennent
frotter
les
parois
de
mon
vagin,
je
lès
fais
tourner
de
ma
main
gauche,
en
lui
donnant
des
mouvements
de
gauche
à
droite.
Je
cherche
une
zone
bien
spéciale,
mon
point
g,
toujours
dans
la
même
position,
les
jambes
encore
bien
écartées,
le
bassin
collé
à
mon
visage,
je
continue
de
scruter
comme
un
spéléologue,
les
parois
de
mon
sexe.
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Ma
main droite
caresse
mon clitoris,
je ne l’ai
pas quitté
d’une
seconde,
le gardant
ainsi en
alerte.
Une légère
pression
se fait
sentir sur
l’endroit
que stimule
le bout
du dildo
enfoui dans
mon vagin.
Je le presse
un peu plus,
je donne
de la vigueur,
mon poignet
s’active
faisant
bouger de
plus en
plus vite
le jouet
sur cette
zone qui
devient
encore plus
sensible.
Je l’ai
enfin trouvée
me dis-je,
mon point
g est pris
par de nombreux
assauts,
il se serre,
l’envie
d’uriner
monte, je
contracte
mon ventre,
mes abdos
et mon anus.
Mon poignet
qui tient
fermement
le dildo
me fait
mal, mais
je continu
mes va-et-vient.
Mon clitoris
reçoit
des agressives
manipulations
de la part
de ma main
droite.
Je le frotte
à
présent
violemment,
je ne le
lâche
pas. La
sensation
de jouissance
augmente,
elle envahit
mon ventre,
les chocs
électriques
se dispersent,
ils partent
du poing
g vers la
base même
de mon clitoris
de l’intérieur
de mon vagin,
la sensation
d’uriner
grimpe,
elle monte,
elle est
sur le bord
de se libérer.
Je contracte
de plus
belle mes
abdos, je
force tellement
que j’en
perds mon
souffle.
La tête
presque
posée
sur ma chatte,
je suis
complètement
pliée
en deux.
Plus rien
n’a
de l’importance,
ni ma douleur
au poignet,
ni mon dos
qui est
contorsionné,
ni même
ma nuque
qui tire.
Je veux
jouiiiiiiiirrrrrrrrrr!
Les petites
billes frottent
la zone
devenue
extrêmement
sensible,
je ne respire
plus, je
suis en
attente,
je ressens
tout. Les
fourmillements
viennent
de se rejoindre,
ils augmentent
en une fraction
de seconde,
ils explosent
dans mon
vagin et
dans un
dernier
effort de
contraction,
j’expulse
un jet transparent
de mon sexe,
celui-ci
éclabousse
mon visage
toujours
collé
à
ma vulve.
Je jouiiiiiiiiiiiiiiiii!
D’un
long orgasme
muet.

La
jouissance
me réveille
soudainement,
mon corps
est en alerte,
mon cerveau
encore dans
la vague
de tout
ce mélange
de sensations
reçut.
La sensation
d'un liquide
chaud qui
coulait
sur mes
fesses pendant
mon rêve
était
tellement
réelle,
que j’étais
certaine
d'avoir
uriné
dans mon
lit…
Je tâte
mon matelas
à
la recherche
d’une
flaque d’eau…
Rien, rien
du tout???
Je n’en
reviens
pas à
quel point
mon cerveau
peut me
donner ce
genre de
sensations,
elles sont
si réelles.
Je reprends
mes esprits
et je me
rends compte
que j’ai
bel et bien
joui de
ce rêve.
Wow! Quelle
nuit!

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